Cette affaire, conservée à coups de « fake news » durant plusieurs années, finit par éclater. L’emballage « fact checking » n’a pas résisté et commence à laisser suinter des odeurs pestilentielles. Preuve que notre monde est en totale décomposition, le nauséabond ne se remarque même plus. La « cancel culture », ultime valeur de l’occident, se révèle dégénérescente et avilissante, bref mortifère.
Là, on comprend mieux qu’il n’y a plus grand chose à faire, sinon ne plus se priver de péter dans les lieux publics.
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