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par Gilbert Guingant
Le Comment faire ? Modes d’emplois. Donc déjà décidons. Oui voyons partout où nous pouvons planter ces décidons. Soit les concrétiser nos devenues fermes décisions. Nous sommes les plus nombreux et déterminés à ce que cela cesse tout de suite. Oui ces décisions «verrouillées» qui expulsent tout le monde de ces donc faux décrets mais vrais actes de dictatures. Assez, c’est fini ! Décidons
1. Voir du côté des démolis par ces décisions inhumaines
Le que faire : commencer par les plus touchés. Mais y a un versant qui fait résonner si différemment ces faux dirigeants irresponsables, inhumains et atrocement infantiles. C’est celui des démoli.e.s de leurs brutalités. Démolis connus par des assos de terrain. Donc en direct avec les Conséquences des désolations des sommets. Que dire, que faire ? Les aider (qu’ils retrouvent le respect et l’estime d’eux = ils n’ont rien à voir avec les monstres !) appartient à une patience peu connue : celle de la… ruse. Contourner les obstacles et obstructions. Soit trouver les expressions, en les essayant, expressions qui débloquent le mur vide.
Oui cette ruse (à mon avis) se trouve dans l’élucidation de ces «décisions «verrouillées»» qui ne peuvent qu’avoir bien plus d’impact affectif/émotionnel que «dictature» (que la plupart d’entre nous trouvent mot «exagéré» !). Le concret que la «mise effective aux arrêts» de la société (par ces décisions) ne peut qu’allumer l’indignation durable. Essayez autour de vous l’expression «décisions verrouillées» et venez le dire.
2. Pourquoi, avec tant d’acharnement, ils nient et cachent le verrouillage insensé des décisions ?
Puisqu’ils font tout pour le… nier et le dissimiler : que non nous ne serions pas en dictature, qu’ils nous consultent sans cesse, et autres… lamentables mensonges. Ils sont donc conscients de ne jamais être dans les légalités. D’être, tout le temps, complètement anticonstitutionnels ! C’est donc toujours sur ces points faibles qu’il faut creuser. De quoi nous convaincre que les décisions «verrouillées» soient comprises dans le sens… préméditées, récidivistes, faisant tout pour ne pas respecter les lois (tout en faisant le maximum pour le cacher !). De quoi conclure que la formule décisions verrouillées fait plus, que d’autres, pour nous défendre des arbitraires. Puisque justement n’appartenant pas aux généralités qui noient tout… Décidons d’innover, en fait !
3. Inverser toutes les façons de voir
D’en offrir de nombreux exemples concrets demeure la méthode la plus efficace :
Banques toutes Publiques – Avec toutes les banques comme services publics ? Lorsque l’énormité des avantages pour tout le monde sidère. C’est prendre le sain contrepied à leurs horreurs tyranniques qui ne tyrannisent plus que leurs seules têtes : pour eux (inintelligents) impossible de quitter le schéma mental verrouillé. Schéma qui les tient donc en permanente Prison mentale. Ayant perdu toute souveraineté de vie, ils sont donc bien coincés, acculés, encastrés, contraints, sans plus de libertés de manœuvres, et nous signent un échec vraiment complet de leur pensée morte. Pensée que nous connaissons puisque leurs illégitimes médias étalent leurs déraisons chaque jour. Nous n’avons rien à voir avec ces stupidités régressives, rien à voir avec ces échecs flagrants. Genre un individu complètement impopulaire qui, au lieu de partir (comme de Gaulle), voudrait des prolongations insensées. Dans quel but puisque plus jamais il ne pourra circuler, parler publiquement, faire semblant de consulter, etc. Il sera tenu en résidence fermée comme ne participant plus, réellement, à la vie du pays.
Oui comme si toutes ces inversions étaient, au final, désinversées. Nous voyons immédiatement autrement. Solutions centrales que de publiciser les banques. Les rendre toutes Publiques. Et, soudain, de jaillir d’entre les mots, un monde nouveau entier. Prêt instantanément à l’usage. Nulle nécessité de transies transitions : nous pouvons remplacer les moisissures des corrompus à la seconde. Grâce à des vocables tous neufs, en fait les mêmes mais ayant retrouvé la santé mentale. Il n’y a plus de Blocages structurels, que des bloqueurs couverts de ridicules.
