Réinfo Covid Québec a décidé de publier régulièrement une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons.
Cette semaine nous mettons l’emphase sur le Traité sur les pandémies de l’OMS, dont la presse subventionnée ne parle pas… et qui pourtant risque d’avoir des répercussions gigantesques sur nos vies en donnant d’énormes pouvoirs à des fonctionnaires non élus financés par des milliardaires et de gigantesques corporations.
Nous revenons également sur la loi C-11, qui réglemente désormais Internet au Canada et qui représente une incroyable menace pour la liberté d’expression, ainsi que sur quelques-autres sujets comme les effets indésirables des injections ou les Pfizer Files.
Le plan de l’OMS : la fin de la démocratie?
Les informations se font extrêmement rares concernant le Traité de l’OMS sur les pandémies. Derrière des portes closes et sans qu’aucun média de la presse subventionnée ne tente de savoir quelque-chose, États, grosses corporations et milliardaires (rappelons qu’une énorme partie du financement de l’OMS provient de très grandes entreprises, notamment de Big Pharma, ainsi que de fondations de milliardaires comme Bill Gates, premier donateur) préparent un traité qui donnerait des pouvoirs accrus, pour ne pas dire totalitaires, à l’organisation (et donc à ceux qui la contrôlent).
D’après le Dr Joseph Mercola, médecin ostéopathe, auteur de best-sellers, lauréat de plusieurs prix dans le domaine de la santé naturelle et fondateur du site de santé naturelle Mercola.com, l’Organisation mondiale de la santé cherche à consolider son contrôle sur la santé mondiale en modifiant le règlement sanitaire international (RSI) et son traité sur les pandémies.
Celui-ci accordera à l’OMS des pouvoirs allant bien au-delà des réponses aux pandémies. Il met l’accent sur le programme « Une seule santé », qui associe la santé humaine, la santé animale et les préoccupations environnementales. Ainsi, dans le cadre de ce programme, l’OMS aurait le pouvoir de prendre des décisions concernant l’alimentation, l’agriculture et l’élevage, la pollution de l’environnement, les mouvements de population et bien d’autres choses encore.
Les intérêts privés exercent un pouvoir immense sur l’OMS qui fait tout ce que ses bailleurs de fonds lui disent de faire. Un documentaire de la chaine française Arte montrait par exemple que de nombreux employés ont leur fiche de paie directement au nom de la fondation Bill et Melinda Gates.
Sous des apparences démocratiques, l’OMS est donc un organisme contrôlé par Bill Gates et Big Pharma. Et le programme « Une seule santé » prend un tout autre visage que celui que l’on veut nous présenter.
Si le traité sur les pandémies était signé en l’état, il s’agirait de la création d’une boucle de rétroaction de surveillance qui fonctionnerait de la manière suivante :
- Tout d’abord, surveiller l’émergence de nouveaux virus (ou de nouveaux variants)
- Faire une déclaration de risque potentiel, qui peut amener à la déclaration d’une pandémie (rappelons que depuis la nouvelle définition de l’OMS des pandémies, il n’est plus nécessaire que l’agent infectieux soit dangereux, il suffit qu’il se répande)
- Dans ce cas, l’OMS déclarera des confinements et des restrictions, suivis d’une vaccination massive des populations pour « mettre fin » aux restrictions de la pandémie
- Les États, qui auront perdu leur souveraineté, n’auront pas le choix que d’accepter et d’appliquer les décisions
- Puis l’organisation poursuivra sa surveillance de nouveaux virus (ou variants)… et ainsi de suite.
Le financement de ce système provient principalement des contribuables, tandis que les bénéfices vont aux entreprises et à leurs investisseurs. Le traité organise donc la fin de la souveraineté des États… et nous dirige vers un gouvernement mondial, qui sera contrôlé par une poignée de milliardaires et dans lequel les citoyens n’auront plus rien à dire, à l’image de l’Union européenne qui grignote constamment la souveraineté des États au profit de fonctionnaires non élus.
Parlant d’Europe, nous vous conseillons de visionner la Conférence « Le Traité de l’OMS sur les pandémies : Nos libertés en danger ? » organisée par des députés au Parlement européen et tenue le 1er avril 2023.
Pétition au gouvernement du Canada à signer
En dépit des énormes menaces que fait peser ce traité sur la démocratie, les États occidentaux le signeront, quoiqu’il arrive. Emmanuel Macron, le président de la France s’y est d’ailleurs « engagé » affirmant qu’il est important qu’il y ait un organisme qui gère la coordination entre États lors de pandémies. Une fois de plus, on tente de cacher la vérité derrière de nobles objectifs.
