Ottawa veut faire monter le Québec à 20 millions d’habitants rapidement

2 étrangers récents pour un natif noyé dans le nombre

Résultat: un Québec défiguré devenu étranger à sa nation fondatrice

Le gouvernement fédéral avec Justin Trudeau à sa tête veut faire monter la population du Québec à 20 millions d’habitants et le reste du Canada à 100 millions dans un proche avenir. Quelle folle lubie!

Le projet est soutenu par la direction générale du cabinet-conseil occulte McKinsey & Company sous le nom d’Initiative du siècle, qui exerce une forme d’ingérence indue dans la direction de la nation canadienne, leur projet injustifiable n’ayant fait l’objet d’aucune consultation de la population.

Ci-dessus: aperçu de Montréal hypertrophié

Si ce projet insensé est pour ressembler à ce qui se passe actuellement en immigration mais en accéléré, cela correspondrait à l’accueil immodéré de hordes d’individus issus des pays les plus sous-civilisés de la planète, des types de société les plus violentes, les plus corrompues, à l’intelligence nationale de beaucoup inférieure à la nôtre, aux valeurs antagonistes aux nôtres, avec bon nombre d’entre eux accordant une importance indue à leur religion mortifère, inégalitaire et dépassée. En un mot: la régression assurée vers la barbarie et l’âge de pierre, le lent glissement humain vers la tiers-mondisation décivilisatrice.

Imaginez l’effrayant portrait de cette invasion migratoire à grande échelle qui ne ferait qu’accentuer le processus actuel déjà en cour: des hindous/pakistanais/sikhs par millions, des musulmans arabes voileurs par millions, des Chinois ingéreurs par millions, des latinos illégaux par millions, des africains tribaux par dizaines de millions, et un tas d’autres ethnies difficilement indentifiables par millions. Ce sont là les ethnies qui sont actuellement les plus nombreuses à s’engouffrer au Canada par tous les moyens, légaux ou illégaux, ce qui semble leur importer bien peu au fond.

Ci-dessus: aperçu de Montréal hypertrophié

Tout cela est bien suffisant pour faire craindre pour la survie du français au Québec dans de telles circonstances. Mais ce n’est encore rien à côté de la survie même de la nation québécoise de souche fondatrice du pays, laquelle se verra oblitérée dans le temps de le dire par un ramassis de n’importe qui de n’importe où, par des masses de profiteurs incompatibles, générateurs de conflits sociaux et surtout, des remplaceurs totalement indifférents au sort d’une nation établie, qui s’éteindra par submersion, suffocation et dislocation.

Imaginez un instant: il y aurait alors partout au Québec 2 étrangers non nés ici face à chaque Québécois natif! Dès qu’on mettra le pied dehors, on devra se frayer un chemin au milieu d’une marée d’atterris inconnus et remplaceurs avec qui nous n’avons rien en commun. L’enfer sur terre, quoi!

Ci-dessus: aperçu de Montréal hypertrophié

Dans mon jeune temps, la population du Canada était de 20 millions d’habitants. Imaginez si on avait dit à cette époque: on va prendre la totalité des 20 millions de Canadiens pour les concentrer tous au Québec. Croyez-vous un seul instant qu’ils seraient tous devenus bons Québécois francophones dans le temps de le dire par amour pour nous? Jamais en 100 ans. Faire monter la population du Québec à 20 millions serait un véritable crime contre l’humanité, le génocide pur et simple de la nation historique canadienne-française.

Ci-dessus: aperçu de Québec hypertrophiée

Le gouvernement du Québec doit présenter à l’ONU une demande de reconnaissance officielle dénonçant ce projet génocidaire perpétré contre la nation québécoise, un document qu’il pourra opposer au projet maléfique du gouvernement fédéral, avec le louche cabinet-conseil McKinsey caché derrière pour tirer les ficelles.

Ci-dessus: aperçu de Québec hypertrophiée

Le Québec doit rester de dimension gérable. Il doit rester à l’image des Québécois authentiques, le reflet fidèle de ce que nous sommes et avons toujours été. Notre population est suffisamment nombreuse comme elle l’est actuellement. Tout plein de pays européens de petite et moyenne dimension sont des modèles de sociétés équilibrées et productives où il fait bon vivre. Gare à la boursouflure migratoire immodérée qui détruirait ce fragile équilibre social si difficile à atteindre.

Les extrapolations laissent entendre que Montréal grossirait à 12 millions, Québec à 3,5 millions, et les autres principales villes du Québec dans les mêmes proportions hypertrophiantes.

Ci-dessus: aperçu de Québec hypertrophiée

Tout pour décupler la pénurie du logement, la surcharge du système de santé, la flambée de l’immobilier, la hausse de la criminalité et de la violence urbaine, l’anonymisation outrancière de la vie sociale, l’effacement de notre langue, la fin de notre culture et l’oblitération de notre nation, multiculturalisée et noyée par la diversité d’incompatibles, et relativisée par le communautarisme. Bref, un Québec défiguré devenu étranger à sa nation fondatrice.

Tout projet fédéral d’immigration massive visant la destruction systématique de notre identité collective et le démantèlement de la nation fondatrice doit être combattu et rejeté en bloc.

Ci-dessus: aperçu de Québec hypertrophiée

On ne laisserait jamais entrer au Québec des troupes militaires étrangères de 20 millions de soldats armés jusqu’aux dents qui prétendraient être inoffensifs et sans danger. Il en est de même pour l’immigration tiers-mondiste mal filtrée qui ne peut amener que conflits et hostilité, appauvrissement social et ensauvagement.

Ci-dessus: aperçu de Québec hypertrophiée

Il faut faire comprendre aux Québécois que la seule façon d’échapper à cette noyade collective programmée et organisée, c’est de devenir un pays libre hors du Canada.

Il est de plus en plus clair que seule l’indépendance pourra sauver notre peuple en péril. Il est grand temps d’agir et de se décider à faire le grand pas en avant.

Parlez d’indépendance tous les jours, conscientisez les vôtres, motivez votre entourage. Pour qu’advienne enfin ce fier pays du Québec que nous méritons tous et qui nous permettra de vivre comme nous l’entendons, entre nous.

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