“Le Démocrate moyen sait que la famille Biden est profondément corrompue et il ne s’en soucie tout simplement pas…. Sam Harris a parlé en leur nom à tous lorsqu’il a dit que cela n’aurait pas d’importance si l’ordinateur portable de Hunter était rempli de photos d’enfants morts”. – MartyrMade sur Twitter
C’est le sale secret de notre époque : le dispositif que l’élite Woke / progressiste a utilisé pour se débarrasser enfin de Donald Trump – la Covid-19 – les a précipités dans une falaise à la manière de Wile E. Coyote. Et maintenant, alors qu’ils tombent en chute libre de cette falaise, le supposé antidote à la Covid-19 – se faire vacciner – leur explose à la figure, encore une fois, à la manière de Wile E. Coyote. L’élite doit désormais se réveiller chaque jour en se demandant si les vaccins qu’elle s’est empressée de se faire administrer ne vont pas finir par la tuer prématurément. C’est ce qui a fini par les rendre fous. Et, bien sûr, les fous font des choses folles, comme détruire leur propre pays.
J’ai décidé très tôt de ne pas me faire vacciner pour une raison simple : alors que le programme de vaccination prenait de la vitesse à la fin de l’hiver et au printemps 2021, des rapports ont été publiés selon lesquels la protéine de pointe qu’il contenait attaquait la paroi endothéliale des vaisseaux sanguins et entraînait une coagulation sanguine inhabituelle. Ayant subi un pontage quelques années auparavant, c’est tout ce que j’avais besoin d’entendre. C’était avant que le complexe industriel de la censure ne se forme pour s’attaquer à la “désinformation”. Les nouvelles étaient encore en train d’être diffusées.
À ce moment-là, M. Trump n’était plus là non plus, destitué à l’issue d’une élection truquée avec des bulletins de vote Covid-19 “innovants” qui facilitaient la fraude. Il a été remplacé par un faux chef de l’exécutif, trop impuissant pour faire campagne, mais utile pour servir de façade à la gigantesque bureaucratie de la “sécurité” qui dirigeait en fait les choses. Cela soulève naturellement la question suivante : quelle est la relation exacte entre l’élite politique et cet État sécuritaire ?
Les élites sont les idiots utiles de l’État sécuritaire. Elles le rendent possible et le protègent grâce à leurs manœuvres de division. Le sale secret de l’État sécuritaire est qu’il ne s’agit pas de la sécurité de l’État, c’est-à-dire de la nation connue sous le nom de États-Unis. Il s’agit de la sécurité de ceux qui dirigent l’État sécuritaire, les chefs d’agence et leurs officiers de la communauté des services de renseignement et de toutes ses ramifications, le département d’État, le département de la Justice et le département de la Défense, ainsi que leurs complices au sein du Congrès et du pouvoir judiciaire fédéral.
De quoi cet État sécuritaire doit-il se protéger ? De l’obligation de rendre compte de tous les crimes cumulés qu’il a commis à l’encontre de la nation. Ces crimes se sont lentement accumulés au cours des décennies qui ont suivi la guerre froide, avant de s’épanouir en 2016 – lentement, puis d’un seul coup – lorsque l’État sécuritaire a été ébranlé par la défaite électorale de son avatar, Hillary Clinton. Mme Clinton avait elle-même de nombreux crimes à dissimuler, la plupart commis avec l’aide de l’État sécuritaire, comme l’escroquerie Uranium One, le transfert à Skolkovo de technologies informatiques américaines vers la Russie et les escapades financières de la Fondation Clinton après le tremblement de terre de 2010 en Haïti, pour n’en citer que quelques-uns.
La personne qui a battu Mme Clinton avait évoqué publiquement et de manière choquante ses crimes pendant la campagne, allant jusqu’à la qualifier de “Crooked Hillary” (Hillary la véreuse). C’est pourquoi le canular de la collusion avec la Russie est devenu la pièce maîtresse du harcèlement de l’État sécuritaire pendant le mandat de M. Trump. Le Parti démocrate a été enrôlé comme garde prétorienne de l’État sécuritaire. Il a fallu conditionner le public pour qu’il croie à toutes sortes de choses qui étaient à l’opposé de la vérité.
Comme de nombreuses institutions au cours des dernières décennies, le Parti démocrate a fini par être dominé par les femmes. Les femmes, qui recherchent la sécurité, ont été facilement manipulées par l’État sécuritaire qui les a poussées à l’hystérie en faisant une fixation sur Donald Trump, qui représentait tout ce qui ne semblait pas sûr. Le jour de l’investiture de M. Trump, elles ont donné le ton en organisant une marche des femmes au cours de laquelle des milliers d’entre elles portaient l’emblématique “pussy hats” (bonnet à pompon). Message : ne pensez pas que vous pouvez faire ce que vous voulez !
L’hystérie n’a pas faibli depuis lors, et maintenant que M. Trump resurgit après mille tentatives de le tuer comme un implacable meurtrier à la hache dans un film d’horreur, le corps des idiots utiles montre des signes d’épuisement nerveux. L’homme de paille du Parti démocrate, “Joe Biden” (ou la clique qui le soutient dans les coulisses), s’est planté sur à peu près toutes les questions d’intérêt public vital, dans son pays et à l’étranger, et maintenant ce président se révèle être à la tête d’une opération de racket spécialisée dans les pots-de-vin. Pourtant, curieusement, c’est M. Trump qui a été mis dans les rouages du système judiciaire pour une série ininterrompue d’accusations de type “Mickey Mouse”. Il y a fort à parier que rien de tout cela ne fonctionnera.
Les Démocrates doivent s’en douter, et leur ennemi juré a déclaré très clairement ses intentions pour son retour au pouvoir : virer tous les séditieux de l’État sécuritaire, gracier toutes les personnes de droite qui ont été injustement poursuivies, et entamer des poursuites vertueuses contre les personnes qui le méritent vraiment. Ainsi, la gauche plonge toujours plus profondément dans la maladie mentale – la célébrant à chaque occasion et la jetant même au visage de l’Amérique, à la manière du Joker, en signe de défi : Tenez, prenez une autre drag queen….
Une grande partie de la maladie mentale de la gauche est l’incapacité à remarquer sa propre trajectoire autodestructrice. Il y a une issue pour eux, mais elle est plutôt radicale. Il s’agirait de se tourner vers RFK Jr. pour qu’il prenne la direction des opérations. Le problème est que M. Kennedy a l’intention de s’en prendre au patron des Démocrates, l’État sécuritaire lui-même, qu’il a publiquement rendu responsable de la mort de son père et de son oncle. Bobby Kennedy est également un ennemi des agences de santé publique américaines et, en particulier, un critique des vaccins Covid-19 auxquels la gauche a accroché son identité. Ils ne peuvent toujours pas admettre que se faire vacciner et booster a été une erreur tragique.
Mais une élection entre RFK Jr. et Donald Trump serait un exercice des plus salutaires pour notre pays. Tous deux veulent démanteler l’appareil de surveillance hypertrophié et réformer en profondeur les agences relevant du pouvoir exécutif. En d’autres termes, ils ont tous deux l’intention de désarmer l’État sécuritaire et le complexe industriel de censure qu’il a engendré. Ils sont tous deux opposés aux stupides guerres néoconservatrices. Trump contre RFK Jr. rassemblerait les citoyens de ce pays et recentrerait l’attention de la nation sur les choses importantes. Ce serait également le dernier combat des baby-boomers.
James Howard Kunstler
Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d’abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu’au ciel.
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
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Source : Lire l'article complet par Le Saker Francophone
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