Toujours le même schéma… elles sont psychologiquement fragiles, ou influençables parce que souvent très jeunes, elles suivent l’homme admiré en regard duquel elles fabriquent de bien curieux espoirs… il « devrait » les aider, tout naturellement, et sans contre partie, à accéder à ce curieux rêve : la réussite supposée de la staritude.
Une femme aboutie, finie et bien dans sa peau renifle le plan. La tendance masculine est de prendre – selon diverses façons, on le sait. Mais c’est la loi du vivant, la loi de la reproduction et du plaisir conjugués qui demeure, n’en déplaise aux adeptes de la neutralisation intégrale de la vie elle-même, la Loi du Vivant.
Est-ce la faute des hommes si la société de consommation les consume au point qu’elles croient presque toutes au chant des sirènes du » Donne-moi ma chance, j’y ai droit » ?
Evidemment non. Savent-elles, ces sottes-là, que ce sont des hommes qui élaborèrent habilement le féminisme afin de nous transformer toutes en esclaves de la conso permanente ?
Pour ces femmes, le viol serait donc la caractéristique irrépressible de presque tous les hommes ? Si ces victimes auto proclamées réfléchissaient sérieusement elles comprendraient qu’un monde qui a lâché le diable (la pulsion des désir archaïques comme unique objectif pour se sentir exister) n’avait d’objectif que celui de réduire hommes ET femmes à l’exclusive loi de leur Désir tout puissant… le viol n’est que le fruit d’esprits frustrés. La guerre des sexes fait parti du plan.
Ayant moi-même subi 3 viols dans ma vie, j’ai d’abord cherché à comprendre les véritables paramètres (souvent inconscients) qui enclenchèrent ces événements. Ces paramètres sont nombreux, en vrac :
sa propre histoire (structure affirmée ou potentielle victime ?)
les circonstances dans lesquelles on s’embarque
le goût, indiscutable, de la séduction homme / femme et qui demeure un jeu ontologique du vivant
l’ambiguïté du « oui, mais non » très répandu chez les femmes.
Et puis bien sûr… l’infériorité de notre force physique qui, de facto, doit être pris en considération et par nous, les femmes, et par les hommes… à condition de vivre encore dans une civilisation. Mais est-ce toujours le cas ? Pas sûr… L’a-t-on voulu, nous, les femmes ? Il apparait que oui…
A méditer, ladies…
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