Pour bien fonctionner, un état doit viser l’unité en toute chose

Pour bien fonctionner, un état doit viser l’unité en toute chose

Pour bien fonctionner et donner satisfaction à la majorité de ses citoyens, le grand principe unificateur que doit observer un état consiste à viser le chiffre rassembleur de 1 en toute chose.

On pourrait appeler cela la règle du chiffre 1.

L’unité d’un pays idéal = 1 seule nation, 1 langue officielle, 1 culture vivante partagée, 1 religion ou tradition religieuse principale, 1 caractère distinct qui l’identifie clairement, 1 vision de société unifiante, 1 homogénéité démographique reflétant ses origines historiques, 1 même système de valeurs, 1 grand projet de société (comme l’indépendance), 1 seul drapeau.

Par contre, le pluralisme sous toutes ses formes est nocif; il divise, éparpille, dilue, décompose, émiette, déchiquette, désagrège l’identité collective qu’un peuple tissé serré comme le nôtre a affiné au fil des siècles dans la continuation linéaire de ce qu’il a toujours été.

Le pluralisme diversitaire en tout n’apporte que multiplication des conflits, tensions inutiles, sectarisme, divisions, dislocation de la population.

On n’a certes pas besoin de plus de cela ici. Et comme on a raison.

L’unicité s’avère être la bonne voie à suivre. Sinon, on tombe pieds et poings liés entre les mains des minorités braillardes et revendicatrices, avides de puissance, de gains et de contrôle, de visibilité, qui tirent toute la couverture de leur bord; entre les mains des lobbys qui ne pensent qu’à leurs intérêts particuliers même si c’est certain de nuire à l’ensemble; entre les mains des idéologues déconnectés et perturbateurs qui ne cherchent qu’à imposer de force leurs théories fumeuses aux masses.

C’est ce qui expliquerait pourquoi certains observateurs estiment que les États-Unis sont en voie de déclin, de décadence, de désintégration nationale. Pourquoi? Parce qu’avant, tout le monde allait dans le sens qu’ils s’étaient fixés et qui répondaient à leurs aspirations collectives, en l’occurrence: «the American way of life» (le mode de vie à l’américaine), l’Amérique terre d’opportunités, société de consommation, conquête spatiale, stabilité sociale avec modèles télévisés. Ces idéaux étaient partagés et faisaient l’affaire de tous.

Cette stabilité sociale à l’américaine s’est vue peu à peu entravée par les minorités de tout acabit qui grugent le cheddar pour en faire du gruyère troué qui tombe en miettes: mouvement woke anti-Blancs, mouvement gai, transgenre et autres LGBTLQ+-~°þø, néo-féministes radicales, écolos extrémistes, pro-migrants, pro-avortement versus pro-droit à la naissance, véganes versus carnivores, républicains versus démocrates, trumpistes contre non-trumpistes, le lobby pro-armes versus les contre, pro-légalisation de la drogue, les syndicalistes, l’ethnie latino en forte croissance (natalité élevée + immigration + migrants illégaux), race noire victimaire, immigration hétérogène qui ne se fond plus dans le melting pot, migrants sans papiers vivant en cachette, évangélistes et prédicateurs rigoristes, 1000 sectes qui s’emparent des esprits malléables, islamisme conquérant, les 1000 déclinaisons du complotisme, roux et anti-roux, et j’en passe des vertes et des pas mûres.

Chaque citoyen semble chercher à se caser dans une catégorie sur mesure, plutôt que de vouloir faire partie de l’ensemble. Et c’est précisément cela qui fait que tout va de mal en pis, que l’édifice est ébranlé dans ses fondations.

Tout ce fractionnement en sous-catégories provoque une perte de repères, de balises, de points en commun, de possibilités d’échange constructifs, les gens devenant intolérants les uns envers les autres; ils sont polarisés, nourris uniquement par l’algorythme de leur camp respectif.

Tout est en train de devenir une espèce de fourmillement de fourmis prises de panique, courant dans tous les sens lorsqu’on soulève la grosse roche.

C’est ce qui fait que tous ces sous-groupes antagonistes et dépareillés qui s’affrontent et s’entrechoquent font en sorte que plus personne ne s’identifie à l’ensemble de la nation, juste à son clan/équipe spécifique.

C’est devenu une culture de l’opposition. Plus rien ne semble être au goût de personne. On ne se contente plus de critiquer ou débattre constructivement, on rejette tout en bloc. On cherche à tout casser, tout démolir. Les statues s’écroulent l’une après l’autre. C’est la culture de l’annulation qui triomphe. Si on perd ses élections, on dit qu’elles étaient truquées. On prend d’assaut la Maison blanche. On exige la démission de ministres et de députés pour des vétilles.

Les gens déboussolés se définissent désormais par leur groupe d’idéologie, mais plus par leur appartenance à la nation autrefois englobante et bienveillante.

Le résultat net : insécurité générale, dangerosité, société explosive, manifestations qui dérapent, détérioration du vivre-ensemble, avoir l’impression de ne plus être chez soi, impossibilité de se reconnaître dans l’autre aux différences trop accusées, isolement.

Quelques exemples concrets:

Autrefois, tout le monde écoutait les mêmes disques, allait au cinéma voir les mêmes films, regardait les mêmes téléséries. Ça nous faisait des sujets de conversation, de partage. Lorsque j’étais enfant, le lendemain de la diffusion de l’émission, on se parlait des Belles histoires des pays d’en haut, des vedettes de Jeunesse d’aujourd’hui, des pitreries de Moi et l’autre. Même chose en musique, tout le monde connaissait par coeur le disque Jaune de Jean-Pierre Ferland, le premier album de Beau Dommage et celui d’Harmonium. C’est comme ça que tout le monde arrivait à se connecter aux autres, à se comprendre. On se sentait sur la même longueur d’ondes.

Mais de nos jours, quelqu’un nous parle d’une quelconque série sur Netflix, et on n’a pas la moindre idée de ce que ça peut bien être. La chanteuse Beyoncé vient de remporter des trophées Grammy cette année, et je n’ai aucune idée de ce qu’elle chante ni de sa voix. Tout est devenu compartimenté, divisé, séparé, chacun de son bord, et ce n’est vraiment pas une bonne chose.

À défaut d’atteindre le chiffre rassembleur de 1 dans tous les domaines précités, on aurait intérêt à tenter de s’en approcher le plus possible. Et il ne faut surtout pas que là où on a réussi à l’obtenir, il soit détrôné par la division en multiples catégories tangentielles, par la minorisation séparatrice.

Le grand mal de la désintégration, de l’éparpillement, ronge également le Canada. M. Pierre Poilièvre a récemment déclaré que le pays est « brisé » en citant de nombreux exemples. Et cela ne peut qu’aller en empirant à cause des politiques tordues de Justin Trudeau, bassement assujetti aux minorités qu’il prend un malin plaisir à racoller en se costumant à l’ethnique, adoptant le rôle du personnage de théâtre qu’il n’a jamais cessé d’être.

Heureusement, le Québec a été relativement épargné jusqu’à présent de ce phénomène de fractionnement en réussissant à maintenir tant bien que mal le principe directeur du chiffre 1. Notre solidarité intrinsèque de peuple soudé, notre homogénéité historique nous aident grandement à résister à cette mauvaise influence. Mais les malfaisants diviseurs de la nation sont à l’œuvre ici comme ailleurs, et c’est pour cela qu’il faut enrayer leur influence pernicieuse dès maintenant.

Les minorités doivent être remises à la place qui leur revient et s’y tenir. Qu’elles comprennent enfin que c’est la majorité qui doit leur servir de modèle, de référence, de bon exemple, et de direction à suivre. N’est-ce pas là la meilleure définition de la démocratie, c’est-à-dire le respect de la volonté populaire? Un pays doit aller vers là où la majorité veut aller; les autres doivent emboîter le pas sans rechigner.

Plus tout le monde va dans le même sens, mieux c’est.

Et n’est-ce pas ce que nous désirons tous, que les choses aillent bien?

Le chiffre un, comme dans 1 pouce en haut!

Unicité et homogénéité, voilà donc la bonne voie à suivre.

Alors, mettons en pratique la règle du chiffre 1 partout où il est bon qu’elle s’applique.

Que le chiffre un nous unisse tous!

Alors on récapitule:

L’unité d’un pays idéal = 1 seule nation, 1 langue officielle, 1 culture vivante partagée, 1 religion ou tradition religieuse principale, 1 caractère distinct qui l’identifie clairement, 1 vision de société unifiante, 1 homogénéité démographique reflétant ses origines historiques, 1 même système de valeurs, 1 grand projet de société (comme l’indépendance), un seul drapeau.

Pour que la nation demeure à notre ressemblance et continue de traverser le temps dans l’unité qui nous mènera inévitablement jusqu’à notre propre pays.

Le Québec souverain, notre seule patrie, c’est pour nous tous!

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À propos de l'auteur Vigile.Québec

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