« Une attaque directe contre la liberté d’expression » (de la pédophilie ?)
Abdul Malak
Dimanche 7 mai 2023 a eu lieu un attentat liberticide contre l’œuvre – c’est le terme choisi par la presse aux ordres – Fuck Abstraction ! de Miriam Cahn qui a voulu nous faire croire que la fellation imposée par un adulte à un enfant équivalait à une dénonciation des crimes de guerre. De la guerre du sexe intergénérationnel ?
Évidemment, dans l’ambiance actuelle de dégradation satanique des mœurs, symbolisée par l’offensive LGBT dans le monde (occidental, dans l’autre, les satanistes ne s’y risquent pas trop), un tel tableau est applaudi par toute la socio-culture, et défendu par le gouvernement, en l’occurrence, l’étrange ministre de la Culture, Abdul-Malak. Qui a carrément parlé d’une attaque grave contre la liberté d’expression.
L’auteur du crime anti-pédophile, qui avait rempli de la peinture bordeaux (rouge cassé) une bouteille de médicament, a aspergé la toile de Miriam Cahn, bien dans la veine du Vagin de la Reine à Versailles et du Plug anal place Vendôme, c’est-à-dire une gifle au public non pervers. La suite est savoureuse, dans la bouche des responsables du centre d’art : « On a fermé la salle au public en attendant de voir les suites à donner au devenir de l’œuvre, en concertation avec l’artiste. ».
On est sans nouvelles du héros qui a souillé la pub pour pédophiles : il a été maîtrisé par les gardiens et emmené par la police [1].
Excellente initiative, de fermer – même provisoirement – ce lieu satanique, ça permettra à la direction de réfléchir à ses choix artistiques. Et comme il s’agit d’un attentat contre la liberté d’expression, le ministre de la Liberté d’expression de toutes les perversions en peinture et en sculpture a fait le déplacement. de son ministère jusqu’au Palais de Tokyo, pour constater l’étendue des dégâts.
On vous a mis le trajet à vélo (10 minutes par les quais), mais on ignore si le ministre aime pédaler ou pas.
Abdul-Malak, probablement en état de choc, un peu comme un enfant après un viol mais moins quand même, a fait une déclaration historique :
« C’est une attaque directe contre la liberté d’expression, ce qui est assez grave. Ces œuvres sont certes très dures à regarder, mais partent d’une intention qui est de dénoncer les horreurs de la guerre. »
À la députée RN Caroline Parmentier, qui le 21 mars 2023 avait demandé à la tribune de l’Assemblée de censurer cette saloperie, l’institution et l’artiste avaient osé répondre, de concert, que la peinture ne représentait pas un enfant !
Tableau à caractère pédopornographique au Palais de #Tokyo à Paris. La députée RN Caroline #Parmentier en demande le retrait. Le ministre de la culture Rima Abdul-Malak répond : « l’art peut choquer « .
– Séance à l’Assemblée nationale 21/03/2023 pic.twitter.com/xpaLfAm0b9— TVL (@tvlofficiel) March 23, 2023
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation