Jessica Bates.
Par Amira Abuzeid (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
L’Oregon ne permet apparemment pas aux chrétiens d’adopter des enfants, mais Jessica Bates fait quelque chose pour y remédier.
Jessica Bates, échographiste chrétienne, veuve et mère de cinq enfants, a récemment intenté une action en justice contre le Département des services sociaux de l’Oregon afin de mettre un terme à cette pratique injuste et discriminatoire.
Mme Bates a déclaré avoir été inspirée par l’adoption après avoir entendu, lors d’une émission de radio chrétienne, l’histoire d’une autre mère célibataire qui avait adopté un enfant. Bates, dont le mari est décédé tragiquement dans un accident de voiture en 2017, a cinq enfants, âgés de 10 à 17 ans. Après avoir entendu cette émission de radio, Mme Bates a déclaré qu’elle avait senti que Dieu lui demandait de faire ce que sa foi chrétienne lui enseigne : aider « les orphelins et les veuves dans leur affliction ».
En mars 2022, Mme Bates a entamé une procédure d’adoption auprès du Département des services sociaux de l’Oregon (DHS), dans l’espoir d’adopter un groupe de frères et sœurs âgés de neuf ans ou moins (ils seraient donc plus jeunes que son plus jeune enfant). Lorsqu’elle a entamé la procédure, elle n’était pas au courant d’une règle du DHS qui l’obligerait à déclarer qu’elle « respecterait… et soutiendrait l’orientation sexuelle, l’identité de genre et l’expression de genre » d’un enfant hypothétique.
Au cours du processus de candidature et de formation, elle s’est rendu compte que sa foi ne lui permettrait pas de répondre à certaines des attentes de l’État, comme « célébrer la diversité sous toutes ses formes », fournir des médias et autoriser dans sa maison des affiches qui soutiennent les relations entre personnes de même sexe et affirment des modes de vie qu’elle considère comme des péchés.
Mme Bates a fait part de ses préoccupations au DHS. Ce dernier lui a demandé si elle accepterait d’emmener un enfant suivre une thérapie hormonale dans le cadre d’une « transition » de genre. Elle a répondu par la négative et a qualifié cela de maltraitance d’enfant.
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