Par WD
La France est en faillite, ce n’est pas un secret d’état. Fillon le proclamait déjà du temps de sa silencieuse célébrité. On ne fabrique plus rien, on ne fait qu’importer. Notre pays n’est plus auto suffisant alimentairement qu’à 30 %. Sully doit se retourner dans sa tombe. Tout ça, tout le monde le sait.
Par ailleurs, nous sommes accablés d’impôts et de taxes. Dans ce domaine fiscal, la France est championne du monde. Quelle gloire ! A y regarder de plus près, on peut dire que notre exécutif se comporte comme la maffia, il rackette. Il nous spolie sans offrir comme la Cosa nostrala protection et une certaine assistance. On est perdant de tous les côtés.
En effet, nous sommes censés avoir en retour fiscal des prestations publiques de qualité et de haute pertinence. Dans l’acte, il n’en est rien. Les services publics sont délabrés. Ils ne couvrent plus l’ensemble du territoire. La décentralisation a créé la centralisation régionale qui mit fin aux centres administratifs des bourgades. Le public doit se déplacer à perpète les oies pour rentrer en contact physique avec une administration quelconque, école comprise. Une personne non motorisée devient un laissé pour compte, un paria, un être obsolescent. Certes, il y a internet pour compenser ce vide physique, mais tout le monde n’a pas les moyens pour payer un abonnement, acheter le matériel informatique et les compétences pour le maîtriser. Le système a fabriqué un bannissement social.
Si 53 % des français ne sont pas assujettis à l’impôt sur le revenu, ils paient une flopée de taxes notamment la taxe sur la valeur ajoutée (TVA). Le taux de ce parasitage est de 20 % en moyenne. C’est un surcoût de 1/5 de la valeur initiale. Une paille.
Quand on voit que l’ensemble des services publics est privatisé, on se demande pourquoi on paie des fonctionnaires devenus inactifs. Pourquoi rémunère-t-on des hauts fonctionnaires alors que le taff est fait par des cabinets de conseil grassement financés ?
Pourquoi payer des impôts alors qu’il n’ a pas un seul radis pour l’hôpital public, pour la retraite, pour le social dans son ensemble, mais qu’il y a des milliards pour Zelensky ? La pantalonnade Covid nous a mis une couche de dette hallucinante sur le dos. Les délires sur l’énergie sont ubuesques. En attendant, nous payons, payons sans cesse la mauvaise gestion de Bruno le redoutable pourfendeur de Russes, écrivain à ses heures salaces.
Pourquoi payer des impôts pour des services publics rares et de piètre qualité ? L’enseignement est déliquescent, l’armée est en sandale rafistolée, les grandes entreprises nationales périclitent et la justice est en putréfaction. En un mot toutes les fonctions régaliennes sont moribondes et nous ne cessons de perdre nos petits sous durement gagnés pour entretenir un édifice public délabré, insalubre prêt à s’effondrer. Seule les forces de l’ordre sont bien loties. Elles le sont uniquement pour nous martyriser dans les rues de la protestation. En dehors de cette mission, elles ne bougent pas une oreille. Elles laissent les zones de non droit se développer tranquillement. La délinquance explose, la violence se systématise, mais le centre des préoccupations est l’abus de langage et d’opinion sur les réseaux sociaux. Bon les gars, il va falloir vous acheter un cerveau tant vous êtes à côté de la plaque. Tant que vous y êtes, vu votre gestion des dossiers sociétaux, procurer vous aussi une âme, ça peut servir.
Nos impôts servent à alimenter les caisses des parasites de tous les niveaux. Parasites institutionnels, parasites extra territoriaux financiers en tête, parasites en corps constitués, parasites sociaux, tous vivent aux crochets des créateurs de richesses de ce pays. Seuls les laborieux et les actifs financent ce petit monde d’inutiles. Les gilets jaunes sont plus utiles que les Laurent Alexandre, le confinement nous l’a prouvé.
Il est temps pour le peuple de manifester contre la pression fiscale devenue tyrannique. Elle tue le pays et paupérise sa population. A un moment donné, il faut savoir dire stop. Ne comptez pas sur les syndicats, sur les partis politiques, sur les groupes d’influence divers et variés car ils font parti de cette cabale anti peuple. Nous le constatons tous les jours, il en est fini du peuple par le peuple pour le peuple, principe pourtant constitutionnel. Avec l’équipe de renégats que nous avons sur le siège du pouvoir, on ne peut compter que sur nous-mêmes.
Source : WD
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