par Jean-Yves Jézéquel
Choc du constat
Chacun doit honnêtement le reconnaître : le débat contradictoire n’est plus possible aujourd’hui, en France. Toutes les décisions prises au « Conseil de guerre » ou au « Conseil scientifique », ne reposent sur aucune donnée scientifique. Celui qui les réclame se voit répliquer le « secret défense ». Toute contestation est qualifiée de « complotiste » ou de « terroriste », ou « d’atteinte à la sûreté de l’État » …
Personne ne peut rien savoir sur la Covid-19, seul le narratif officiel des gouvernants répand et impose sa doxa par les médias inféodés. Partout ailleurs, c’est la censure qui règne !
Si vous demandez ce qui légitime de faire et d’imposer une troisième dose d’injection à ARNm, on vous répond par le silence, parce qu’il n’y a aucune donnée scientifique à communiquer !
Macron déclarant qu’il faudra faire un rappel tous les quatre mois, et maintenant le ministre de la Santé François Braun qui dit qu’il faudra faire indéfiniment un rappel tous les six mois, font tous les deux ces déclarations à partir de quelles données scientifiques ? Aucune. Les données scientifiques n’existent pas. On est dans l’arbitraire absolu, car sur le plan scientifique rien de tout cela ne tient la route. Il s’agit d’une croyance, d’un phénomène de religion, la religion sectaire covidiste ! C’est le professeur Raoult qui l’affirmait haut et fort dans une vidéo postée le 1er février 2022.
Que ce soit à l’hôpital Point Carré des maladies infectieuses à Garches, service qui était dirigé par le Pr Christian Perronne, ou à l’IHU Méditerranée de Marseille, qui était dirigé par le Pr Didier Raoult, les résultats obtenus sur les malades de la Covid-19 par le protocole hydroxychloroquine/azithromycine dans la phase adéquate de la charge virale, étaient évidents, puisque ce sont ces deux établissements de santé qui, selon les données statistiques, ont totalisé le moins de morts en France. C’est donc bien la preuve que ce protocole Raoult était efficace, mais il avait le tort de n’être pas rentable pour l’industrie pharmaceutique.
Véran déclarait solennellement, la main sur le cœur, qu’il n’existait pas d’études « randomisées, en double aveugle avec placebo » sur la combinaison hydroxychloroquine/azithromycine et que pour cela, on ne pouvait pas utiliser le protocole Raoult ! Bien !
Alors, où sont les études « randomisées, en double aveugle avec placebo » sur les injections Pfizer, AstraZeneca, Moderna, Johnson & Johnson, etc. qui sont même imposées aux enfants ?
Comment faut-il qualifier ce comportement d’un Véran qui trahissait la science, qui trahissait la médecine et qui trahissait la confiance du peuple français ? L’État de droit a été remplacé par le crime, le mensonge, la perversion, la corruption, la mafia.
Mais les « autorités » se moquent éperdument des morts, et aujourd’hui des effets « collatéraux » des injections ! Le but, le seul qui les intéresse est ailleurs.
Dans le British Medical Journal, une scientifique américaine explique que l’étude de Pfizer a été truquée ! Si notre ministre et médecin Véran avait été sérieux, il aurait arrêté d’urgence l’injection de ce produit en apprenant cette falsification de l’étude truquée. Dans la normalité, il aurait en principe demandé un audit international sur la question. Pourquoi, rien de tout cela ? Pourquoi le silence de Véran au moment où il aurait dû exiger des explications en suspendant les injections ? Pourquoi ?
Ce que l’on peut également se demander, c’est comment et pourquoi les Français continuent-ils de faire confiance à des individus pareils ? C’est un mystère incompréhensible pour ceux qui sont habitués à se poser des questions sur les réalités qui les entourent et à penser par eux-mêmes.
Du moment que c’est « l’autorité qui le dit », on ferme les yeux sur le reste. L’autorité a forcément raison : l’individu abdique sa propre raison en adhérant à un narratif mensonger et crapuleux, simplement parce que c’est l’autorité qui en est l’auteur !
On repense bien entendu à ce que l’on a déjà évoqué dans un article publié sur mondialisation.ca, c’est l’expérience terrible faite en psychologie comportementaliste par Stanley Milgram.