Fins des droits d’auteurs tels que ceux connus – Découvrons donc les gigantesques transformations qui émergent en peu d’actes…Ici les droits d’auteur mal compris, vus par le petit bout de la lorgnette. Ce qui empêche de… voir globalement tout simplement. Sur ce blog nous disons, depuis longtemps, que la suppression de l’inutile circuit des auteurs offrirait un accès très Amélioré aux œuvres. Œuvres enfin mises en valeurs : le top pour l’écrit exalté. Pour le bien de tout le monde.
Sans omettre de voir les catastrophes… si anti-méritocratiques qui se prétendent… très méritocratiques !
«Sans la protection des droits d’auteur, les produits Microsoft seraient tout simplement partagés… gratuitement et les encombrants profits s’effondreraient… Le droit d’auteur est un monopole d’État, mais il n’a rien de… naturel. S’il était remplacé par un accès libre (un système sans doute plus efficace) et couplé à un financement public et à des prix pour récompenser l’innovation, les revenus solitaires et antisociaux de Bill Gates s’effondreraient.
Bill Gates n’est pas un géant. C’est un être humain ordinaire, mais un être qui se trouve dans une cabine de commande, contrôlant une grue géante et puissante, qui nous domine tous.
Comment ils ont saccagé aussi la méritocratie. Le point essentiel est celui-ci : la productivité globale d’une personne provient en très très petite partie de ses apports personnels (tels que le talent et l’effort), mais en tellement plus grande partie des apports sociétaux auxquels elle peut avoir accès. Rappelons que, non seulement les apports sociétaux sont beaucoup plus importants en termes de productivité globale d’un individu, «mais ils sont aussi une question de chance, ce qui avantage… considérablement certains par rapport à d’autres et ébranle donc toute prétention à la… méritocratie. La sous-structure est en réalité un vaste héritage social.
Et donc, elle nous appartient à tous». Que du massif Collectif oui, le stérile individualisme économique ne peut plus avoir lieu.
Comment surgissent les Mutations de bases ? Voici donc qu’en peu de mots, peu de mots par rapport à l’immensité de la transmutation, tout leur système obsolète et figé vient de Pivoter sur ses bases. Ce n’est plus la même société que nous voyons. Nous n’avons pas à la transformer de a à z, elle se transmute d’elle-même dans la mesure où nous savons la décrire. Décrire surtout le peu de mécanismes à mettre en branle aux départs. Oui, enfin, nous Décidons fermement du futur commun. Et les faux dirigeants, confinés dans leurs impuissances sans idées, tombent d’eux-mêmes. Même pas à les pousser. Comment voulez-vous donc, après cela, que les faux dirigeants soient encore dans la course ?
L’économie capitaliste des parasites en perd toute crédibilité : «Dans une société moderne, la production économique n’est jamais un effort individuel. Toute production est, à la base, un processus fondamentalement social et collaboratif». D’avoir perdu cet essentiel de vue, le capitalisme passéiste, benêt et dépourvu d‘idées Pratiques, ne peut plus que disparaître des consciences… Vu enfin autrement, nous percevons que tout le monde participe à la richesse collective (même les Sdf – tout le monde). Donc vite partageons les valeurs créées collectivement. Oui partageons les plus-values valant pour tous.
• Les ultrariches n’ont pas le droit de s’accaparer toutes les ressources et tous les pouvoirs
En effet… «le capitalisme repose sur le principe FAUX de la méritocratie qui veut que chacun obtienne ce qu’il mérite dans le cadre du marché. La création de richesses est un processus fondamentalement social (comme la société non ?), et les riches n’ont… pas le droit de s’accaparer toutes les ressources et tous les pouvoirs».
4. Comment le retour aux vraies réalités balaie l’idéalisme cruel des macroriens ?
La propriété venue des nuages ? La même chose mais vue sous un autre angle ? «L’économie dominante, ainsi que la culture dominante, conçoivent le fait de gagner un revenu comme si nous étions des Robinson Crusoé, produisant notre propre propriété privée… à partir de rien» Dès que vous analysez leurs discours vous rencontrez la pleine Folie, celle des êtres hors sol et hors des réalités… Ainsi l’hallucination toxique du «il n’y a qu’à traverser la rue et vous avez un emploi». Issu sans réflexion ni esprit critique des déraisons absolutistes de Milton Friedman cuvant son «chacun crée son propre emploi» (d’où le puéril ya’ka traverser la rue !). Milton Friedman n’a jamais été économiste sérieux mais seulement un idéologue fanatique jusqu’au meurtre de Salvador Allende, Président du Chili ! Il faut donc prendre ses propagandes avec des pincettes, genre immoral «les dirigeants ne sont pas responsables des populations. Qu’elles se démerdent. Leur meilleur sort c’est d’obéir à «ces» délires. Où ces dirigeants peuvent même tuer leurs…opposants ! Ils ont la vérité !, etc.». Fin enfin de ces voies sans issues. Décidons.