Afin d’attirer un minimum l’attention de nos parlementaires, nous vous proposons de signer la pétition suivante. Si un nombre minimal de signatures est atteint, les députés devront en discuter aux Communes.
Projet d’Accord mondial sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies (Accord sur les pandémies) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS)
Attendu que :
- Le Parlement n’a ni discuté ni débattu de la participation du Canada à un projet d’Accord mondial sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies (Accord sur les pandémies) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui est en cours de négociation et qui devrait être signé d’ici mai 2024;
- Parallèlement au processus de rédaction de l’Accord sur les pandémies, des centaines d’amendements ont été proposés par 16 États membres au Règlement sanitaire international (RSI), qui régit la conduite des pays et fournit le cadre juridique permettant à l’OMS d’exercer ses pouvoirs;
- Le Parlement n’a ni discuté ni débattu des amendements à cinq articles du RSI qui ont été adoptés par la 75e Assemblée mondiale de la santé le 27 mai 2022, et les États ont 18 mois pour se soustraire à ces amendements;
- Les résultats de ces efforts conféreront à l’OMS des pouvoirs « d’urgence » juridiquement contraignants, ce qui pourrait avoir des répercussions considérables sur la vie, la santé et les droits de la personne des Canadiens;
- Le Canada doit veiller à ne pas accepter quoi que ce soit qui peut lui faire perdre sa souveraineté en matière de soins de santé, même si des pressions internationales considérables s’exercent en ce sens dans l’intérêt de la préparation aux pandémies.
Nous, les soussignés, citoyens du Canada, demandons au gouvernement du Canada de donner d’urgence au Parlement la possibilité de débattre des amendements au RSI qui ont déjà été adoptés par la 75e Assemblée mondiale de la santé et de les mettre aux voix, en plus de permettre un examen parlementaire des amendements proposés actuellement négociés par les délégués de l’OMS.
Les vaccins ARNm covid-19 ne sont pas des vaccins, ni même des médicaments, mais sont assimilés à une contre-mesure « de nature militaire »
D’après Olivier Frot, diplômé de Saint-Cyr (une école militaire française réputée) et docteur en droit, dans le journal France Soir, un juge américain a assimilé les vaccins à ARNm à des contre-mesures de « nature militaire ».
L’histoire part de la lanceuse d’alerte qui a dévoilé le Pfizergate, un scandale révélé par le British Medical Journal et qui montrait que l’essai initial de Pfizer était manipulé (il n’y avait par exemple pas de double aveugle). Celle-ci a décidé de poursuivre le gouvernement américain « au motif que ce contrat n’avait pas respecté les règles relatives aux marchés publics et à la réglementation concernant les médicaments » puisque l’essai était frauduleux.
Cependant, le procès révèle que c’est le Département de la Défense qui est le contractant… et que celui-ci dispose de dérogations légales qui lui permettent « d’acquérir de l’armement en s’exonérant des règles fédérales de droit commun, en gré à gré avec le fournisseur de son choix. » Le juge a donc rejeté la plainte… et de ce fait démontré que les vaccins ARNm sont de « nature militaire ».
Quand on se rappelle de l’Operation Warp Speed qui avait constitué à assurer la distribution des injections sous l’égide du Département de la Défense américain, quand on repense aux propos guerriers d’Emmanuel Macron, qui déclarait son fameux « nous sommes en guerre » lors de son discours de 2020, quand on se remémore tous les « secrets défense », les Conseils de défense, les discussions restées confidentielles du Conseil scientifique français, le fait qu’au Québec aucune note n’ait été prise lors des réunions ayant mené aux confinements et autres, les contrats des vaccins complètement noircis avec interdiction même pour les députés d’en prendre connaissance… on réalise la dimension militaire et guerrière de l’opération.
En fait, Emmanuel Macron aurait du préciser contre qui il était en guerre : tout montre que ce n’était pas contre un virus (que les États ont laissé entrer avant d’en exagérer la menace)… mais contre le peuple.
Adoption du projet de loi C-11
Le premier ministre a réalisé son souhait hier lorsque ses sénateurs ont adopté la loi C-11.
