Le 28 mars 2023, la journaliste indépendante Emilie Mugabo me transmit un rapport très sensible concernant la généticienne Alexandra Henrion-Caudé. Jusqu’à maintenant, je n’ai pas dévoilé ce dossier car j’y réfléchis profondément et j’affine moi-même quelques recherches à ce sujet. Emilie Mugabo m’écrivait alors : « Je suis votre site depuis au moins 8 années et apprécie beaucoup que vous traitiez des sujets peu ou pas abordés ailleurs. J’ai publié moi-même et à mon nom en février un article sur Alexandra Henrion-Caudé parce qu’aucune personne ayant connaissance de son titre de Eisenhower Fellow n’osait soulever le problème. Or à ce moment-là, il me semblait crucial d’en parler. L’article est paru le 11 février sur Profession-Gendarme, le jour où s’ouvrait une grande conférence au Luxembourg rassemblant divers scientifiques (dont AHC), c’était voulu et j’ai du travailler très vite. Cela a produit un vrai tollé en deux heures à peine et à midi, Ronald [Guillaumont] enlevait mon article de son site après que la généticienne l’ait appelé, en pleurs. »
Depuis que Madame Mugabo m’a écrit au mois de mars dernier, j’ai développé une longue correspondance avec le scientifique interdisciplinaire français, Dr Jean-Claude Perez, collègue et ami du biologiste virologue, le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour la découverte du virus du sida. Monsieur Perez a publié plusieurs études scientifiques, dont certaines avec le professeur Montagnier. Nous pouvons donner comme exemple l’étude publiée le 29 mai 2020 sur le site du Center for Open Science : “COVID-19, SARS and Bats. Coronaviruses Genomes: Unexpected Exogenous RNA Sequences” (COVID-19, SRAS et chauves-souris. Génomes des coronavirus : séquences d’ARN exogènes inattendues). Selon le Dr Perez, sa découverte la plus importante a été réalisée en 1997 et partagée en 2009 dans son livre “Codex biogenesis – Les 13 codes de l’ADN“. L’étude fut publiée en 2021 dans la revue à comité de lecture International Journal of Research -GRANTHAALAYAH, avec une préface de Luc Montagnier. Cette étude s’intitule en anglais : “Six Fractal Codes of Life fron Bioatoms Atomic Mass to Chromosomes Numerical Standing Waves: Three Breakthoughs in Astrobiology, Cancers and Artificial Intelligence” (en français : “Six codes fractals de la vie de la masse atomique des atomes bio aux chromosomes ondes stationnaires numériques: Trois percées en astrobiologie, cancers et intelligence artificielle”).
Mathématicien et informaticien, Jean-Claude Perez a été, dans les années 80, un pionnier de la neuro-informatique (Intelligence Artificielle). Il publia en 1988 le premier livre français sur les réseaux de neurones artificiels : “De nouvelles voies vers l’Intelligence Artificielle” (Editions Masson Paris). Puis, chercheur pluridisciplinaire, il sera, dès 1990, tout naturellement, passionné par le naissant projet HUGO de décryptage du génome humain, à la fois à cause de l’utilité et de la beauté de ce défi. Il découvre en 1990 un “ordre global de l’ADN” qu’il validera avec les meilleurs biologistes, médecins, rétro-virologues du SIDA (dont deux des trois co-découvreurs du virus VIH les professeurs Jean-claude Chermann et Luc Montagnier). Il poursuit cette recherche de structures numériques de l’ADN et des génomes depuis plus de 25 ans. En 2020, M. Perez était un pionnier dans la recherche sur les origines de COVID-19. D’ailleurs, une très bonne synthèse interdisciplinaire se trouve sur le site de France-Soir. Récemment, il eut l’honneur de publier avec la neurologue Claire Moret-Chalmin un dernier article co-écrit avec Luc Montagnier. Cet article, qui analysait plusieurs dizaines de cas où les premiers symptômes de la maladie neurodégénérative fatale de Creutzfekdt-Jakob surgissaient dix jours sitôt la vaccination COVID-19, fut publié le 12 janvier 2023 dans la revue à comité de lecture, “International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research” (IJVTPR), soit un an après le décès du Pr. Montagnier.
Jean-Claude Perez s’y connaît très bien avec celles et ceux qui font partie de ce qu’on appelle communément l’opposition contrôlée et dont vous pouvez voir quelques visages dans les vidéos ci-dessous. Ces gens ont souvent profité de la « crise de coronavirus » pour se faire connaître, vendre leurs produits et amasser des dons faramineux au détriment d’un public fragile et souffrant. M. Perez combat cette opposition contrôlée quotidiennement. Il écrit sur son compte Twitter : « @LucMmontagnier 2020-2023. Nos recherches… Nos censures… Nos batailles pour exclure les opportunistes en hommage à la Mémoire de Luc… » Il est probable que nous organisions prochainement une conférence vidéo avec Jean-Claude Perez, la neurologue Claire Moret-Chalmin, la journaliste Emilie Mugabo et peut-être même la fille du Pr. Luc Montagnier, afin de discuter de cette opposition contrôlée et du dossier concernant Alexandra Henrion-Caudé. Evidemment, cet événement reste à être confirmé.
En attendant, je vous invite à lire un hommage que le mathématicien Jean-Claude Perez rendit au Pr. Luc Montagnier et qui fut en partie publié sur le site internet de la Fondation Luc Montagnier.
➽ Hommage de Jean-Claude Perez au Pr. Luc Montagnier
Un jour de l’été de l’année 2019, Luc me téléphone, il me demande de démarrer avec lui une recherche bioinformatique sur l’analyse des ondes de cette recherche prohibée : “la mémoire de l’eau”. Pour résumer, à partir de plasmas sanguins de patients atteints de pathologies comme maladie de Lyme, alzheimer, autisme ou VIH, la technologie de hautes dilluions produit des traces d’ADN via la PCR : ces amorces PCR sont-elles relatives aux séquences ADN de certaines bactéries du sol comme herbaspirillum ou Sutterella ? Ces bactéries seraient-elles impliquées comme co-facteur dans ces nouvelles maladies chroniques que Luc nommait “infections froides” ? Dans ses géniales intuitions, Luc voyait déjà très très loin:
Voici son objectif scientifique précis (mail de juillet 2019) :
« Bonjour, je recommence ma réponse, cette sale machine ayant apparemment tout effacé. Je vous rappelais notre but principal, la neutralisation par des antiphases de signaux émis par des ADN d’agents pathogènes. »
En acceptant avec enthousiasme cette collaboration j’ignorais que j’allais partager quasi chaque jour des 3 dernières années des recherches d’un des plus grands scientifiques du siècle…
Rétrospective :
Mais pour bien comprendre comment se mit en place ce creuset d’une recherche interdisciplinaire capable de changer de paradigme, propulsons nous 34 ans en arrière: en 1988…
Que se passe-t-il donc en cette mémorable année 1988 qui va voir fusionner des disciplines aussi diverses que l’informatique, la physico-chimie et la génétique… tout cela pour peut-être un jour révolutionner la médecine ?
Luc Montagnier, lui, lutte avec l’américain Robert Gallo par articles de Science ou Nature interposés sur ce sujet brûlant honorifiquement mais surtout financièrement: qui de eux deux (et de leurs deux pays respectifs) est le “père légitime de la découverte du virus VIH?”. La bataille en paternité du virus du SIDA fut rude, voici ce que m’écrivait Luc le 5 octobre 2021 à propos du Pr Fauci qui joua un rôle majeur à la fois dans l’épopée VIH et dans l’épopée du COVID-19 :
« Quant à la fraude de Fauci dans le Sida, je demande à voir les preuves. Il y a eu une longue discussion scientifique sur le rôle du virus dans la maladie depuis pratiquement terminée du fait que la réduction de la charge virale par la trithérapie sauve les CD4 et sauve la vie du patient, qu’il soit hémophile ou homo. La différence entre le groupe Gallo/Fauci et moi est que j’ajoute au virus un activateur intracellulaire qui est un co-facteur bactérien. La fraude de Gallo a été d’utiliser mon virus en lui donnant un autre nom qui le rapprochait des rétrovirus oncogènes alors que je lui apportait la preuve qu’il s’agissait d’un lentivirus. Ou était Fauci là-dedans ? Il était le pourvoyeur de fonds du laboratoire de Gallo et j’ai appris plus tard qu’il bloquait les recherches de Ruscetti et de son associée… LM »
En cette même année 1988 alors que la prometteuse Intelligence Artificielle (I.A) ne jure chez ses chercheurs majoritaires que par l’intelligence du cerveau gauche, celle des raisonnements formels et logiques nommés “systèmes experts”, je vais à contre courant avec la piste du cerveau droit en publiant mon livre “De nouvelles voies vers l’Intelligence Artificielle: pluridisciplinarité, auto-organisation et réseaux neuronaux“.
Mon réseau neuronal baptisé “chaos fractal” est hypersensible, proche de la mémoire holographique (des ondes déjà) où « le tout est la somme des parties et où chaque partie est un résumé du tout ». Cette machine est même capable de “s’ennuyer” en détectant des situations répétitives à tel point qu’un article du journal Sciences et Vie titra à son sujet « vous avez oublié de me débrancher » ! Cette machine en s’ennuyant détecterait donc une situation d’impasse et serait capable « de changer de paradigme » !