Donc, la doxa du petit catéchisme rouge des gardiens de Big Pharma, s’est chargée de tourner en dérision le protocole Raoult, de le critiquer et de le décrédibiliser sans jamais apporter d’argumentations scientifiques pour justifier la criminalisation qui était faite sur ce protocole fonctionnant parfaitement lorsqu’on le respectait. Des mensonges tous plus débiles les uns que les autres ont été radotés sans vergogne dans les médias de la vulgarisation pour moutons décérébrés, disant et répétant à volonté que Raoult était une sorte de « Panoramix » et Perronne un « charlatan » qui ne savait plus ce qu’il disait ! Bien entendu, on devait croire sur parole la vérité révélée par Macron, Véran et Castex, la trinité des imbéciles heureux du pouvoir aux ordres de la mafia pharmaceutique et de ses complices du numérique… !
Les jeunes médecins internes qui voyaient la réelle efficacité du protocole Raoult sur les malades de la Covid-19, soutenaient à la fois le Pr. Raoult et le Pr Perronne qui, ce dernier, utilisait le protocole Raoult, comme il en témoigne, et constataient que la campagne de dénigrement lancée contre Didier Raoult était parfaitement crapuleuse… Le Pr. Christian Perronne raconte dans une interview sur Les Incorrectibles, que dès lors, les jeunes internes ont commencé à être harcelés par l’administration qui leur disait de ne pas approuver Perronne et que s’ils restaient avec « ce charlatan de Perronne », leur carrière s’arrêterait là ! Voilà la vérité d’une bassesse vertigineuse : c’est à ce genre de mesquinerie et de chantage odieux que se livre l’administration des salauds, des ordures et des pervers qui tyrannisent le pays et qui décident pour nous !
Christian Perronne s’interrogeait sur ce fait : « Comment des gens intelligents qui ont fait de longues études de médecine, n’arrivent-ils pas à voir par eux-mêmes l’aberration de ce qui était arbitrairement imposé dans cette crise ? » On peut répondre à Christian Perronne, que tout cela avait pris cette tournure parce que, bien évidemment, l’opération réellement aberrante montée autour de la « fenêtre d’opportunité coronavirus » n’avait rien à voir avec un motif sanitaire quelconque !
Certes, il y avait beaucoup de gens qui n’avaient pas fait ces longues études et qui pourtant voyaient spontanément l’aberration du narratif covidiste. Christian Perronne se disait qu’il était difficile de sortir du troupeau et de ne pas céder au conformisme. C’est la peur des menaces proférées par l’autorité qui paralysait les jeunes médecins internes. Ce qui a caractérisé cette période invraisemblable des trois années que nous venons de perdre, c’est l’absence de tout débat contradictoire et l’absence de données scientifiques qui auraient dû fonder les décisions prises en termes de santé publique ! La science a été évacuée dès le début de cette perversion pour être remplacée par une croyance sérieusement débile ; la science a été discréditée et disqualifiée !
Mais justement, ce n’était pas une question de santé publique, simplement un programme d’enrégimentation des populations qui devaient être graphénisées pour leur dressage inconditionnel, garanti, assuré, implacable, sans faille, pour les conduire dans la docilité obtenue vers cette nouvelle colonie pénitentiaire de Kafka, le meilleur des mondes, la société « orwellienne », devenue l’actualité !
La doxa convenue du narratif covidiste a fait régner la tyrannie sanitaire et l’arbitraire politique des mesures qui semblaient faites pour écraser la contestation et dresser les personnes à cette sorte de croyance religieuse, comme on l’a dit, criminalisant en même temps tout esprit critique. Ce comportement néo-obscurantiste n’a pu se développer que dans les pays riches qui pouvaient déverser des milliards de dollars ou d’euros dans la poche des laboratoires.
Il faut réaliser qu’il y a eu plus de morts en France que sur toute l’Afrique peuplée de 1 milliard d’habitants ; et lorsqu’on dit l’Afrique, il s’agissait simplement de l’Afrique du Sud, le pays africain largement le plus influencé par Big Pharma !
Voilà le premier choc du constat !
La négation des méthodes alternatives à cause de Big Pharma et l’argent
Il y a déjà un moment, l’ONU avait déclaré que « l’industrie pharmaceutique était la première cause de corruption dans le monde ! »
Les étudiants en médecine se souviennent qu’on étudiait encore dans les années 80, l’activité antimicrobienne des plantes.
Il est utile de savoir que Big Pharma a lutté de toutes ses forces pour éliminer des études de médecine, cette référence aux plantes et à tout ce qui n’était pas « médicaments brevetables ».
Toutes les méthodes alternatives ont été diabolisées et criminalisées, combattues férocement éliminées, déclarées « pratiques de charlatans », alors que les plantes médicinales avaient, depuis très longtemps, fait leurs preuves ! D’ailleurs, dans le domaine des maladies nosocomiales, comme le staphylocoque doré, il n’y a guère que des huiles essentielles qui peuvent en arriver à bout efficacement et rapidement… Pourtant la naturopathie comme l’aromathérapie et l’homéopathie sont sévèrement obstruées. Ces méthodes alternatives sont constamment menacées d’interdiction, par le harcèlement criminel de l’industrie pharmaceutique, alors qu’elles ont fait leurs preuves bien avant l’allopathie qui très souvent est la cause de plus de mal que de bien, puisque ce n’est pas le malade qui compte pour Big Pharma, c’est la rentabilité commerciale…
Un commercial de laboratoire présentait l’action bienfaitrice de son employeur qui avait livré des dizaines de milliers de vaccins dans un pays Africain, témoigne le Pr Perronne qui était à l’époque vice-président d’un groupe d’experts sur la vaccination, à l’OMS.
Mais quelqu’un, dans le cours de la présentation élogieuse qui était faite, avait introduit dans le montage visuel des photos montrant que ces stocks de vaccins étaient restés là X temps, dans un hangar au toit de taules ondulées, sous une chaleur de plus de 40°, sans la moindre trace de ce qu’était devenue la chaîne du froid ! Peu importe, la chaîne du froid, du moment que des milliards sont entrés dans la poche de Big Pharma !
On l’a déjà dit dans la première partie de ce tour d’horizon : des associations ministérielles militent pour faire condamner la pratique du yoga, de la méditation, l’usage des plantes médicinales mais aussi les fruits et légumes qui sont recommandés par des nutritionnistes de renom, dans le but d’assurer la base première d’une bonne santé. Cette kabbale pharmaceutique, contre tout ce qui peut être naturel et imbrevetable, s’est étendue aux facultés de médecine.
Il faut impérativement que tout traitement rapporte des centaines de milliards d’euros ou de dollars à l’industrie pharmaceutique. Tout le reste est condamné, rejeté, interdit et ridiculisé par un discours négateur devenu insupportable dans le contexte actuel…
Les grandes revues et les Facultés de Médecine sont colonisées par ce discours néo-obscurantiste et mafieux, au nom de la science qui n’a rien à faire là-dedans, mais que l’on implore à tort et à travers, alors que c’est l’argent qui règne en maître absolu sur cette dérive sociétale.
Les rédacteurs en chef de The New England Journal of Medicine le plus grand périodique de médecine comme du The Lancet, le second en importance, avouaient eux-mêmes depuis longtemps, que c’était l’industrie pharmaceutique qui les tenait par la « bourse », et que la plupart des papiers qui devaient être publiés étaient tous biaisés, voire frauduleux, pour servir les intérêts des laboratoires qui ne reconnaissaient que ce qui pouvait leur rapporter gros !
Les chercheurs et médecins de terrain, hospitaliers et autres, déclarent sur leurs blogs ou pages Web, qu’il est impossible aujourd’hui d’obtenir une connaissance sérieuse en matière de médecine, à travers les grandes revues spécialisées de la publication médicale, parce qu’elles sont phagocytées par la corruption mise en place méthodiquement par Big Pharma. Le Pr. Perronne en témoigne également dans son interview sur Les Incorrectibles GETTR, du 16 janvier 2022, animée par Eric Morillot.
Les médecins qu’on a conditionnés par la doxa convenue, pensent aujourd’hui, que si une étude n’est pas publiée dans ces revues « prestigieuses », elle n’a aucune valeur et ne peut surtout pas être prise au sérieux ! C’est sidérant d’obscurantisme, puisque les médecins d’aujourd’hui sont quasi amenés à penser que la corruption est un gage de sérieux !
