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par Ngel Juuf
La caisse de résonnance occidentale qu’est la politique vaccinale en Afrique, ne doit plus être de mise.
Si au regard de ses effets gravissimes, des pays à haute technologie médicale en sont arrivés à surseoir au vaccin contre le cancer du col de l’utérus ; le chemin est alors tracé pour refuser d’exposer l’enfance vulnérable aux aléas d’un rapport bénéfice/risque vaccinal désastreux.
Déjà qu’elle est réputée être une terre d’expérimentation vaccinale tous azimuts, l’Afrique est à nouveau ciblée par les vagues de la campagne sanitaire de lutte contre le papillomavirus (HPV) censé être à l’origine du cancer du col de l’utérus. Le discours de l’establishment médical scande à tout vent la nécessité d’inoculer l’enfance africaine à l’instar des filles de par le monde ciblées par des vaccins.
Nous savons que les fabricants de vaccins brevetés sont avant tout des commerçants qui ne diront jamais du mal de leurs marchandises ! Pour ce faire, ils prennent la précaution de s’entourer de garantie pour laver leur produit de tout soupçon, quitte à commanditer des études auprès de chercheurs et autres professionnels à qui on donne le ton repris en chœur par des politiques, des journalistes et des sites internet. Heureusement, des chercheurs en virologie, en biologie, en infectiologie dans l’indépendance scientifique totale mise au service de la santé humaine ; procèdent à des études d’analyse et de contre expertise relatives aux propos de ces commerçants au sujet de l’efficacité de leurs marchandises injectables.
En 2020, avec toute la rigueur scientifique exigée en matière de publication, la Royal Society of Medicine, institution sanitaire de renom de Grande Bretagne, relatait une étude qui notifiait une surestimation de l’efficacité des vaccins anti-HPV qui ont brûlé toutes les étapes de leur mise sur le marché. L’on comprend alors le tâtonnement vaccinal face à plus d’une centaine de souches différentes du papillomavirus dont seule une douzaine serait susceptible de conduire à un cancer du col de l’utérus le cas échéant. Et, parmi ce spectre de souches pathogènes, les vaccins anti-HPV ne ciblent qu’un lot de deux voire sept souches cancérigènes.
Mieux, l’étude britannique spécifiait que rien ne permettait de conclure à une efficacité du vaccin contre les cellules anormales à risque, à plus forte raison lorsque ces cellules sont d’anormalité bénigne. Qui plus est, le virologue Peter Duesberg signalait en 2013 par un article de recherche, l’innocence des virus HPV quant aux causes physiologiques du cancer du col de l’utérus.
Pour les vaccins anti-HPV, les plus connus sont le Gardasil et le Cervarix. Or, aux Usa, le site de pharmacovigilance VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) a répertorié à propos du Gardasil, des effets indésirables graves, à savoir : anaphylaxie, syndrome de Guillain Barre, myélite transverse (inflammation de la moelle épinière), pancréatite, événements thromboembolique veineux (caillots sanguins), maladie du motoneurone auto-immune (maladie neurodégénérative avec faiblesse musculaire progressive), sclérose en plaques, mort subite, troubles du système sanguin et lymphatique comme l’anémie hémolytique auto-immune, purpura thrombocytopénique idiopathique, lymphadénopathie, embolie pulmonaire, arthralgie et myalgie (troubles musculosquelettiques), troubles du système nerveux (encéphalomyélite aiguë disséminée). Ces effets secondaires ont été confirmés par une étude de l’université de la Colombie-Britannique qui a bel et bien établi leur lien avec le Gardasil.
Introduit en Suède en 2006, le Gardasil a été par la suite largement administré en 2007 pour les jeunes filles de 13 à 17 ans. Depuis 2010, nous y assistons à une explosion de cas de cancers du col de l’utérus chez les femmes de moins de 30 ans.
Ce n’est point fortuit si au Japon, le gouvernement a dû suspendre au bout de deux mois de campagne, le vaccin contre le cancer du col de l’utérus suite aux effets secondaires insuffisamment explicités. Alors que le Danemark a officiellement indemnisé des jeunes filles handicapées à vie par le vaccin, voilà qu’aux USA, le laboratoire Merck fabricant du Gardasil encourt présentement des procès dont le retentissement en septembre 2024 sera à la hauteur du préjudice sanitaire causé.