En particulier son hypersensibilité est telle qu’elle continue de reconnaître une image dont on aurait atténué la luminosité dans un rapport de 10000…
Alors lorsque en 1988 Jacques Benveniste avec “sa mémoire de l’eau” parle de hautes dilutions à 10E120, avec beaucoup d’imagination on peut relier ce phénomène avec mes petites dilutions de l’information dans un ordinateur, certes plus modestement, à 10E4 !
Comme je suis un chercheur libre (centre de recherches d’IBM), je vais donc voir Jacques Benveniste dans son labo de L’INSERM de Clamart pour discuter de cette analogie. Et nous sommes ainsi devenus amis. Qui aurait imaginé alors que ce serait Luc Montagnier qui prolongerait un jour cette découverte en l’étendant à l’ADN via cette magnifique technologie qu’est la PCR…
En 1988 encore débute dans un tout autre domaine, la génétique, ce projet pharaonique et mondial HUGO qui durera plus de 20 ans: le projet de séquençage des 3 milliards de paires de bases TCAG constituant le génome humain…
Le 6 octobre 2008, Luc Montagnier a reçu le prix Nobel de physiologie ou médecine pour la découverte, en 1983, du virus de l’immunodéficience humaine (VIH) responsable du syndrome d’immunodéficience acquise (sida), dont la « découverte a été essentielle à la compréhension actuelle de la biologie de cette maladie et à son traitement antirétroviral », selon le comité Nobel.
Alan Turing : « Pourquoi y a-t-il des Nombres dans la Nature ? »
Quel rapport entre ces 3 domaines ?
Lorsque j’essaie de comprendre l’hypersensibilité de mon réseau d’IA Fractal Chaos, je découvre que le réseau positionne ses fractales dans des régions numériques voisines du nombre d’or 1.618.
Or chacun sait que le rapport de 2 nombres successifs de Fibonacci 1 1 2 3 5 8 13 21 34 55 89 144… par exemple 34 et 21 tend vers l’inaccessible limite de Phi, le Nombre d’or.
Les Nombres de Fibonacci sont omniprésents dans la Nature : coquille du Nautile, nombres de spirales des ananas, fleurs de tournesol, palmiers, artichauts ou pommes de pins…
J’ai alors cette intuition : il faut rechercher des proportions de Fibonacci entre les nucléotides TCAG de l’ADN : par exemple si 55 bases successives se répartissent en 21 TC et 34 AG, je noterai une “résonance”… toujours et encore des ondes !
« Changer de paradigme » :
Avec cette découverte j’allais abandonner l’intelligence Artificielle pour m’incruster en franc-tireur dans un monde hostile : celui des biologistes et des généticiens…
Que viennent faire les nombres et les mathématiques dans un monde aussi sérieux que la génétique ? Les chercheurs auxquels je présente ma découverte me toisent de haut. Un prix Nobel de Médecine français dirigeant le labo avec lequel je valide ma découverte me dira même gentiment « vous devez bien vous amuser avec tout ça » ! Mis à part un quarteron de biologistes à l’esprit ouvert, seul Luc Montagnier va prendre très au sérieux ma recherche.
C’est ainsi que le 22 Septembre 1993 Luc Montagnier m’organise une conférence au pavillon des rétrovirus de l’institut Pasteur afin d’y présenter mes méthodes et résultats. Dans l’article « La Musique des Gènes » publié en 1995 dans Sciences et Avenir, il écrira :
« ../… le principe de la découverte de Jean-Claude Perez m’intéresse, il est très possible que par delà les séquences, une sorte de “supracode de l’ADN” existe…/… »
C’est donc à Luc que je dois le nom de baptême de cette découverte « Le SUPRACODE de l’ADN ».
C’est vers cette même époque que Luc fonde à l’UNESCO la fondation mondiale pour le Sida, la FMPRS car, comme mon système Fractal Chaos capable de s’ennuyer, Luc a compris que la recherche sur le Sida ne trouvera une issue que si elle change de paradigme en adoptant une approche pluridisciplinaire. C’est ainsi qu’il proposera de participer à cette approche bien au-delà de la Médecine à d’illustres chercheurs comme le mathématicien René Thom ou le prix Nobel de chimie belge Ilya Prigogine…
Alors de 1993 jusqu’à 2019, bien des années passent, Luc Montagnier, fidèlement, m’aidera de ci de ça : conférences, publications d’articles et…
Lire la suite ici : Guy Boulianne
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