C’est donc la corruption qui fait la loi en médecine : on pense aux malades qui se retrouvent dans les mains de gens qui ne jurent qu’à travers des poncifs dictés par la corruption pharmaceutique !
Heureusement que beaucoup de médecins de terrain ont encore leur libre arbitre et pensent par eux-mêmes en faisant leur propre expérience de ce qui soigne et de ce qui ne soigne pas ; ceux-là ne tiennent pas à faire partie de la secte médicale allopathe aux certitudes sectaires qui écarte tout autre alternative à sa pratique totalitaire et à son dogme intolérant.
Le savoir qui provient de ces grandes revues médicales ne peut plus revendiquer son statut de scientifique à cause de la corruption omniprésente des publications falsifiées ou biaisées.
C’est aussi pour cette raison que la médecine, corrompue par Big Pharma, recourt de plus en plus à une pratique automatisée.
Le docteur Jacques Leibovitch avec le Pr. Montagnier, avaient prouvé qu’on pouvait tenir un protocole de soins contre le VIH, sur deux jours par semaine, alors que les protocoles habituels se déroulaient sur 7 jours. Le Dr. Leibovitch qui a découvert le VIH avec le Dr. Montagnier, était très en avance sur la recherche mondiale, car il était parvenu à un jour de traitement par semaine pour les soins contre le VIH, peu avant de mourir en 2020.
Mais, tout le monde médical s’était scandalisé de cette prouesse au moment où l’industrie pharmaceutique découvrait qu’elle allait devoir diviser ses profits par 7 !
C’est la sécu qui paie, c’est-à-dire les cotisations des Français issues du travail des Français qui sont en train d’engraisser monstrueusement cette industrie pharmaceutique aux pratiques mafieuses vampirisant sans scrupules les systèmes de sécurité sociale en pratiquant sans fin ce pillage des États-nations.
La mutation de la santé publique en entreprise commerciale ou la corruption par Big Pharma
Au même moment, les serviteurs dévoués de cette mafia, placés aux postes de commandes du pouvoir, supprimaient massivement les acquis de l’après-guerre, déremboursaient les actes médicaux et les médicaments. La couverture de la sécurité sociale se réduisait à un mouchoir de poche. Pourtant, les citoyens sont toujours accusés d’être, comme les Gilets jaunes, responsables du « trou de la sécu », le déficit exorbitant étant causé en réalité par le pillage en règle de Big Pharma, depuis déjà très longtemps…
Il n’existe pas une organisation plus criminelle au monde que celle de la mafia pharmaceutique qui, sans scrupule, accumule des fortunes sur le dos des malades et de la souffrance humaine.
Lorsque l’allégement des soins contre le VIH a été possible et démontré comme réalisable, légitime et recommandé par les études que l’Agence nationale de Recherche sur le Sida avait réussi à imposer à l’industrie pharmaceutique, les preuves étant là, les membres des comités n’ont pas déclenché une conférence de consensus afin de confirmer les résultats qui prouvaient ce que le Docteur Jacques Leibovitch avait déjà démontré depuis longtemps, et cela à cause de leurs « conflits d’intérêts » !
Depuis la loi HPST, (hôpital, patients, santé, territoires) c’est devenu l’horreur ! L’avis des professeurs de médecine dans les hôpitaux n’est plus du tout écouté ; il est même carrément méprisé. Désormais ce sont des administratifs qui imposent leur loi dans l’hôpital public. Les médecins n’ont plus rien à dire, seule la rentabilité financière est recherchée : l’hôpital n’est plus là pour soigner le peuple, il est là pour permettre à Big Pharma de faire du fric sur le dos du peuple. Ce sont des fonctionnaires administratifs bornés, qui disent actuellement aux médecins comment ils doivent soigner !
Après avoir entendu cette information, on comprend mieux le désastre actuel de la santé publique : c’est comme si l’on demandait au grand banditisme de veiller à la sécurité des banques, ou demander à Jacques Mesrine de prendre les commandes à l’Élysée !
Une pléiade d’agences gouvernementales corrompues par l’industrie pharmaceutique a condamné les nombreuses publications scientifiques qui ont été faites sur les traitements efficaces existant contre la Covid-19, afin de ne favoriser que les soi-disant « vaccins », comme étant la seule solution !
