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par Jacques Henry
L’une des premières mentions du mot superstition se trouve dans les œuvres de Pline l’Ancien et sa signification a été précisée dans la langue française au quinzième siècle (cnrtl.fr) :
La superstition, considérée comme une «déviation du sentiment religieux fondée sur la crainte ou (et) l’ignorance», pour reprendre les termes de cette définition, explique parfaitement l’attitude inculquée aux peuples par la propagande incessante relative au changement du climat. Il ne se passe pas un jour au cours duquel des commentateurs de «plateau télé» glissent les termes «réchauffement climatique» ou «changement climatique» pour justifier leurs propos. Les évènements d’Ukraine ne seraient-ils pas explicables par le réchauffement du climat ? Les sociétés occidentales en sont arrivées à un point non pas obsessionnel mais superstitieux pour adopter une attitude de soumission qui rappelle étrangement l’attitude des chrétiens alors que la papauté les rançonnait sans vergogne pour qu’ils sauvent leur âme des flammes de l’enfer. Ce rappel des faits vécus pendant des siècles par tous les pays dont est issu l’Occident actuel (hormis la Corée et le Japon) est tout à fait opportun pour expliquer ce qu’est une croyance superstitieuse. En effet aucune preuve de l’existence de l’âme n’a jamais été apportée, aucune preuve de l’existence de l’enfer n’a jamais existé, ce sont des croyances, des dogmes auxquels il faut croire sans se poser de questions, on peut même affirmer qu’il s’agit de superstitions. En ce qui concerne ce fameux réchauffement du climat, toutes les preuves avancées par les fonctionnaires internationaux qui se prennent pour la nouvelle Rome sont fausses, fabriquées à partir de mensonges. On se trouve maintenant dans la même problématique superstitieuse. Un exemple illustre ces mensonges :
Par exemple l’une des illustrations parmi les plus convaincantes est l’effacement de l’épisode de climat très doux voir chaud, très chaud, favorisant les pluies nécessaires pour assurer des récoltes abondantes qui «sévit» pendant trois-cent ans (1000-1300 de l’ère commune) et que tous les historiens et les scientifiques honnêtes reconnaissent, l’«optimum climatique médiéval». Il a disparu !
En effet et pour reprendre la définition de la superstition la «crédulité irrationnelle» risquait d’être mise en doute si la mention de cet optimum climatique médiéval s’imprimait dans les mémoires et permettait de qualifier l’optimum climatique moderne comme un épisode de courte durée à laquelle il ne faut pas attacher d’importance. Et l’«excès d’attachement» à ce thème du climat relève de la superstition telle qu’elle est définie plus haut dans l’encadré. Dans un film fameux d’Ingmar Bergman, «Le Septième Sceau», l’épisode relatant une sorcière en cage convoyée au bûcher est significatif : tous les récalcitrants et négateurs du réchauffement climatique seront promis au bûcher ou au moins ostracisés et mis au ban de la société, ce qui est tout aussi dommageable, interdits de séjour sur les plateaux télé de grand chemin, rencontrant de multitudes de difficultés pour éditer un quelconque ouvrage comme par exemple celui-ci qui me fut remis gracieusement par celui qui le rédigea et me le dédicaça :
En 2015 déjà H16 mentionnait les décisions inévitables que prendraient la FAO et d’autres organisations onusiennes pour obliger les peuples à non plus manger de la viande de bœuf mais des asticots et aussi que les hivers allaient disparaître provoquant un désastre économique car les multiples stations de sport d’hiver alpines mais également en Amérique du Nord, en Australie, en Chine et au Japon ne seraient plus que des lointains souvenirs. La culture de la vigne serait à nouveau possible presque en Écosse et la malaria réapparaîtrait en Sibérie et dans le grand nord canadien. Ce n’est plus de la superstition mais du délire. La superstition à outrance conduit en effet au délire, au mysticisme, car cette déviance intellectuelle fut longtemps considérée comme contraire à la religion établie, d’où ces milliers de sorcières brûlées pour la bonne cause.
On peut aussi choisir une autre comparaison pour qualifier l’imposture du réchauffement du climat. Les alchimistes prétendaient qu’avec une pincée de poudre de perlimpinpin il était possible de changer le plomb en or, avec une pincée de CO2 on peut changer l’équilibre de l’atmosphère terrestre avec des conséquences terribles pour la planète entière et toutes les formes vivantes. Or le CO2 atmosphérique serait exclusivement d’origine humaine et serait le seul gaz à effet de serre avec le méthane. Est-ce bien raisonnable d’affirmer que ce gaz présent en quantités infimes et provenant exclusivement de l’activité humaine, faut-il le répéter, modifierait profondément le climat ? La propagande a déformé l’opinion à dessein et comme je l’expliquais il y a quelques jours à une personne peu amène à comprendre les mécanismes complexes du climat, tout est organisé par les puissances financières transnationales occidentales pour asservir les peuples en les terrorisant au sujet du réchauffement du climat. Et toute cette histoire est devenue une véritable superstition !
La peur générée par les affirmations répétées à l’envi par les médias de grand chemin a transformé les peuples, surtout occidentaux, en moutons qui sont prêts à se faire tondre, c’est le but de cette machination construite par le Club de Rome, reprise par les grands raouts organisés par les Etats que constituent les «COP», puis la mise en place de lois contraignantes pour, par exemple, isoler les logements contre la chaleur ou le froid, nul ne le sait, l’abattage de centaines de milliers de bovins parce qu’ils dégagent du méthane, un centième de pincée de perlimpinpin, les restrictions relatives à l’usage de l’eau, ah bon ? S’il fait de plus en plus chaud il devrait pleuvoir de plus en plus … les critères ESG, «sustainable», la disparition des insectes pollinisateurs et enfin les conflits armés ou encore les tremblements de terre provoqués selon un précédent président de la France par ce réchauffement du climat. Tout a été préparé de longue date et la situation est maintenant bien pire que celle que connurent les peuples de la chrétienté soumis au pape pour le salut de leur âme. Dans quelques mois ce sera la carte de bonne citoyenneté comprenant, outre les données vaccinales que l’OMS met actuellement au point avec la collaboration étroite de la Commission européenne, un «profil carbone» et ce nouveau totalitarisme sera accepté par tous car ce sera pour sauver la planète, les ours blancs et les macareux. C’est pire que la superstition, c’est le nouvel opium du peuple !
Accepté par tous ? Pas vraiment car l’ensemble des pays d’Afrique, d’Amérique du Sud, d’Amérique centrale et tout le bloc d’Asie depuis la Russie et le Moyen-Orient jusqu’à l’Extrême Orient et l’Asie insulaire se moquent des décisions des Occidentaux, plus de 60 % de la population de la Terre et plus de 60% du produit brut mondial. Alors les Occidentaux devront se soumettre au réel et abandonner leurs superstitions climatiques …
source : Jacques Henry
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