L’une de nos fidèles lectrice nous apporte son témoignage. Merci à Marie du Lys pour celui-ci.
« Tous ceux qui ne sont pas piquousés font le constat d’un grand nombre de décès prématurés dans leur entourage, mais aussi de maladies survenant chez des gens qui étaient en parfaite santé avant de se faire injecter.
Je vais parler d’une amie artiste-peintre, et qui était un rayon de soleil, à elle toute seule. En mai 2021, elle décéda d’une crise cardiaque, au surlendemain de la première injection covidesque. J’invente ce mot qui a la vertu de rimer avec grotesque comme la grande fable médiatique qu’on nous imposa, mais il peut être réutilisé, car ce néologisme fait immédiatement sens. Cette artiste n’avait jamais eu le moindre problème cardiaque.
Tous les dimanches, je regarde les faire-parts de décès sur le journal. A partir de la vaccination, on a vu cette rubrique se remplir de décès prématurés. On peut parler d’une hécatombe entre 40 et 68 ans. C’est certain, la Caisse de retraite sera bientôt en excédent !
Dans les années 80 à 90, on nous parla de « mort subite du nourrisson », or, ces décès de bébés survenaient juste après l’injection de vaccins ! Dans les années 2020, on parle de « mort subite de l’adulte », survenant, comme c’est surprenant, après vaccination Covid !
Justin Bieber et sa compagne ont tous deux eu un AVC suite au vaccin, et à 28 ans, le chanteur n’est pas prêt de remonter sur scène, car la bouche tordue qui se retrouve à l’emplacement de la joue, ne permet plus de chanter; parler ou se nourrir et boire, ne doivent pas non plus être aisé pour ce jeune homme qui ressemble désormais à « L’homme qui rit » de Victor Hugo. Céline Dion semble aussi être tombée malade et ne plus pouvoir marcher, suite au vaccin. Elle présente des tremblements, or, certaines femmes de la cinquantaine développent justement la maladie de la vache folle ou syndrome de Creutzfeld-Jacob, suite à cette vaccination Covid, et elles en meurent. A moins d’un miracle, jamais Céline ne pourra remonter sur scène.
Des gamins sont morts dans la cour de récréation après avoir reçu l’une de ces injections du diable, et on ne compte plus le nombre de jeunes sportifs de tous pays qui en sont décédés.
Voici encore un constat personnel tout récent concernant les effets de la piquouse nommée vaccin contre le ou la COVID; on nous le nomma d’abord au masculin, puis Covid changea de sexe du jour au lendemain; c’était sans doute pour nous faire ensuite l’overdose médiatique de LGBT.
Anecdote à relever, dans un épisode d’Astérix, à savoir « La Transitalique », le grand champion de course de chars des romains se nomme Coronavirus !
Hier, j’étais à un concert de mon ancienne chorale, celle où je chantais avant les confinements, suivis de l’interdiction des salles publiques aux non injectés, non infestés, bref l’apartheid, pourtant illégale, affectant les gens libres et conscients. Je ne suis plus retournée chanter. Mon sentiment fut que la cohésion de groupe qui nous avait permis de faire tant de beaux concerts se trouvait brisée par cette division induite brisant notre solidarité permettant de produire une belle euphonie lors de nos concerts. Revenir après cette exclusion ne m’était plus possible.
Je n’ai pas reconnu ma chef de chœur qui était jeune et belle, mais très vaccinée et qui a doublé de volume. Elle est passée d’une taille 38 à une taille 46, environ. Je suppose qu’elle a sans doute fait un rappel, car lors du concert de l’an dernier, elle était encore mince.
Je n’ai pas reconnu, ou avec peine, nombre de vaccinés qui ont pris un énorme coup de vieux avec ces vaccins; certains ont pris des têtes de momies, et chez les hommes, la perte de cheveux est énorme. L’un est venu me saluer et j’ai mis du temps à le reconnaître, et idem pour son épouse…
Des personnes qui comme moi n’avaient pas voulu de l’injection néfaste avaient cessé de chanter, mais cette année, certaines sont retournées à la chorale; c’est le cas de C, femme de 83 ans, en pleine forme et dont le visage n’a pas évolué C’est aussi le cas d’une femme bien plus jeune (la quarantaine) qui avait refusé de se faire injecter et qui n’a pas changé. Une femme du même âge occupe de bonnes fonctions dans un labo pharmaceutique, et bien, elle n’est sans doute pas vaccinée car elle n’a pas changé non plus.
