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par Marie-France de Meuron
Quel est cet esprit qui souffle sur nos têtes puis dans nos corps ?
L’étymologie nous enseigne que ce vocable est constitué de «pan» qui signifie «tout» en grec et de «démos» le «peuple».
Nous avons tous été plongés dans la covidémie, de près ou de loin, avec notre entendement et même nos corps pour ceux qui en ont été atteints tant par les mesures sanitaires que par le coronavirus ou les injections géniques.
Mais l’esprit à la source d’un pareil expansionnisme n’anime-t-il pas d’autres dimensions de notre existence que l’espace micro-organique ?
Le conflit en Ukraine, tout d’abord entre deux populations vivant sur place, est devenu une pandémie de russophobie qui a contaminé plusieurs pays.
Un tel esprit insuffle aussi la théorie du réchauffement climatique.
Certes, le climat se modifie comme il l’a fait de tout temps mais les causes en sont multiples. Or les forces qui dirigent se constituent en une matrice totalitaire (qui) vient englober l’ensemble.
Une pandémie peut se répandre au niveau psychique : la peur de la mort, quand elle est utilisée comme instrument de coercition et brandie comme une menace terrifiante.
Nous sommes témoins d’une pandémie de dénigrement de la place et de la valeur des enfants. Que ce soit pour leur imposer de vivre masqués que pour leur interdire de s’ébattre en cas de confinement ou encore de les contraindre aux écrans ce qui les rend myopes autrement dit les empêche de développer une large vue.
Bien plus grave encore : «Les enfants ont été sacrifiés, on n’a jamais vu autant de suicides».
Comme l’explique une psychologue : «Les enfants sont plus malléables donc on peut leur asséner un discours normatif, de propagande quelque part, mais en tous cas on peut essayer de leur faire rentrer des nouvelles règles, des nouvelles normes et ça va s’incruster, s’imprégner dans leur cerveau ce qui fait que même si plus tard, quand ils deviennent adultes, ils entendent des discours contraires, tout ce qui aura été vécu avec émotion, avec force pendant l’enfance va s’inscrire de façon indélébile».
À quoi s’ajoute aussi tout l’impact sur les parents : «On a mis les parents dans la situation d’être en dissonance cognitive, c’est-à-dire que les autorités, sous prétexte d’une idéologie sanitaire, ont mis les parents en situation de maltraiter leurs enfants», ajoute-t-elle.
Une épidémie – qui ne semble pas pour l’instant devenir une pandémie mondiale ! – s’est développée par le transgenrisme. Ainsi, l’esprit en est insufflé jusque dans les petites classes afin que des enfants se laissent contaminer pour croire que le changement de sexe peut être une libération et qu’ils ne puissent pas prendre conscience qu’il s’agit d’une agression très importante sur leur corps. Heureusement que tous les médecins ne sont pas contaminés par cet esprit et que certains défendent leur idéal : «Il faut bannir traitements hormonaux et bloqueurs de puberté, à visée transgenre chez les mineurs».
Les bloqueurs de puberté sont des médicaments qui inhibent la production des hormones sexuelles et de ce fait suspendent la puberté chez les enfants et les adolescents – Ils empêchent les adolescents d’acquérir des signes sexuels secondaires (seins, barbe). La combinaison de bloqueurs de puberté et d’hormones pour développer les signes sexuels secondaires de l’autre sexe a des conséquences irréversibles. Si elle intervient tôt dans le processus de la puberté, elle a notamment pour effet de rendre la personne stérile.
Ainsi donc la «science médicale» en est venue à créer une épidémie de stérilité…
Elle fait croire que le changement de sexe n’est qu’une question physique, ce qui simplifie le processus : «Changer de sexe : une affaire rarissime devenue dominante». SOS Éducation, s’inquiète de la banalisation, dans les écoles et sur les réseaux sociaux, de la transition sexuelle chez les jeunes. Une explosion aux effets graves et irréversibles.
Comme dans toute pandémie, il y a heureusement des traitements irréfutables : par exemple ceux créés par l’amour des parents pour leurs enfants. En voici un superbe témoignage :
Cette mère a su mettre aussi en évidence une épidémie qui était limitée à certains milieux mais qui est devenue depuis quelques décennies une pandémie : l’appât du gain. Comme tout agent pathogène, il va jusqu’à stériliser ou encore gangrener. «Le transgenrisme n’est pas seulement une secte, c’est aussi une source d’argent pour Big Pharma qui gagne des patients à vie grâce à ces enfants qui changent de sexe. «Il s’agit d’une industrie de 11 milliards de dollars», a précisé Mme Friday. «C’est une hydre à plusieurs têtes. Il y a des gens qui encouragent cette industrie pour des raisons financières ; la communauté médicale et les grandes sociétés pharmaceutiques font pression parce que chaque enfant transidentifié vaut un million ou un million et demi de dollars. Ce sont des patients à vie».