Le gouvernement a maintenant le pouvoir de contrôler ce que les Canadiens peuvent voir, entendre et afficher en ligne. Au lieu de vous donner plus de ce que vous aimez comme elles le faisaient jusque-là, les plateformes comme YouTube seront chargées de vous donner plus de ce que le gouvernement veut que vous regardiez.
Certes, soutenir les productions québécoises et canadiennes est important. Cependant, désormais, les talents et le contenu créatif d’ici au Canada ne réussiront plus en fonction du mérite. Le gouvernement choisira les gagnants et les perdants. Sous prétexte de défendre notre culture, nos artistes et nos productions, le gouvernement pourra donc censurer à peu près n’importe quoi. Pour bien illustrer à quel point la situation est critique, Margaret Atwood n’a pas mâché ses mots lorsqu’elle a qualifié cette loi de « totalitarisme rampant ».
Pour en savoir plus, nous vous conseillons de visionner ce vidéo de Philippe Langlois traitant des lois C-11, C-18 et C-36 (sur les discours haineux et qui introduit la notion de précrime et de punition préventive sur la base d’une simple présomption) lors de notre panel sur la censure.
Un médecin est-il vraiment décédé des suites d’une « réaction rare » au vaccin Covid d’AstraZeneca?
D’après The Guardian, le Dr Stephen Wright, 32 ans, psychologue clinique du NHS (système de santé britannique) et travailleur de la santé de première ligne, a souffert d’une combinaison d’un infarctus du tronc cérébral, d’un saignement du cerveau et d’une thrombose induite par le vaccin. Il faisait partie de l’un des premiers groupes de personnes à recevoir le vaccin, et est décédé 10 jours après son administration.
D’après le témoignage devant un tribunal du coroner qui a mené l’enquête, il s’agit d’une « réaction rare ». On se rappelle pourtant que la présentatrice Lisa Shaw de la BBC était décédée une semaine après sa première dose… d’AstraZeneca. Le coroner avait là-aussi fait le lien avec la vaccination (ce qui est rarement le cas, comme par exemple pour cette femme décédée 7 minutes après son injection et pour laquelle le coroner n’avait vu aucun lien).
La veuve du Dr Stephen Wright envisage une action en justice contre AstraZeneca et le gouvernement. Les proches de Lisa Shaw font de même.
On est au courant de ces 2 cas car il s’agit d’une journaliste connue et d’un jeune médecin. Mais combien d’autres ont été classés et non déclarés? Finalement, s’agit-il vraiment d’une « réaction rare »?
Le plus grand crime de l’histoire contre l’humanité : 11 révélations tirées des documents de Pfizer sur les vaccins
Parler de crime contre l’humanité avec les injections covid (auxquelles on peut ajouter toutes les mesures comme les confinements, les masques, etc. dont on se rend compte qu’elles ont une efficacité négative), peut sembler de prime abord excessif.
Cependant, quand on a conscience que les gouvernements savaient que la covid ne constituait pas une menace, et que l’on connait l’accumulation des preuves (cf. plus bas) qui montrent que Pfizer et les autorités savaient dès les débuts de la campagne de vaccination que c’était une véritable catastrophe (mais qu’ils ont tenté de dissimuler par tous les moyens), le mot parait soudainement convenir à la situation.
Dans une conférence, Naomi Wolf, célèbre lanceuse d’alerte américaine, présente 11 révélations tirées des propres documents de Pfizer, appelés Pfizer Files. Quand on connait le pedigree de la compagnie, multi-condamnée pour des milliards de dollars pour fraude, corruption, charlatanisme, etc., que l’on a suivi le Pfizergate, qui montre que l’essai initial était truqué, etc… on ne peut qu’être à moitié surpris :
Le plus grand crime de l'histoire contre l'humanité" : 11 révélations tirées des documents de Pfizer sur les vaccins
#1 : Pfizer savait que ses injections génétiques avaient une efficacité négative dès novembre 2020.
#2 : Peu après la mise sur le marché des injections COVID,… https://t.co/bjgGBnPaxh
— Michel Jean-Dominique (@MichelJeanDomi1) April 27, 2023
#1 : Pfizer savait que ses injections génétiques avaient une efficacité négative dès novembre 2020.
#2 : Peu après la mise sur le marché des injections COVID, Pfizer a décidé d’embaucher 2 400 employés à temps plein pour traiter les dossiers des blessés.
#3 : Pfizer et la FDA ont dissimulé pendant quatre mois l’information selon laquelle les injections provoquent des lésions cardiaques chez les jeunes, tandis qu’une campagne de propagande agressive incitait des milliers de personnes à se faire injecter.
