Un projet prometteur et nécessaire pour s’affirmer collectivement
24 applications essentielles
N’est-il pas quelque peu surprenant de constater qu’il n’existe pas encore de ministère québécois entièrement consacré à la valorisation et la préservation de l’identité québécoise?
Dans le futur pays du Québec, ne serait-il pas normal de s’attendre à ce que le gouvernement s’empresse à multiplier les mesures et programmes nécessaires pour faire en sorte que notre identité collective soit source de fierté pour tous, et qu’elle s’affirme prioritairement dans toutes les strates de la société?
Les Québécois de souche ne sont pas une ethnie quelconque parmi les autres, ils sont le peuple fondateur lui-même, les descendants en droite ligne des pères de la nation, des découvreurs, des pionniers, des défricheurs du pays. Nous sommes le peuple tout à fait distinct du Canada, resplendissant dans toute sa spécificité, sa beauté inhérente et sa résilience. Nous sommes une continuité linéaire.
Et nous sommes loin de n’être que des immigrants, nous sommes la première mouture de la nation, nous l’avons tricotée serrée, maille par maille. Nous en sommes le gabarit, le moule. Nous n’avons pas changé de culture, de langue, de lieu, nous sommes venus au monde avec tous ces atouts. Nous les avons perpétués.
On doit être fiers d’être 100% québécois, et tout aussi fiers de ne pas être canadiens. C’est là la base de l’amour de la patrie qui doit nous nourrir, nous stimuler positivement et nous animer dès notre plus jeune âge.
La conscience forte d’une identité collective nationale est le fondement du sentiment d’unité et d’appartenance que doivent ressentir tous les citoyens d’ici envers leur patrie. Il faut cultiver ce sentiment rassembleur au quotidien, le répandre.
Voyez ici: Comment affirmer son appartenance québécoise en 35 éléments positifs
Au Québec, tout ce qui fait qu’on se sent bien chez nous doit être favorisé et amené à grandir. À l’inverse, tout ce qui fait qu’on ne se sent plus chez nous doit être corrigé et écarté.
Considérant le nombre actuel de députés caquistes ministrables mais qui n’ont pas obtenu ce poste convoité, le temps serait dès plus opportun pour créer un ministère de plus, au service de l’avenir de la nation et de sa pérennité.
Dans son mandat, le nouveau ministère de l’identité nationale pourrait prendre position en s’opposant officiellement à des pratiques fédérales anti-nation québécoise, en commençant par :
- Rejeter officiellement le multiculturalisme déchiqueteur
- Rejeter la diversité massive qui dilue et diminue la nation de souche
- Proposer une politique nataliste pour encourager spécifiquement la démographie de souche, là où se situe le besoin
- Modifier une immigration mal balisée qui amène trop d’inintégrables
- Écarter une immigration qui fait augmenter une communauté ayant déjà opté pour l’anglais (comme les hindous ou les Chinois)
- Combattre l’incitation à l’usage de l’anglais dans l’espace public
- Combattre activement l’anglicisation des villes (Montréal, Laval) et des régions (Outaouais)
- Cesser de nous faire crouler sous les dizaines de milliers de migrants illégaux malhonnêtes qui se font entretenir et qui épuisent toutes les ressources sociales qui devraient aider les nôtres, et pas des bandes d’étrangers fraudeurs qui seraient rejetés par les voies officielles. Il faut les renvoyer tous.
- Empêcher que certaines villes deviennent majoritairement de provenance étrangère (comme la municipalité de Brossard qui est devenue une ville à majorité asiatique de gens non-nés au pays). Cela ne doit arriver à aucune ville québécoise. Imposons des barèmes et des limites.
- Combattre et éliminer l’idéologie wokiste anti-québécoise et anti-blanche, et les activistes sectaires qui la défendent en prenant les Québécois de souche pour cible (nous accusant de racisme, de xénophobie, d’islamophobie, et le gouvernement et autres institutions comme la police de racisme systémique, alors qu’il n’en est rien)
- Veiller à ce que les privilèges et passe-droits des Anglos-Montréalais soient tous abolis.
- Faire en sorte que des institutions comme la commission scolaire anglaise soit avalée et contrôlée par la française, dans une vue de francisation rapide et de diminution graduelle des anglos.
En revanche, le ministère favoriserait certaines pratiques utiles et hautement désirables :
- Favoriser l’usage exclusif du français sur la place publique (affichage unilingue français, accueil et service dans les commerces, service au restaurant, interdire l’exigence injustifiée de l’anglais comme condition d’embauche et comme langue de travail)
- Mettre sur pied des programmes d’intégration avec objectifs précis à atteindre, examens et échéances
- Procéder à la refrancisation des endroits anglicisés avec pénalités et pertes d’avantages
- Resserrer l’accès à l’école anglaise, de la maternelle jusqu’à l’université, de 10% par année sur 10 ans (par exemple, cela prendra 2 parents anglos, et non pas juste 1 pour inscrire un enfant à l’école anglaise). Interdire le cégep et l’université en anglais aux allophones.
- Administrer un test annuel de francisation aux immigrants. Ceux qui échouent 2 fois en 2 ans quittent pour le ROC.
- Organiser le mois de la célébration des Québécois de souche (en juin) et de nos accomplissements individuels et collectifs
- Mettre sur pied la fête exclusive des Québécois de souche (c’est rendu que la fête nationale du 24 juin fête plus les multiethniques, les immigrés et les minorités que nous le peuple fondateur)
- Organiser des activités d’affirmation collective comme une cérémonie citoyenne annuelle et publique du serment de loyauté à la nation québécoise
- Créer une carte d’identité de citoyenneté québécoise reconnue
- Subventionner les organismes et sites de défense de l’identité québécoise, comme la Société Saint-Jean-Baptiste, les sociétés historiques, vigile.quebec, le Mouvement Québec français, etc.
- Financer les organismes valorisant la culture et le patrimoine québécois
- Valoriser la notion que toute nation qui se respecte mérite son propre pays pour mieux contrôler sa destinée et assurer sa pérennité
Certains de ces 24 éléments font déjà l’objet de l’intervention de divers ministères. Le nouveau ministère de l’identité nationale en serait un de concertation qui viserait à chapeauter les orientations et activités, à les regrouper en un même endroit afin d’en rendre l’application plus fluide et allant dans le même sens.
Les Québécois de souche ont bien mérité d’avoir un ministère qui valorisera tout ce qu’ils ont été et tout ce qu’ils sont encore et ce, dans la perspective d’un avenir meilleur.
Note 1: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet
Note 2: ce texte positif et valorisateur de la nation québécoise de souche a été rédigé expressément pour souligner mon 750ième article paru sur Vigile. Le temps et le travail consacrés à la rédaction de tous ces articles équivaut à 2 années complètes de ma vie à temps plein, ayant pour unique objectif la défense de ma nation, ma patrie.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec