Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info)
Riley Gaines, une nageuse de l’Université du Kentucky, 12 fois championne, a été agressée à l’Université d’État de San Francisco par un groupe de militants pro-transgenres et a été évacuée sous protection policière. Riley Gaines devait prononcer un discours défendant le sport féminin, qui est affecté par la participation d’athlètes transgenres biologiquement masculins.
Riley Gaines avait déjà dénoncé la participation du nageur transgenre Lia Thomas aux championnats universitaires féminins.
Le grand avantage physique de Thomas sur ses rivales a suscité beaucoup de controverses et de nombreuses voix se sont élevées contre cette intrusion des hommes se déclarant femmes dans des compétitions féminines. Riley Gaines avait déjà prononcé un discours énergique contre cette dérive.
Elle avait dit alors :
« Je suis l’une des 200 nageuses papillon les plus rapides de tous les temps, mais le 17 mars de l’année dernière, mes coéquipières et moi, ainsi que d’autres nageuses d’autres universités, avons été contraintes de concourir contre un homme biologique nommé Lia Thomas. Thomas a été autorisé à concourir dans la division féminine après avoir fait partie de l’équipe masculine de natation de l’Université de Pennsylvanie pendant trois ans. Nous avons vu Thomas remporter le titre national au 500 m libre, battant les athlètes féminines les plus impressionnantes et les plus établies du pays, y compris les détentrices de records nationaux et olympiques. »
Riley Gaines a également dénoncé le fait d’avoir été forcée de partager un vestiaire avec quelqu’un qui avait encore des organes génitaux masculins.
Riley Gaines est devenue la cible des militants transgenres et LGBT.
La nageuse a assuré qu’elle refusait de se taire malgré cette agression.
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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