En matière de fraude scientifique, les fabricants des vaccins sont des récidivistes. Ceux préconisés contre Covid 19 en disent long. Leurs fabricants viennent de s’illustrer en reconnaissant toute honte bue, que les injections ARNm dont l’efficacité a été vantée tambours battant, n’empêchent pas de contracter la maladie ni de la transmettre à autrui. Il s’est agi de prendre les devants au regard des double voire triple vaccinés qui ont néanmoins contracté le Covid. L’anthropologue Jean-Dominique Michel a raison de constater que « vacciner des enfants avec le vaccin Covid qui n’empêche pas la transmission, pour protéger des personnes qui sont déjà vaccinées, restera dans les annales de la bêtise de la médecine ». Notons que dans son rapport du 3 février 2014, la commission au conseil et au parlement européen constatait que la santé est l’un des secteurs les plus corrompus. Aux USA, sur 10 ans, parmi les 19 entreprises les plus condamnées, il y a 6 compagnies pharmaceutiques qui y figurent dont Pfizer, Merck, GSK et Johnson & Johnson, nouvelle recrue du marché des vaccins !
La sécurité épidémiologique du continent est d’autant plus interpellée que des études ou constats ont montré à titre d’exemples, toute la faiblesse de la pharmacovigilance africaine. En juin 2007, le gouvernement du Nigeria attaque Pfizer et réclame 7 milliards $ pour des essais illégaux de médicaments anti-méningite qui ont tué ou handicapé des enfants. En 2017, les docteurs Soren Morgensen et Peter Aaby, experts mondiaux en matière de vaccins africains et fervents partisans de la vaccination, ont constaté qu’en Guinée Bissau, les filles vaccinées avec le DTC (diphtérie, tétanos, coqueluche) ont été 10 fois plus nombreuses à mourir que les enfants non vaccinés. Le 25 août 2020, l’OMS annonce sa victoire sur la polio, mais, le 2 septembre 2020, elle reconnait qu’au contraire, il y a des flambées de polio en Angola, Cameroun, Congo, Nigeria, Tchad, Zambie ! Le vaccin oral liquide contre la polio a donné naissance à des souches plus virulentes alors que le virus sauvage commençait à disparaitre de lui-même comme l’avait constaté le CDC (Center for Disease Control) des USA depuis 2016 !
Selon un article de Jon Jureidini de l’Université d’Adélaïde et de Leemon B. McHenry de l’Université d’État de Californie, publié par le British Medical Journal (BMJ) ; le progrès scientifique est entravé par la propriété des données et des connaissances, car l’industrie supprime les résultats négatifs des essais, ne signale pas les événements indésirables et ne partage pas les données brutes avec la communauté des chercheurs universitaires. Des patients meurent à cause de l’impact négatif des intérêts commerciaux sur le programme de recherche, les universités et les organismes de réglementation.
La caisse de résonnance occidentale qu’est la politique vaccinale en Afrique, ne doit plus être de mise et doit être sevrée de la gangrène qu’est cette même mentalité coloniale qui a contingenté des lots de vaccins Covid périmés sur le continent. Si au regard de ses effets gravissimes, des pays à haute technologie médicale en sont arrivés à surseoir au vaccin contre le cancer du col de l’utérus ; le chemin est alors tracé pour refuser d’exposer l’enfance vulnérable aux aléas d’un rapport bénéfice/risque vaccinal désastreux.
Pourquoi devoir jouer à la loterie d’une roulette vaccinale à efficacité et à immunogénécité énigmatiques ! Il va s’en dire que si les ménages prennent connaissance du consentement éclairé mentionnant la panoplie d’effets secondaires du vaccin contre le cancer du col de l’utérus, ils vont freiner des quatre fers avant d’engouffrer leur enfant dans une telle soupe chimique injectable. Il est question d’une volonté politique pour se munir d’une initiative de souveraineté médicale en guise de paradigme pour changer la direction de l’histoire vaccinale africaine et ainsi ouvrir entre autres, une nouvelle et meilleure ère de santé publique.
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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