Il semble que les personnes bien placées dans les labos pouvant produire des vaccins, comme c’est sans doute le cas de cette choriste aient refusé de se faire injecter le vaccin covid, mais aient produit de faux certificats !
Un monsieur vint me saluer, et lui aussi, j’eus peine à le reconnaître. Son épouse chante dans le chœur, et lui était propriétaire d’un labo d’analyses, du genre où on se fait faire des prises de sang. Comme j’étais une très bonne soprano, de fait, celle ayant le plus de puissance, et qui entrait la première sur scène, donc qu’on remarquait, il s’étonna que je ne sois pas retournée dans le chœur. Je lui ai dit que j’avais refusé de me faire injecter un produit dangereux et qui s’avère générer des effets désastreux, ce qui explique le fait que je ne chante plus dans le chœur; j’ai précisé que je m’étais sentie exclue, telle une pestiférée alors que je suis restée saine, donc, je suis passée à autre chose.
On assiste aussi à des évolutions négatives sur le comportement de vaccinés, comme la peur panique des personnes âgées, chez des jeunes vaccinés, de jeunes couples. Ainsi pour avoir osé dire bonjour et me présenter, à distance de deux mètres à un jeune couple qui venait de racheter une maison voisine, le lendemain, je les ai vus ériger une clôture en brise-vue à deux mètres de hauteur, or, ils sont séparés de notre maison par deux chemins, dont l’un fait quatre mètres de large. En tout, sept mètres environ les séparent de l’accès à notre maison, mais ils avaient peur que nous les contaminions. Après tout, à la télé on leur a répété qu’il fallait mettre leur propre grand-mère dans la cuisine le soir du réveillon, et avant, on leur a dit de laisser crever leurs vieux, tout seuls, bien enfermés dans les mouroirs autorisés.
Rien que dans notre famille, trois, voire quatre vaccinés ont de graves problèmes suite au vaccin; tous sont sous anticoagulants, et voilà qui rapporte encore aux laboratoires du diable, et l’un a eu une opération du cœur. Tous étaient en parfaite santé avant les injections.
On peut ajouter qu’un ami à quatre doses développe Parkinson à 68 ans, et qu’un autre du même âge, injecté trois fois, qui était sportif et vint nous voir après avoir effectué vingt km de randonnée l’été dernier, subit désormais opération sur opération et est sous anticoagulants; tous les organes semblant atteints, les uns après les autres. Il n’a pas pu être présent lors des dernières retrouvailles de copains de lycée, en mai dernier. C’est à peine s’il peut marcher du canapé au lit désormais.
En décembre dernier, deux semaines avant de partir en Bretagne pour y passer Noël, mon époux et moi avons attrapé ce qui semble avoir été le-la Covid. Ma dernière grippe remonte à six semaine après la naissance de mon second enfant en 1988. Je dois dire que je ne ruine pas la Sécurité Sociale.
Deux jours avec de la fièvre, mal de gorge au début, ensuite ce fut comme un rhume. Mes remèdes ? Pour le mal de gorge, j’ai badigeonné l’arrière-gorge avec un coton-tige enduit d’alcool à 60 degrés puisqu’on n’en trouve plus à 90%. Pour le reste : tisanes, avec thym, citron bio et eucalyptus, oranges bio, et vitamines et sels minéraux. Un oignon coupé sur la table de nuit pour déboucher le nez (ça marche), et une nourriture sans laitage ni viande, le temps qu’il faut. Nous avons pu faire le long parcours pour aller fêter Noël en bonne compagnie, dans une cabane de pécheur (confortable) au plus près de l’océan.
Pour tout dire, ma grippe de 1988 fut bien pire que ça ! J’étais pourtant jeune, mais fatiguée par mon récent accouchement.
Je n’ai connu aucune personne décédée du Covid.
Par contre, nous savons que tous les morts, d’accidents, de vieillesse, de suicides, de meurtres ou du cancers furent déclarés « morts du Covid ».
Ce serait une bonne initiative, si chacun apportait son propre témoignage, à propos de ce qu’il constate chez les vaccinés de son environnement.
Marie du Lys
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