Le système qui génère, gère et entretient une telle dynamique a pu prendre une pareille excroissance grâce aux progrès de la science et de la technique, au détriment des lois naturelles comme, dans le cas de la covidémie et du transgenrisme, celles qui concernent la nature du corps humain et la structure familiale.
Cette pandémie de l’appât du gain est corrélée avec le monde de la finance : «Le monde est dirigé par ceux qui contrôlent la monnaie».
«Il y a près de deux siècles, après les premières révolutions industrielles et politiques du 18ème siècle, la politique a cédé la place à la finance. La plupart des gens n’ont pas vu ce bouleversement profond qui faisait changer de main le pouvoir réel tout en gardant la même apparence des choses».
La pandémie économique incite aussi au gain de temps qui peut devenir un argument prioritaire pour certains :
«Chantier du TGV Lyon – Turin : le projet controversé décrypté»
Deux fois plus grand que le tunnel sous la Manche : avec ses 57 kilomètres creusés sous les Alpes, le tunnel ferroviaire Lyon-Turin approcherait le coût faramineux de 26 milliards d’euros. Mais où trouver les financements en ces temps de crise ? Pourtant, le chantier a déjà commencé. «Pièces à conviction» met en lumière l’intense lobbying des géants du BTP et de certains élus locaux pour que ce projet titanesque aboutisse.
Jusqu’où ira l’appât du confort ? Et quels prix allons-nous encore payer pour notre agrément au détriment d’autres facteurs indispensables à notre santé ?
Dans cette vidéo, nous apprenons (à la minute 8) que «Le Parlement suisse a voté 14 milliards de francs pour l’amélioration du réseau des autoroutes, comme ajouter une troisième voie là où il y en a déjà deux».
Évidemment, une telle gestion de l’économie ne peut que conduire à une pandémie de dettes : «Si demain Blackrock revend la dette française, on est cuits».
On vit dans un système néolibéral fondé sur la dette qui rend aujourd’hui nos économies ingérables.
Il faudrait gérer aujourd’hui cette histoire de dette. On sait très bien qu’on ne pourra jamais la rembourser.
Gros problème : quand vous émettez de la dette, vous émettez de la monnaie. Si vous en créez davantage que vous ne créez de richesse, la monnaie n’est jamais qu’une représentation de richesse, vous faites un transfert : celui qui reçoit la monnaie va recevoir de la richesse réelle par rapport à celui qui n’en reçoit pas. Plus vous émettez, plus vous créez d’inégalités. On arrive aujourd’hui à un stade qui devient insupportable.
Nous assistons aussi à une pandémie de voitures électriques. Tout est fait pour nous inciter à abandonner les voitures thermiques. En brandissant l’argument de la non émission de CO2, on scotomise d’autres éléments très importants.
Il est intéressant de signaler que la vidéo qui exposait 7 problèmes majeurs sur les voitures électriques a été supprimée, parmi lesquels : le Co2 ne sera pas émis quand la voiture circule mais pendant la recharge de la batterie.
Batteries dont les besoins en métaux lourds occasionnent une énorme pollution minière.
Nous avons aussi été les témoins ou les victimes de la désinformation qui se répandit comme une pandémie ! Par des acteurs de plusieurs milieux et dans divers pays : La Radio Télévision Suisse a traité le sujet en mars 2022 «Fake news, une pandémie de mensonges».
Un autre regard nous est apporté par «Les Rencontres de Cara – «Le suicide du journalisme»»
Face à la crise sanitaire, les médias ont abandonné leur rôle de contre-pouvoir pour devenir des communicants de la doxa officielle ; analyse d’un sociologue, directeur de recherche au CNRS.
Et encore : «La mortalité du Covid, la pire depuis 100 ans ? Les étranges statistiques de la RTS».
La RTS est aussi mise en cause par le Mouvement Fédératif Romand au sujet de la dernière votation.
De son côté, un collectif développe le thème de «Information et désinformation, une histoire de contrôle !»
Pour sa part, un journaliste indépendant, fondateur d’un magazine, présente : «Ces chiffres que l’on nous cache».