Chacun crée son propre emploi ! Oui mais d’où vient ce «chacun crée son propre emploi», énergumène ? Pas de réponse c’est du sur-idéalisme. Rien de réel. Je dis donc ça existe. Oui pas de comptes à rendre : toujours les fuites devant répondre et la trace du freinage du «nous créons nos réalités. Oui toutes». Friedman conduit, aussi, à Thatcher délirant «la société n’existe pas»… alors pourquoi Obéir à une telle solipsiste, criant que, à part elle, nul humain n’existe. Vous voyez bien à quelles déchéances le sur-idéalisme aura détraqué macroriens ? Seules leurs pensées existent, ont tous les droits, et de les refuser (comme pensées divines) leur «permettrait» d’écraser tous les opposants» ? Ce qu’effectuent les actuelles décisions sur-verrouillées, personne d’élu ne vote, plus de Parlement effectif, tout est illégalisé par le 49-3. Votes trous pris en orage ? Présidentielles aux ordres et le tout truqués. Trucages qui ne sont «autorisés» à afficher que le score voulu. Jamais de référendums «appartenant au peuple souverain». Voir les articles 2 et 3 si Essentiels de la Constitution…
La société n’existe pas ? -Thatcher et son délire «la société n’existe pas», voulait surtout dire (et c’est bien pire !), la «société, et surtout les gouvernements ne sont responsables de rien. Il n’y pas de solidarités, de liens organiques ! Nous prenons tout et vous vous taisez»… Cependant ces gouvernements d’acéphales pourraient exiger tant des sacrifices du seul peuple, l’obliger aux austérités en sens unique, puisqu’en sont exemptés les trop riches, comme ça, sans raison ? Ces trop riches qui s’enrichissent encore sur les austérités des pauvres – c’est du clair et du flagrant. Ils sont de vrais traîtres à la réPublique… Ces cruautés antisociales exagérées Existent bien. Et un peu qu’ils veulent que les illégalités soient, tout le temps, appliquées. Pourquoi donc faire exister si Durement le dit… inexistant ?
Tout voir autrement couplé avec la certitude que, à la seconde, toutes les destructions institutionnelles du macronisme seront abolies. Et que la société démocratique reviendra en un seul jour. Les deux dépendent de nos… décisions. Déjà à… l’intérieur de nous. Expulsons leurs indignes propagandes. Proposons en abondance du neuf. Et du fondé. Et ce dans tous les domaines.
La macronie ce n’aura été que du Tout n’est qu’apparences ? Leur folie «veut» (?) que tous leurs sabotages du pays (par donc ses pires Ennemis déguisés en gouvernements) soient toujours cachés derrière des… apparences. Apparences qui prennent vraiment toute la place : ce que nous avons démasqué en tant que «décisions verrouillées». Les flagrantes dictatures de ces décisions ne peuvent plus se faire passer pour démocratiques : ils sont déjà coincés !
Aller plus loin encore c’est Regrouper les divers…axes du Mal, qu’ls ont mis en œuvre dans tous les domaines. Identifier ces axes du Mal, les nommer qu’eux seuls sont les vrais ennemis de chacun d’entre nous. Décidons et controns. Les empiètements illégaux sur les libertés individuelles (la République en est la vraie défense) doivent être mis en avant de la scène. Leur point si faible, puisqu’ils ont fui tous les comptes Légaux à rendre, reste l’économie.
Les désastres innombrables, qu’ils y sont semés partout, vont les faire tomber sans faille. Trop c’est trop.
L’inexistant existe trop violemment non ?
Et quelles incohérences à ces non pensées.
Qui a osé stupidement traiter ces désaxés brutaux du mot «élites» ?
Rien en eux ne peut l’être, cela c’est sûr ! Surtout si nous voyons tout autrement.
Que nous avons transformé nos façons de voir…
source : Imagiter
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