Covidisme : La Suisse retire toutes les recommandations de vaccination Covid, l’Allemagne annonce que l’épidémie est terminée

Covidisme : La Suisse retire toutes les recommandations de vaccination Covid, l’Allemagne annonce que l’épidémie est terminée

par Le Libre Penseur

En France, ils veulent vacciner les enfants contre le Covid-19 !

Il est tout de même extraordinaire de lire ce que l’on lit et de voir ce que l’on voit en cette période d’apocalypse covidiste ! Il eût été préférable de ne pas avoir à vivre cette époque détestable habitée par des malades mentaux, des corrompus et des criminels. C’est tellement énorme que c’est difficilement concevable, même si cela se passe sous nos yeux.

La même semaine, le ministre allemand de la Santé Karl Lauterbach annonce la fin de l’épidémie de Covid-19. En réalité celle-ci est terminée depuis très longtemps, elle ne persiste d’ailleurs qu’en Occident, le royaume de Big Pharma qui continue à vendre des injections entre 20 et 130 €. En Afrique, plus personne ne parle du Covid-19 depuis plus d’un an et la mortalité est à 0 comme en Algérie par exemple, c’est toujours bon à rappeler car d’aucuns, en Occident, vivent dans une bulle virtuelle extrêmement malsaine, voire mortifère. Puis, cette semaine, en Suisse, une décision a été prise par les autorités sanitaires officielles, à savoir la fin de la recommandation des vaccinations contre le Covid-19 : « Pour cette raison, aucune recommandation de vaccination contre le Covid-19 n’est formulée », C’est écrit noir sur blanc dans le rapport de l’Office fédéral de la santé publique du 1er avril 2023.

D’ailleurs, dès le mois de septembre dernier, on apprenait que les autorités suisses allaient détruire 10 millions de doses périmées du vaccin Moderna, plus personne n’en veut depuis un moment déjà comme vous pouvez le constater sur la capture écran ci-dessous.

D’autant que les autorités suisses estiment que la population dans une proportion de 98% possède des anticorps contre le Covid-19, à quoi bon dès lors les injecter ? C’est une simple question de logique, de bon sens et de respect de la science médicale, sauf que ce n’est jamais pris en considération en France. Chez nous, vous pouvez contracter 50 fois le covid-19, vous êtes considéré comme immunitairement vierge, il faut absolument faire au moins une injection. Tout le monde comprend que ceci n’a rien à voir avec la science, ce sont juste les directives de Big Pharma et de McKinsey qui sont suivies à la lettre par un corps médical indigne, rien d’autre.

Et là, patatras, un article de Slate est publié et il affirme exactement l’inverse d’autant qu’il est signé par un professeur de médecine helvète, un certain Antoine Flahaut ! Il est d’ailleurs un chroniqueur régulier de Slate, ayant publié plusieurs articles d’une rare stupidité qui ont démontré aujourd’hui leur caractère mensonger et catastrophiste. Par exemple, Il nous expliquait le 20 décembre 2022 que « En Chine, la sortie du zéro Covid fait craindre une hécatombe » ! Il ne s’est pourtant pas passé grand-chose en Chine. Le 30 novembre précédent, il affirmait qu’en France « Nous ne sommes pas prêts à affronter la neuvième vague de Covid (alors que nous pourrions l’être) », pourtant elle est passée sans déstabiliser la démographie hexagonale. Il a soutenu bien entendu le mythe du Covid Long. Le pire, le plus abject sera l’article du 22 juin 2022 concernant le virus du singe : « Le Monkeypox peut toucher n’importe lequel d’entre nous » ! Le futur a démontré à quel point la supercherie du Monkeypox était ridicule puisqu’elle ne concernait qu’une micro minorité aux dérives sexuelles catastrophiques et à l’hygiène douteuse. Il n’y a eu que quelques milliers de cas en France et aucun décès.

Bref, avec autant d’articles à côté de la plaque, pourquoi pas un énième, cette fois-ci, en s’attaquant au maillon le plus fragile de la société, les enfants. Alors que nous savons que ces derniers ne sont pas concernés par le Covid-19 – d’ailleurs c’est toute la tranche d’âge des moins de 40 ans qui n’est pas concernée par le Covid-19 – comment est-il possible de revenir en avril 2023 sur un tel non-sujet ? Les enfants et le Covid-19, ce n’est pas un sujet de santé publique. Le morticole a même osé nous ressortir l’escroquerie du PIMS !

Cet article est tellement lamentable, pathétique qu’il ressemble à une dernière tentative désespérée de terroriser la population alors que celle-ci n’en a cure. C’est un papier réalisé avec du copier-coller de 2020/2021, du réchauffé, certainement commandé par Big Pharma qui voit ses ventes dégringoler un peu partout et surtout des procédures judiciaires enclenchées ici et là.

Reste à savoir maintenant, comment est-il possible d’argumenter scientifiquement le fait que les Suisses cessent la recommandation vaccinale anti-Covid-19, que les autorités allemandes annoncent la fin de l’épidémie et au même moment qu’un professeur de médecine franco-suisse, qui exerça à Genève, ponde un papier affirmant exactement l’inverse ?

Faut-il rappeler à nos lecteurs que parmi les fondateurs de ce torchon de Slate en 2009, il y a… Jacques Attali. Que Benjamin de Rothschild possède 46,2% du capital de Slate en 2016 ! Que ce site existe depuis 14 ans maintenant et qu’il n’a quasiment jamais gagné d’argent, et pourtant il est maintenu sous perfusion pour continuer sa propagande.

La Suisse arrête les vaccinations Covid : Toutes les recommandations de vaccination ont été retirées, les médecins ne peuvent administrer les vaccins controversés que dans des cas individuels sous certaines conditions – mais assument alors le risque de responsabilité pour les dommages de vaccination. Quand des pays comme l’Allemagne et l’Autriche suivront-ils cet exemple ?

L’Office fédéral de la santé publique (BAG) et la Commission fédérale pour les questions de vaccination (EKIF) indiquent, à partir du 3.4.23, dans leur recommandation de vaccination (peut être consultée sur ce site Web) :

En principe, l’OFSP et l’EKIF ne formuleront pas de recommandation de vaccination contre le Covid-19 au printemps/été 2023 en raison de la faible circulation attendue du virus et du niveau élevé d’immunité de la population.

La vaccination n’est possible que dans des cas individuels, à savoir :

La vaccination est possible pour les personnes particulièrement à risque (BGP) ≥ 16 ans si le médecin traitant la considère comme médicalement indiquée dans la situation épidémiologique respective dans le cas individuel, une protection temporairement accrue contre les maladies graves est à prévoir et la dernière dose de vaccination datant d’au moins 6 mois.

Cependant, aucune recommandation de vaccination pour les patients à risque n’est explicitement donnée ici.

Dans ce qui suit, il sera expliqué que l’efficacité des vaccinations contre les variantes actuelles est réduite et de courte durée – en particulier pour les personnes à risque. L’adaptation du vaccin à ARNm n’a pas pu suivre le développement des variants. Les recommandations du BAG pourraient changer s’il y avait une nouvelle vague d’épidémies, mais même dans ce cas, selon le document, les vaccinations ne sont plus recommandées pour les personnes de moins de 65 ans.

Pas de rapport bénéfice/risque positif

Les propos sur les « Symptômes Indésirables de la Vaccination » (SUI) sont également piquants :

Selon l’état actuel des connaissances, le risque d’UIE sévère avec une vaccination recommandée est bien inférieur au risque de complication du Covid-19, contre lequel la vaccination protège. Le bénéfice de la vaccination administrée selon la recommandation l’emporte donc sur les risques éventuels.

Dans le cas de la non-recommandation valide, cela signifie essentiellement qu’il n’y a plus de rapport bénéfice-risque positif pour toute vaccination Covid.

Responsabilité : le gouvernement fédéral est sorti, les médecins ont un devoir

Les nouvelles recommandations ont également des conséquences en matière de responsabilité. C’est ce que dit le document du BAG sur la stratégie de vaccination Covid (état : 29 novembre 2022) :

L’indemnisation par la Confédération des personnes lésées pour les dommages de vaccination ne peut être envisagée pour les vaccinations que si elles ont été officiellement recommandées ou ordonnées (voir art. 64 EpG).

Cependant, le gouvernement fédéral n’est intervenu que si les dommages n’étaient pas couverts par le fabricant du vaccin, la personne vaccinant ou une compagnie d’assurance. La personne qui vaccine – c’est-à-dire généralement le médecin – peut être tenue pour responsable si elle a violé le devoir de diligence. Dans ce contexte, il est rappelé que les mêmes règles d’information du patient s’appliquent à la vaccination Covid qu’à toutes les autres vaccinations.

Or, le fait est que très peu de médecins sont susceptibles d’avoir correctement informé leurs patients de tous les risques et effets secondaires et de l’efficacité limitée des vaccinations Covid. L’utilisation hors AMM de vaccins (pas inhabituel pour les vaccinations Covid, par exemple les vaccins bivalents à ARNm en Suisse ne sont pas approuvés comme premières vaccinations, pas comme rappel pour les moins de 18 ans et pas comme cinquième vaccination) doit être discutée devenir. Pour les médecins, la justification des vaccinations devient plus difficile en raison des recommandations modifiées, selon un document du BAG sur les questions de responsabilité :

Si le médecin qui vous traite fonde son choix ou sa prescription sur les recommandations vaccinales du BAG, il peut prouver qu’il a observé les règles reconnues des sciences médicales et pharmaceutiques et qu’il s’est donc conformé au devoir de diligence prévu par la loi sur les médicaments.

Le Weltwoche rapporte que désormais les médecins doivent être responsables de la vaccination – ce qui signifie que leur volonté de vacciner est susceptible de diminuer considérablement.

source : Le Libre Penseur
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Source : Lire l'article complet par Réseau International

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Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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