Il existe même une pandémie par internet : les cryptomonnaies. J’ai pu découvrir sur un site évoquant «l’hyperbitcoïnisation de l’économie», l’incitation à un plan d’action spécial «Rebond Crypto 2023» pour imiter ce que font les plus gros acteurs du marché en ce moment même décrétant que : N’importe qui peut devenir riche grâce aux crypto-monnaies.
Inutile de faire une grande École de commerce,
Ou d’avoir des dizaines d’années d’expérience en finance.
Un jeune de 12 ans est devenu crypto-millionnaire en quelques années !
On focalise ainsi sur l’appât du gain comme but primordial et on ne mentionne pas tout ce que le jeune de 12 ans a mis de côté de son développement ontologique, comme s’il s’était confiné dans son jeu de cryptomonnaie.
Un autre site, que je ne nommerai pas non plus pour ne pas m’en faire complice !, propose un logiciel :
«En utilisant ce logiciel vous allez donc pouvoir profiter de la hausse du marché des Cryptos sur le long terme sans avoir à vous occuper de quoi que ce soit». Ne s’agit-il pas là d’un pouvoir de castration sur les capacités de tout être humain d’être créateur et animateur de sa propre vie ?
Avez-vous observé la pandémie de la simplification ? Nous l’avons subie par la simplification obligée des traitements covid. Une telle stratégie nous conduit à une pandémie de la pensée unique. Nous sommes confrontés maintenant au Programme One Health de l’OMS.
«Comme vous le savez, l’OMS est en train de devenir le seul décideur en matière de santé publique dans le monde par le biais du traité sur la pandémie proposé et des amendements au Règlement sanitaire international (RSI), chacun d’eux renforçant l’autorité et le pouvoir de l’OMS par différentes voies tout en effaçant la souveraineté nationale et la liberté individuelle en la matière».
La conséquence d’un tel excès est que des représentants de la population de l’UE s’activent et lancent une pétition contre le pass sanitaire inclus dans ce traité.
Le 5 juin dernier, l’OMS et l’Union européenne ont signé un partenariat.
L’OMS va pouvoir utiliser le certificat numérique européen pour en faire un pass sanitaire mondial. L’idée est de créer un système de certification mondial.
Celui-ci sera imposé lors de la prochaine pandémie que l’OMS semble avoir déjà prévu…
L’OMS justifie cette démarche au nom de l’équité, l’innovation et la transparence.
Dans cette affaire, ni votre consentement, ni le bilan catastrophique de la gestion de la crise sanitaire ne sont pris en compte.
Même le système de santé est atteint de pandémie de propension économique : «Le système de santé est devenu une industrie de la maladie». Et ce médecin de conclure : «Soit on va vers une médecine transhumaniste administrée par les majors de la data comme Amazon, Google, Facebook, Microsoft, et on sera dans une santé automatique pour les gens riches. Pour les pauvres, tant pis pour vous. Soit on se reempare de la santé nous-mêmes, et c’est déjà en train d’arriver».
Au niveau psychique, nous sommes confrontés à une pandémie d’inconscience : se laisser vacciner sans donner son consentement éclairé. Cette attitude dénote aussi une méconnaissance de son corps, de sa structure, de son fonctionnement, de sa relation à son environnement tant matériel qu’énergétique.
Un autre type de pandémie : «La censure s’incruste dans nos mœurs»
Wokisme, LGBT, bien-pensance, exclusion des dissidents… de droite comme de gauche. Un terrorisme intellectuel s’installe dans le lieu sacré de la libre expression, l’université.
Même les insectes subissent une pandémie d’intoxication : «Nouveau rapport : les pollinisateurs, victimes collatérales des pesticides ARNi»
«POLLINIS publie un rapport inédit sur les dangers des pesticides génétiques ARNi, nouveaux produits de l’agrochimie. Présentés comme des alternatives durables aux pesticides chimiques, ces produits «extincteurs de gènes» pourraient avoir des effets potentiellement catastrophiques pour les pollinisateurs et l’ensemble de la biodiversité».
La conclusion nous est apportée par un journaliste particulier qui a développé dans sa dernière vidéo la notion de débilocratie.
Si vous éliminez des personnes d’expérience pour des raisons idéologiques, non pratiques, non professionnelles, alors prend la place l’idéologie du rendement, de la promotion, etc. et vous ne vous appuyez plus ni sur les exigences de sécurité, de compétence et d’adéquation.
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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