#4 : Pfizer savait que les dangereuses nanoparticules lipidiques (NPL) de la piqûre ne restaient pas au point d’injection, mais qu’elles se répandaient rapidement dans tout le corps, jusqu’au cerveau, au foie et aux glandes surrénales, et s’accumulaient dans les ovaires.
#5 : Les documents de Pfizer font état de plus de 42 000 effets indésirables, dont 1 200 décès, au cours des trois premiers mois seulement, notamment des accidents vasculaires cérébraux, des hémorragies, des caillots sanguins, des caillots pulmonaires, des caillots dans les jambes, des troubles neurologiques, de la démence, du syndrome de Guillain-Barré, de la paralysie de Bell, de la myalgie, et bien d’autres choses encore.
#6 : Avant la légalisation du produit, plus de 1 000 enfants ont reçu des injections, et les documents de Pfizer indiquent un taux élevé de blessures graves.
#7 : Les dossiers disponibles des participantes à l’étude qui ont conçu des enfants montrent que 80 % d’entre elles ont perdu leur bébé.
#8 : Pfizer savait qu’il y avait un danger pour la fertilité. Les nanoparticules lipidiques endommagent le placenta pendant la grossesse, provoquant des accouchements prématurés.
#9 : Les documents de Pfizer montrent que les nanoparticules lipidiques pénètrent également dans le lait maternel, entraînant des retards de croissance, des lésions et parfois la mort des bébés.
#10 : Les documents de Pfizer montrent que 3 à 1 des effets indésirables sont subis par des femmes, dont 16 % sont des « troubles de la reproduction ». Quel genre de monstre regarde 16 % de troubles de la reproduction et continue ? Résultats : Diminution de 13 à 20 % des naissances vivantes.
#11 Les documents Pfizer n°11 révèlent que les NPL « dégradent les bébés garçons in utero » en traversant « les testicules des bébés garçons fœtaux » et en endommageant « les cellules de Sertoli et les cellules de Leydig, qui sont fondamentalement les usines de la masculinité »
Comme au Québec, l’immense majorité des décès covid en Écosse sont le fait de personnes très âgées et très malades
Les temps sont durs pour les « fact checkers » achetés : alors que des chiffres comparables sont combattus avec véhémence et censurés depuis 2020, le National Record Scotland (NRS) a publié des données officielles qui montrent que 93,5% des personnes décédées enregistrées comme victimes du covid avaient des maladies préexistantes. Les autorités écossaises admettent donc que seulement 6,5% des personnes décédées de la covid sont effectivement morts de cette maladie.
Et on pourrait aller encore plus loin lorsque l’on sait qu’au Québec par exemple de nombreuses personnes décédées ont été classées mort covid… sans être testées. Comme l’expliquait Horacio Arruda, l’ancien directeur de la santé publique, une personne décédée dans un bâtiment dans lequel une autre personne avait les symptômes de la covid (un simple nez qui coule par exemple), devait être classé mort covid. Arruda précisait même qu’il fallait éviter de faire une autopsie.
N’oublions pas que de nombreux ainés ont été abandonnés par des préposés aux bénéficiaires affolés (que nous ne jugeons pas) et que beaucoup sont en fait morts de faim, de soif, du fait de ne pouvoir prendre leurs médicaments, etc. Tous ces classements « hâtifs » en mort covid ont créé la « première vague »… et la panique.
L’Écosse a cessé de mettre à jour les données tant celles-ci sont dérangeantes et l’on constate que c’est la même chose au Québec avec la tableau 2.2 sur les conditions préexistantes (les comorbidités) de l’INSPQ (Institut national de la santé publique du Québec), qui montre que 92% des gens décédés (officiellement) de la covid avaient au moins 2 comorbidités. On monte à 97,3% en incluant les personnes avec une comorbidité, ce qui indique que seulement 2,7% des gens décédés étaient « en santé » avant de décéder de la maladie.
On a donc bien eu affaire à une plandémie dont le but était de tester notre niveau de conformité, de gagner beaucoup d’argent avec des « vaccins », puis de nous mener à un régime technico-totalitaire avec les arrivées prochaines de l’identité numérique (dont la première étape était le passeport vaccinal), l’intelligence artificielle, les monnaies banque centrale et la concentration du pouvoir entre les mains d’une poignée de milliardaires non élus.
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