Par WD
Les surineurs de grand chemin nous accablent constamment par leur propagande outrancière Woke. Pourquoi une minorité de gens doit-elle faire référence sociétale ? On veut nous imposer le mètre-étalon LGBTQIA+ qui en fin de compte n’interpelle qu’une frange de personnes posées à la lisière de la société. Personnellement, j’en ai rien à foutre des fantasmes assouvis et exposés par certains, mais qu’ils arrêtent de me harceler. Que ceux qui se griment en cabot et s’exhibent dans la rue leur délire cessent de me montrer de la patte comme si j’étais moi une bête de foire, une erreur de la nature. Je suis ce que je suis, désolé d’être conforme au desiderata de la nature. En fin de compte, je suis ostracisé par les prédicateurs de la tolérance. Un comble. N’oublions pas que la liberté des uns s’arrête où commence celle des autres. Ce principe fondateur d’une société harmonieuse au relent d’indulgence n’est plus à l’ordre du jour. Le marginal s’impose par un matraquage excessif de piètre résonance.
Par ailleurs, est-il normal d’agresser les enfants qui sont encore dans l’innocence, qui ne sont pas encore titillés par le changement hormonal avec ces démonstrations d’ordre sexuel à l’école ? Les apparatchiks wokistes ne veulent plus laisser les enfants être des enfants. Ils leur volent leur jeunesse. Ils les perturbent et ceci aura des conséquences psychologiques majeures dans l’avenir. Est-ce le but inavoué à atteindre ? Les psychologues et autres gourous de la psyché doivent répondre à ces questions.
Dans tout ce pataquès sociétal, on invisibilise sciemment la valeur « Amour ». On encense tout un panel de comportemental sexuel déviant, toute une série d’identification souvent exogène, mais jamais la valeur sentimentale. Elle devrait être pourtant au centre des préoccupations. Sans amour, l’humain devient égoïste voire asocial. Sans amour, l’empathie n’est plus. Sans amour, on consomme de l’humain pour satisfaire sa jouissance et son autolâtrie. Sans amour, toutes les dérives négatives sont permises, ce qui n’est pas bon pour l’équilibre sociétal.
Source : WD
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