Ces agences gouvernementales corrompues ont bloqué toute utilisation des molécules qui ne pouvaient pas générer des brevets et des milliards de dollars ou d’euros…
Une propagande scandaleuse a été faite, entraînant des dépenses d’argent public pour des milliards d’euros, notamment dans l’achat du Remdesivir qui était breveté, au tout début de la mise en scène coronavirus, alors que chacun sait à quelle vitesse ce produit a été abandonné pour cause de haute toxicité et pour son inefficacité avérée ! Les malades eux, ce n’est pas leur problème, on s’en moque en se tapant sur le ventre !
Ce gaspillage n’a pas été sanctionné ; il n’y a aucune poursuite ; les plaintes ont été classées sans suite ; les responsables ne rendent aucun compte à personne : ils sont les maîtres absolus de tout ; le peuple n’est toléré et n’est là que pour payer ! Pourtant ce remdesivir qui n’a jamais marché sur Ebola, avait déjà provoqué des insuffisances rénales et hépatiques sévères, en étant par-dessus tout un produit mutagène. Ce produit n’avait, lui non plus, jamais été mis à l’épreuve des études, pour démontrer qu’il marchait !
L’hydroxychloroquine en vente libre dans les pharmacies depuis des décennies se trouvait tout à coup criminalisé, prohibé, condamné, dénigré, par Agnès Buzyn, avant même l’apparition de la Covid-19, pendant qu’on promouvait un produit toxique n’ayant jamais donné ses preuves ! On allait même jusqu’à en interdire la prescription par des médecins clairement infantilisés ! Qui ne peut pas voir qu’il y a là quelque chose qui cloche très sérieusement ? Ceux qui ne veulent pas voir !
Les médecins généralistes qui ont une vraie expérience de terrain ont massivement compris qu’on était en dehors des clous du « sanitaire ». Ils se sont donc arrangés, pour le plus grand nombre, afin de continuer à respecter leur serment d’Hippocrate et soigner sans avoir l’autorisation de prescrire, en acceptant de vivre dans la peur de se faire radier par l’Ordre des médecins, qui bien entendu est aux ordres de la mafia gouvernementale.
Certains médecins ont en effet été radiés de l’Ordre des médecins pour avoir osé soigner sérieusement les malades ! En revanche, certains, au milieu de ceux-là qui participaient au crime contre l’humanité, recevaient la Légion d’Honneur ! De même un grand nombre de médecins ont été suspendus dans leur droit d’exercer la médecine, parce qu’ils ont refusé de se faire injecter des produits expérimentaux en phase de test et sans aucune étude scientifique pour contrôler leur innocuité !
L’industrie pharmaceutique procède de la façon suivante :
Les professeurs de médecine les plus en pointe et qui sont susceptibles d’être des propagandistes des produits pharmaceutiques, sont abordés par Big Pharma. On leur dit alors qu’ils vont entrer dans les « board » (Conseils scientifiques et Conseils d’administration des labos). À chaque participation de ces réunions de conseils, ils seront rémunérés par des commissions très élevées. Quand le laboratoire voudra lancer une étude sur telle molécule, le professeur de médecine sera désigné comme « investigateur attitré principal ». Ce n’est qu’un titre, mais le médecin qui accepte ce titre sera grassement rémunéré. L’industrie fait tout de A à Z et le professeur de médecine ne sera là que pour animer des réunions avec des collègues hospitaliers et autres et faire la promotion de la molécule qui aura été totalement investiguée par le labo, sans même que « l’investigateur attiré principal » ne puisse rien savoir des données scientifiques en cause.
Des annonces commerciales sont faites auprès des revues qui sont préparées à l’avance sur la publication des papiers qui seront édités ensuite sous le nom prestigieux du Professeur de médecine reconnu et renommé. Il n’y a aucun groupe extérieur qui contrôle le travail de recherche. Les données restent secrètes et personne, pas même celui sous le nom duquel les études sont publiées, n’y a accès ! Quand l’étude est terminée, un article est déjà rédigé en anglais sans faute, tout est nickel chrome, parfait, sans défaut ! Le professeur n’a plus qu’à signer l’étude et devient un « auteur fantôme » qui va toucher sa commission substantielle juste pour avoir prêté son nom.
