Tandis que la ministre québécoise responsable de la condition féminine, Martine Biron, rabâche des paroles creuses sur le soi-disant « droit » à l’avortement, un autre politicien canadien se penche sur la question, promettant de présenter un projet de loi contre les avortements dits « tardifs » s’il est élu. Ce n’est nul autre que Maxime Bernier, chef du Parti populaire du Canada, qui a déclaré hier vouloir « rouvrir le débat sur l’avortement », à l’occasion du lancement de sa campagne électorale pour la circonscription Portage-Lisgar au Manitoba, dont le siège vacant doit être comblé lors d’une élection partielle qui se tiendra au cours des prochaines semaines.
Nous souhaitons du succès à Maxime Bernier et nous saluons son désir de s’attaquer au crime de l’avortement — or, nous devons souligner que le débat sur l’avortement ne peut être « fermé », à proprement dire, que lorsque l’humanité entière de l’enfant à naître est reconnue, et ce, dès la conception. Pour en savoir plus sur les raisons pour lesquelles l’avortement ne peut être un droit, n’hésitez pas à visionner cette vidéo :
Vôtre pour la Vie,
Georges Buscemi
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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