Par Anna Denny (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Anna Denny
Le 10 février 2022, mon mari et moi avons appris que notre bébé de 13 semaines avait 5 % de chances de survie en raison d’un hygroma kystique, une accumulation de liquide que l’on trouve le plus souvent à l’arrière du cou d’un bébé in utero.
Les hygromas kystiques sont souvent associés à des anomalies chromosomiques, et comme nous avons perdu un bébé à cause d’un hygroma kystique en 2019, nous avons eu l’impression de revivre un horrible cauchemar. On nous a donné un pronostic très sombre et on nous a immédiatement dit que l’avortement était une option, mais nous savions que ce bébé avait une valeur infinie indépendamment des anomalies possibles.
Nous avons été envoyés chez un médecin spécialisé dans les risques élevés, qui a été une véritable lumière tout au long de ma grossesse. Ayant lui-même 12 enfants, il comprenait la valeur de notre bébé et n’a jamais considéré notre situation comme une cause perdue. Il a programmé des échographies constantes pour vérifier le bien-être de notre bébé et nous a toujours fait savoir qu’il était disponible pour nous à tout moment.
Nous avons rapidement appris que nos trois filles allaient avoir un petit frère, mais nous avons également découvert que notre petit garçon souffrait d’une malformation cardiaque congénitale appelée ventricule droit à double sortie, ainsi que de possibles malformations cérébrales. Comme nous avions renoncé à une amniocentèse ou à tout autre test génétique invasif, nous ne savions pas exactement quel type de diagnostic aurait notre petit Edmond, ni s’il survivrait à la grossesse, et encore moins à la naissance elle-même.
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