Tout ce qu’a publié le Professeur Perronne durant ces deux dernières années, est fondé, prouvé, démontré scientifiquement. Il est inattaquable sur le plan scientifique. C’est pourquoi personne ne veut un débat scientifique avec lui ; les ordures qui nous gouvernent préfèrent radoter que Perronne « affirme des contre-vérités sur la Covid-19 », « qu’il ne sait plus ce qu’il dit », que c’est un « charlatan », sans rien démontrer, sans jamais rien argumenter. Les pervers aux commandes se contentent de dénigrer, d’humilier, de détruire par le mensonge et la diffamation, la réputation de tous ceux qui s ’opposent à leur croyance obscurantiste sur la Covid-19.
À la suite de ses publications inattaquables, il a pourtant été attaqué violemment par le Gouvernement, l’administration et le Conseil de l’Ordre. Etant donné que tout était sourcé, prouvé, démontré, personne n’a pu le condamner : il a même été innocenté devant le Conseil de l’Ordre qui a reconnu que c’était en effet son devoir que de dire ce qu’il avait dit ! L’administration s’est donc contentée de le déposer de ses fonctions de chef de service et de le mettre au placard en attendant sa retraite qui est devenue effective en 2022. Démis de ses fonctions de chef de service des maladies infectieuses de l’hôpital Point Carré de Garches, par Martin Hirsch, il a été ensuite attaqué injustement au Conseil de l’Ordre sur dénonciation calomnieuse. Le Pr Perronne a été obligé de porter plainte aux pénales pour diffamation. La justice lui a donné raison, mais cela n’a pas empêché Martin Hirsch d’aller jusqu’au bout de sa sanction alors qu’il la savait infondée ! Martin Hirsch est l’exemple même du fonctionnaire, qui dans un mimétisme borné, obéit aveuglément aux pervers qui le commandent, sans se poser aucune question sur la vérité, sur la justice, sur l’équité… On se demande ce que ce type borné est allé faire chez Emmaüs ?!
Les chartes de « conflits d’intérêts » avaient été créées, justement par le Pr. Christian Perronne, au sein du Conseil supérieur d’hygiène publique, pour éviter l’intrusion des industries pharmaceutiques dans les décisions du Conseil, malgré qu’elles fussent prises à huis-clos et en petit comité ! Ce Conseil est devenu le Haut Conseil de la Santé publique en héritant de cette charte.
Il faut souligner que cette charte a été ignorée, comme le droit a été ignoré depuis trois ans, comme la science a été ignorée depuis le début de cette crise… Tout ce qui s’est passé depuis trois ans était illégal, anti-scientifique, incohérent, violent et au final hautement criminel ; une trahison exceptionnelle qui a dépassé tout ce que l’on aurait pu imaginer !
Nouvelles infos sur l’oxyde de graphène dans les « vaccins » anti-Covid-19
• https://t.me/brigadesantigraphene
Les photos ci-dessous proviennent d’une vidéo de 19 minutes, présentée sur Odyssée par le docteur Matthew Shelton interviewé par une juriste, Sue Grey, en Nouvelle-Zélande. On découvre ainsi, une nouvelle fois, la micro et nanotechnologie dans un « vaccin » Pfizer. La liste des pays qui ont fait cette même découverte s’allonge, mais la croyance en la religion covidiste ne permet pas de voir le danger ! Que chacun se fasse son opinion à partir de ces données scientifiques qui ont été publiées par le chercheur et médecin Matthew Shelton de Nouvelle Zélande.
Conclusion
Les grands médecins dignes de ce nom ne pouvaient pas cautionner un tel délire durant trois années consécutives, sans réagir ne serait-ce qu’à un moment donné, en suivant l’exemple de leurs paires (médecins et chercheurs en médecine) qui avaient été plus courageux, comme Didier Raoult, Christian Perronne, Louis Fouché, Pascal Sacré, Laurent Toubiana, Denis Agret, Alexandra Henrion-Caude, Martine Wonner, Jean-François Toussaint, Jean-Bernard Fourtillan, Nicole Delépine, Gérard Delépine, Luc Montagnier, Patrick Bellier, Jean-Pierre Willem, Christian Vélot, Benoît Ochs, Eric Loridan, Edouard Broussalian, David Bouillon, Jean-Dominique Michel, et tous ceux que j’ai oubliés ainsi que des légions d’autres médecins cohérents avec leur savoir et leur expérience médicale du terrain.
