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Voici quelques courts extraits de l’excellent article de A Midwestern Doctor publié sur Substack et intitulé « Les décennies de preuves que les antidépresseurs provoquent des tueries de masse ». Je recommande vivement à toute personne intéressée par le sujet de lire l’article dans son intégralité. Tous les extraits ci-dessous sont tirés de l’article.
Mike Whitney
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Dans les années 1990, les fusillades dans les écoles sont passées d’une situation très rare à un aspect fréquent de la vie américaine. Cette période coïncidant avec l’arrivée des ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) sur le marché américain, de nombreux articles ont évalué le lien entre les tueries de masse et les médicaments psychiatriques. Je citerai l’un des résumés les plus complets (écrit en 2013) qui tente d’analyser toutes les fusillades de masse connues :
• Eric Harris, 17 ans (d’abord sous Zoloft puis Luvox) et Dylan Klebold, 18 ans (fusillade de l’école Columbine à Littleton, Colorado), ont tué 12 élèves et un enseignant et en ont blessé 23 autres, avant de se suicider. Le dossier médical de Klebold n’a jamais été rendu public.
• Jeff Weise, âgé de 16 ans, s’était vu prescrire 60 mg/jour de Prozac (trois fois la dose initiale moyenne pour les adultes !) lorsqu’il a abattu son grand-père, la petite amie de son grand-père et de nombreux camarades de classe à Red Lake, dans le Minnesota. Il s’est ensuite tiré une balle. Dix morts, 12 blessés.
• Cory Baadsgaard, 16 ans, lycée de Wahluke (État de Washington), prenait du Paxil (qui lui donnait des hallucinations) lorsqu’il a pris un fusil dans son lycée et pris en otage 23 camarades de classe. Il n’a aucun souvenir de l’événement.
• Christopher Pittman, 12 ans, a assassiné ses deux grands-parents alors qu’il prenait du Zoloft.
• Kip Kinkel, 15 ans, (sous Prozac et Ritaline) a tiré sur ses parents pendant leur sommeil, puis est allé à l’école et a ouvert le feu, tuant deux camarades de classe et en blessant 22, peu de temps après avoir commencé un traitement au Prozac.
(Note : L’auteur donne de nombreux autres exemples que je ne citerai pas ici pour des raisons de longueur).
Dans le cas de la récente fusillade de l’école Audrey Hale, l’attention s’est surtout portée sur le fait que le tireur prenait vraisemblablement de la testostérone, car celle-ci peut déclencher l’agressivité. Bien que, comme beaucoup d’autres choses, cela puisse expliquer ce qui s’est passé, dans les rapports que j’ai trouvés où la testostérone a conduit à un comportement homicide, il fallait qu’une maladie psychiatrique préexistante (qui serait généralement traitée avec un médicament psychiatrique induisant la violence) soit également présente. Étant donné qu’un lien clair a déjà été établi avec les médicaments psychiatriques provoquant ce comportement (et d’après les antécédents du tireur, il est probable que certains lui avaient été prescrits), je suggérerais que, jusqu’à ce que davantage d’informations soient connues, le médicament psychiatrique standard contre la violence est une explication plus probable pour les récents événements tragiques. (…)
Comment ces médicaments ont-ils pu être approuvés et maintenus sur le marché ?
Dans la série précédente sur la corruption (avérée) de la réponse au COVID-19, j’ai essayé de montrer que la conduite du gouvernement fédéral était plus que flagrante et qu’il suivait un cahier des charges corrompu très similaire qui existait bien avant le COVID-19. Les vaccins et le Prozac (et leurs versions ultérieures) n’auraient jamais dû être approuvés, mais ils l’ont été grâce à un réseau de corruption incestueux et méticuleusement tissé jusqu’au plus haut niveau du gouvernement fédéral. (…)
L’objectif premier de l’industrie pharmaceutique est de créer des marchés pour des médicaments coûteux qui seront consommés indéfiniment par la majorité de la population. Les médicaments psychiatriques et les vaccins COVID-19 représentent deux des réalisations les plus lucratives de ces objectifs commerciaux. Je pense que le potentiel de profit extrême qu’ils représentent a incité et permis à leurs fabricants pharmaceutiques d’éliminer tous les obstacles réglementaires à l’adoption généralisée de ces médicaments. (…)
Avant les vaccinations Covid, les médicaments psychiatriques étaient les médicaments prescrits en masse qui présentaient le pire rapport risque-bénéfice sur le marché. (…) Il existe un large éventail de complications graves qui résultent généralement des médicaments psychiatriques. (…) L’adoption généralisée de médicaments psychotropes a déformé la cognition de la population du pays qui les utilise fréquemment (…) et a créé un large éventail de changements préjudiciables dans notre société. (…)
Dès l’arrivée du premier ISRS sur le marché en 1988, le Prozac s’est rapidement distingué comme un médicament particulièrement dangereux. Neuf ans plus tard, la FDA a reçu 39 000 rapports d’effets indésirables concernant le Prozac, un nombre bien plus élevé que pour n’importe quel autre médicament. Il s’agit notamment de centaines de suicides, de crimes violents atroces, d’hostilité et d’agression, de psychose, de confusion, de distorsion de la pensée, de convulsions, d’amnésie et de dysfonctionnement sexuel. (…)
Les homicides liés aux ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) sont fréquents, et il existe un site web qui a compilé des milliers et des milliers de cas documentés. Pour autant que je sache (…), dans tous les cas où une fusillade a eu lieu dans une école et où il a été possible de connaître les antécédents médicaux du tireur, ce dernier prenait un médicament psychiatrique connu pour provoquer ces changements de comportement. Après chaque tuerie de masse, des mèmes illustrant ce sujet circulent généralement en ligne, et les récents événements au Texas (…) ne font pas exception. (…)
Les médicaments psychiatriques posent de nombreux problèmes sérieux (…) cet article se concentrera exclusivement sur leur tendance à provoquer d’horribles crimes violents. Les entreprises pharmaceutiques et la FDA le savaient bien avant qu’ils ne soient mis sur le marché. (…)
Enfin, pour tous ceux qui lisent cet article et qui prennent actuellement un ISRS ou un ISRSN, il est extrêmement important de NE PAS arrêter brusquement leur traitement. Ces médicaments qui créent une dépendance produisent des symptômes de sevrage très forts, et il existe de nombreux cas d’événements catastrophiques qui ont suivi l’arrêt brutal d’un ISRS. Si vous souhaitez le faire, vous devez réduire progressivement la dose avec un médecin qui a de l’expérience dans ce domaine. (…)
Les réactions psychotiques violentes aux ISRS peuvent se manifester par des suicides et des homicides. De nombreux documents attestent de l’existence de suicides dus aux ISRS et, bien que la profession psychiatrique utilise encore une litanie infinie d’excuses pour nier que cela se produise, de nombreux antidépresseurs font désormais l’objet d’un avertissement dans la boîte noire de la FDA concernant l’apparition de suicides. Les effets secondaires des ISRS ont été définitivement connus dès les premiers essais cliniques (qui ont bien sûr été cachés à tout le monde) et une montagne de preuves prouvant que ce phénomène se produit régulièrement s’est accumulée depuis que ces médicaments ont été mis sur le marché. (…)
Comme nous l’avons vu avec les vaccins, pratiquement aucun coût social ne peut empêcher un produit pharmaceutique lucratif d’être mis sur le marché.
source : The Unz Review
traduction Réseau International
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