par Bouddhanar
En prenant les dix dernières années dans la base de données du VAERS, on note 4800% de décès en plus, suite au vaccin anti-Covid. En prenant VigiAccess, il a suffi d’une seule année de vaccin anti-Covid pour atteindre dix fois plus d’effets indésirables que tous les effets secondaires obtenus contre la grippe en cinquante ans. À ce jour, ce sont « plus de 11 millions de rapports d’événements indésirables et plus de 70 000 décès » qui ont été rapportés. […]
Sans que personne en parle, la base de données VigiAccess indique que les principales victimes de ces vaccins sont majoritairement des femmes. Deux tiers de femmes contre un tiers d’hommes. Près d’une victime sur deux est européenne. Et les jeunes entre 18 et 44 ans, qui n’étaient pourtant pas à risque du Covid, représentent 40% des victimes. […]
Actuellement, ce sont des milliers de publications scientifiques qui viennent soutenir la description de ces maladies et décès post-vaccination. Mais ces articles alertent aussi sur l’effondrement de la réponse immunitaire chez les vaccinés, et sur le danger que représentent de nouvelles injections pour eux, comme le rapporte The Lancet en juin 2022. […]
Regardons sur-le-champ l’étendue de ces effets indésirables, grâce à la « liste prioritaire des événements indésirables d’intérêt particulier ». Cette liste provient de la très officielle Brighton Collaboration, qui est partenaire de l’OMS :
• Désordres hématologiques, notamment des saignements internes ou externes, thrombocytopénies, troubles de la coagulation, thrombose, thromboembolisme, AVC ;
• Désordres immunologiques tels que des anaphylaxies dont les formes sont aggravées par le vaccin, les syndromes inflammatoires multisystémiques chez les enfants ;
• Désordres pulmonaires tels que le syndrome de détresse respiratoire aigu ;
• Désordres cardiovasculaires aigus dont myocardite, péricardite, arythmie, insuffisance cardiaque, infarctus ;
• Atteintes rénales et hépatites aiguës ;
• Désordres neurologiques dont les encéphalomyélites aiguës disséminées, les syndromes de Guillain-Barré et Miller Fisher, la méningite aseptique, la méningo-encéphalite, les convulsions généralisées, la paralysie du nerf facial, l’anosmie, l’agueusie ;
• Désordres dermatologiques dont les érythèmes multiformes, l’alopécie (chute des cheveux), les lésions de type engelures, la vascularité cutanée. Cette liste est susceptible d’être mise à jour à mesure que de nouvelles preuves apparaissent.
Je pourrais aborder en détail chacune de ces maladies, mais par économie de temps et de frayeurs je ne vais insister que sur quelques-unes.
En premier lieu, les troubles menstruels sont désormais un chapitre important de la vie des femmes vaccinées. Ils concernent entre 10% et 65% des femmes vaccinées avec ou sans rappel, respectivement selon le ministère de la Santé en Israël et selon une publication italienne dans Open Medicine (février 20 22).
Il y a aussi un lien entre les troubles cardiaques de type myocardites et péricardites, et le nombre de doses de vaccins ARNm reçus par les jeunes hommes entre 12 et 39 ans. Ce lien est clairement établi dans différentes cohortes, que ce soit aux États-Unis (janvier 2022), dans les pays nordiques (avril 2022) et en Israël (avril 2022). Les résultats ont été respectivement publiés dans les journaux JAMA pour deux d’entre elles et Nature pour l’israélienne. Ce risque augmente non seulement en fonction du nombre de doses, mais aussi en fonction de l’âge. À titre d’exemple, deux doses de Pfizer multiplient par 133 le risque de myocardite chez les enfants de 12 à 15 ans.
Autre événement indésirable grave : les troubles neurologiques. Des neuropathies à la démence, en passant par des neurodégénérescences, ces troubles sont les plus fréquemment rapportés après la vaccination, dans les bases de données officielles. VigiAccess, la base de l’OMS, liste 1,7 million de troubles neurologiques. Il peut s’agir de troubles cérébraux vasculaires de type AVC ou thromboses veineuses cérébrales, des problèmes cognitifs et de mémoire de type Alzheimer, des troubles de neuropathie périphérique de type paresthésie, paralysie de Bell, épilepsie et convulsions et des neuropathies immunologiques de type syndrome de Guillain-Barré et myélite transverse.
Une étude prospective sur les maladies démyélinisantes inflammatoires, qui sont des maladies d’une gravité extrême, affirme que 8,5% des patients ont développé les tout premiers symptômes dans les mois qui ont suivi leur vaccination anti-Covid. Puis une autre de mai 2021 parue dans XActa Neurologica Scandinavica, qui compile les effets neurologiques. Puis une autre parue en juin 2021 dans Cureus. Puis une autre, publiée le 4 septembre 2021 dans le Journal of Neurology. Et encore une autre parue en octobre 2021, dans la revue European Journal of Neurology. Et encore une autre parue le 11 novembre 2022, où l’on apprend cette fois que 57% des patients de l’étude développent des troubles neurologiques juste après la vaccination. Et il y en a d’autres.
Extraits du livre d’Alexandra Henrion-Caude, « Les apprentis sorciers »
« Je ne suis pas complotiste mais généticienne, l’une des plus renommées d’après certains. Dans ce livre, je vous dirai ce qu’est l’ARN messager, celui qui compose les vaccins anti-covid. Parce que vous avez le droit de savoir. Êtes-vous prêts ? »
source : Bouddhanar
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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