Le Dr John Bruchalski.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le Dr John Bruchalski, ancien avorteur, fondateur de Divine Mercy Care (Soins de la Miséricorde divine) et auteur de « Two Patients : My Conversion from Abortion to Life-Affirming Medicine », s’est entretenu en exclusivité avec Lila Rose, présidente et fondatrice de Live Action. Il a partagé son histoire de conversion pro-vie et les sombres vérités de la lucrative industrie de l’avortement, ainsi que son espoir pour l’avenir.
M. Bruchalski a été élevé dans une famille catholique et pro-vie. Ils sont allés à la Marche pour la vie et son père a qualifié de « lundi noir » le jour où Roe v. Wade a été annoncé, le 22 janvier 1973. Mais, dit-il, sa mère et son père « ont confié notre formation au système éducatif ».
Et comme beaucoup d’entre nous dans les années 60, 70, 80, 90, 2000 et plus, on nous a présenté, vous savez, « Dieu est un grand Dieu. Il y a de nombreux chemins. Ne vous inquiétez pas. Dieu est un homme très aimant. Ne vous inquiétez pas. Il n’y a probablement pas de péché. Ne vous inquiétez pas », a-t-il déclaré.
Il a ajouté qu’il avait vécu une « vie tiède parce que la vérité et l’amour étaient devenus tièdes ».
Devenir gynécologue-obstétricien
Bruchalski est devenu gynécologue-obstétricien pour aider les femmes à vivre en bonne santé, mais on lui avait aussi dit qu’il y avait un problème de surpopulation. Pendant ses études de médecine, des professeurs de cabinets privés pratiquaient des avortements et permettaient aux étudiants de les regarder et d’y participer. Bruchalski voulait être le meilleur médecin possible, et il pensait que cela signifiait qu’il devait participer à des avortements.
Parlant du premier avortement qu’il a pratiqué, il a expliqué : « Je mets fin à la vie de la personne la plus innocente de notre famille humaine. Quand ils sont petits, ils ne se débattent pas beaucoup parce qu’ils n’ont pas encore de vrais os. Mais lorsqu’ils deviennent assez grands et que le calcium a pénétré ces os, il faut compter les parties du corps. Il s’agissait d’un de ces avortements… L’homme qui m’a enseigné cela m’a demandé à plusieurs reprises : “Êtes-vous sûr ?” »
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