Résumé
Comment le concept de biopolitique peut nous aider à comprendre la politique sanitaire mondialisée Résumé La pandémie COVID-19 n’est plus mise en avant au niveau spectaculaire mais sa gestion confirme et amplifie les orientations de la biopolitique depuis des dizaines d’années.
La biopolitique est la politique de la population et concerne en particulier dans son volet sanitaire la préparation et la prévention des pandémies. Son résultat s’éloigne maintenant du but visé : elle aboutit aujourd’hui à dégrader fortement la santé des populations. La vaccination est depuis longtemps un moyen de cette biopolitique sanitaire et la critiquer scientifiquement est quasiment impossible car elle fait partie de l’idéologie scientiste, d’autant plus que les enjeux financiers pour l’industrie pharmaceutique dépassent et renforcent cette idéologie.
Toute critique est assimilée par le pouvoir à la théorie du complot. La gestion « improvisée » de la COVID-19 (d’un point de vue spectaculaire mais en fait historiquement bien préparée) va être inscrite dans des traités supra nationaux. La « préparation » aux pandémies continue avec des expériences de gains de fonction sur de nombreux virus afin d’en explorer la capacité à devenir pandémiques, bien qu’il soit maintenant reconnu que le SARS-CoV-2 provient de ces gains de fonction et que d’autres épidémies ont été provoquées par des fuites de laboratoire.
La réponse future des États et des ONG aux pandémies sera fondée sur la vaccination rapide et globale de la population mondiale avec comme technologie favorisée l’ARNm. Il est donc urgent de relancer le débat sur les dangers des expériences de gain de fonction et des vaccins ARNm. Ces ARNm sont des produits géniques qui devraient être soumis aux stricts contrôles concernant les GTP (gene therapy products).
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