par Michel de Lorgeril
De longue date, nous savons que les militaires américains, notamment les conscrits, servent de cobayes pour expérimenter de nouveaux vaccins.
Je le raconte dans plusieurs de mes livres sur les vaccins, notamment quand je décris les campagnes de vaccinations « hallucinantes » lors de la Guerre du Golfe (la première) qui furent probablement à l’origine de l’étrange « syndrome de la guerre du Golfe » qui a émergé parmi les vétérans à parmi de 1992. Le Golfe en question est le Golfe Persique, tout le monde a compris.
Plus récemment, on a re-vacciné massivement contre la variole avec de nombreuses complications cardiovasculaires qui n’étaient pas inattendues mais qui n’ont pas été commentées : les armées sont – nous le savons depuis l’affaire Dreyfus – des « grandes muettes » sauf quand il faut faire la promotion de ses activités civiles.
Je laisse de côté pour le moment le rôle réel des labos américains – travaillant avec des labos chinois et avec des financements de l’armée US – dans l’irruption du désormais fameux coronavirus Covi-19 en 2019.
Les autorités sanitaires américaines n’ont pas été « à niveau » lors de la Covid-19 puisque la mortalité attribuée à la pandémie aux USA a été l’une des plus fortes de tous les pays développés ; alors que les USA sont le pays le plus riche du monde. C’est étrange.
Moins connu est le rôle de l’armée US lors de la politique vaccinaliste hystérique en 2020-2021 aux USA. Les choses débutent au printemps 2020 avec l’opération baptisée « Warp Speed » (terme de science-fiction signifiant « plus vite que la lumière »). Elle est dirigée par un général de l’armée de Terre, elle combine l’expertise des scientifiques du département de la Santé et des logisticiens de la Défense. On clame au succès terrifiant dès le mois de décembre 2020 et les premières injections seront officialisées le même mois de décembre 2020.
On le voit sur cette image, c’est le U.S. Department of Defense qui est aux manettes.
Et c’est un beau général qui dirige (ci-dessous). La Médaille d’Or de la fureur vaccinaliste revient à Pfizer.
Il ne pouvait en être autrement quand les soldats américains partent en guerre.
Curieusement, cet immense succès d’un consortium mêlant les militaires aux industriels Pharma n’a pas été attribué au délicieux Président Trump qui en fut pourtant l’initiateur.
Tout ça pour dire quoi ?
Pour dire que, outre l’implication de l’armée US, les États-Unis (le gouvernement) ont massivement investi dans l’industrie des vaccins.
Pour quels résultats ?
Il est d’ors et déjà admis par les plus hautes Autorités elles-mêmes – sauf en France – que :
1) ces miraculeux vaccins n’empêchaient pas la transmission du virus d’une personne à l’autre ;
2) leur efficacité supposée s’épuise en quelques mois ou semaines ;
3) les formidables anticorps soignants (2ème composante du miracle américain) ne sont pas efficaces contre les variants toujours nouveaux…
Pourquoi j’écris « efficacité supposée » ?
Parce que je n’ai pas eu trace d’une étude sérieuse démontrant sans équivoque l’efficacité de ces vaccins ; pas plus que l’activité clinique de ces anticorps !
Comment puis-je être aussi affirmatif alors que les gouvernants français et leurs experts « autorisés » ne disent rien ?
Réponse : parce que ce n’est pas moi qui le dit mais le gouvernement US lui-même et il le dit pour justifier un nouvel investissement (de 5 milliards de dollars) réclamé par les industriels ; et probablement les généraux pour se préparer sans doute à une nouvelle guerre qui, espérons-le, ne sera que commerciale.
C’est le « Project Next Gen » (ci-dessous) visant à fabriquer (enfin) des vaccins efficaces et des anticorps actifs.
Et voilà : après l’opération « Warp Speed », nous avons le « Project Next Gen ».
Mais que fait Macron pendant ce temps ?
Vous n’avez pas aimé le premier projet (marqué par les lamentables résultats de la médecine américaine contre la pandémie), vous allez adoer le suivant car il faudra bien des « retours sur investissements ». Comment faire ?
Facile : une belle pandémie ou une « bonne guerre », comme disaient les anciens combattants aux étudiants de 68 dont moi-même !
Dernière question : pourquoi le gouvernement et l’armée américaine s’investissent ainsi dans le business des vaccins et des anticorps monoclonaux ?
Réponse : parce que, selon les experts habilités (Oups !), ce type d’investissements est trop risqué pour le secteur privé ! Pas fous les gars !
source : Michel de Lorgeril
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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