Il faudrait encore citer, pour les honorer, Astrid Stuckelberger, Carrie Madej, Arne Burkhardt, Karen Kingston, Agnès Hartemann, Geert Vanden Bossche, Wolfgang Wodarg, Samuel White, Martin Kulldorff, Sunetra Gupta, Jayanta Bhattacharya, les 60 000 médecins cosignataires de la déclaration de « Great Barrington », Andréas Noak, Thomas Szekeres, Mike Yeadon, Jens-Peter Keil, Walter Lang, Peter Schirmacher, Pablo Campra en Espagne, et tellement d’autres encore qui ont fait entendre la voix de la réinformation sur cette histoire qui a tourné au délire des responsables politiques et sanitaires…
Le temps leur avait permis de cumuler des montagnes de preuves qui démontraient que les Gouvernements ne suivaient pas une connaissance scientifique objective ni quelque motif sanitaire que ce soit, même en cherchant bien, puisque les chiffres démontraient que la Covid-19 n’avait jamais, à aucun moment, atteint le niveau normal d’une grippe très peu létale ! (Rappel : En France au pic le plus élevé de la crise de la Covid-19 : 140 malades par semaine pour 100 000 habitants ; pour une grippe normale c’est entre 500 et 600 malades par semaine pour 100 000 habitants, sachant que le chiffre de 140 n’a jamais été dépassé depuis trois ans !) Il n’y a jamais eu de « pandémie » de la Covid-19 !
Depuis que les théoriques « vaccins » ont été reconnus inutiles, comme tous les vaccins, (ils ne protègent pas de l’infection par le SARS-Cov-2 et n’empêchent pas d’infecter ses contacts), le chef de la stratégie vaccinale de « l’Agence européenne du Médicament » a déclaré il y a quelque temps :
« Si nous avons une stratégie dans laquelle nous donnons des rappels tous les quatre mois, nous finirons par avoir potentiellement des problèmes de réponse immunitaire ».
À bon entendeur, salut !
En d’autres termes, ce que le docteur Geert Vanden Bossche, spécialiste international du vaccin, prévenait depuis bien longtemps, s’avère être la réalité d’aujourd’hui et c’est exactement ce que la connaissance scientifique sérieuse avait déjà prévu : ces injections allaient détruire le système immunitaire naturel inné et acquis et laisseraient les personnes exposées aux différents « variants » (comme aux autres germes infectieux) sans aucune protection. Les variants allaient, quant à eux, provoquer la caducité perpétuelle des « injections », ne manquant pas de proliférer, grâce aux « vaccinations » répétitives (on en était en 2021 à plus de 4000 variants du SARS-CoV-2 identifiés à travers le monde selon les services de santé britannique).
Ce même raisonnement du Docteur Vanden Bossche, est en réalité applicable à tout vaccin en soi : ce qui confirme encore une fois l’inanité des vaccins, comme Louis Pasteur s’en était rendu compte ; raison pour laquelle il avait dû maquiller les résultats de ses travaux pour des motifs n’ayant rien à voir avec les intérêts de la santé des gens, comme on l’a vu !
Ce qui veut dire que peu à peu, concernant les vaccins anti-Covid, il était normal de constater que les malades et les morts se compteraient de plus en plus dans la population des « vaccinés ». C’est déjà bien le cas, rien qu’en se basant sur les chiffres de la DREES en France, comme on l’a dit dans la première partie de ce tour d’horizon.
Quand on abandonne la science pour se livrer à une croyance générant du fanatisme et une doxa obscurantiste, inspirée par l’argent obsessionnel et la volonté compulsive de pouvoir et de contrôle acharné sur des masses de dominés, c’est ce qui arrive, comme l’Histoire l’a si souvent démontré au cours des siècles passés. Il est temps de revenir à la raison et de comprendre ce qui s’est si bien caché derrière cette providentielle « fenêtre d’opportunité », paroles de scientifiques !
À suivre …
source : Mondialisation
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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