par Kla.tv
Le 10 décembre 2022, un froid glacial a soufflé sur toute la France. Mais un autre événement a encore plus glacé les gens : des photos alignées de personnes, jeunes pour la plupart, qui étaient mortes peu après avoir été vaccinées contre le Covid. Ces photos posent la question suivante : les voix qui s’élevaient contre le vaccin Covid, censurées, raillées, méprisées par les médias avaient-elles finalement raison ?
Transcription :
En France, ces dernières années pendant la crise du Covid, les médias ont attaqué violemment les scientifiques qui osaient donner un avis contraire à celui du Conseil scientifique. Le plus médiatisé était le professeur Raoult ; lui et bien d’autres, comme le professeur Perronne, étaient tout simplement raillés et censurés. Ce dernier raconte qu’un journaliste lui a avoué qu’il aurait bien aimé l’inviter sur son plateau télévisé mais que la conséquence serait que le lendemain il serait au chômage. Beaucoup de scientifiques étrangers, et du coup encore moins médiatisé en France, ont manifesté leurs craintes en particulier par rapport au vaccin à ARN messager. Michael Yeadon ancien vice-président de Pfizer a catégoriquement dit : « Ce type de vaccination est un crime contre l’humanité ». Quant au Pr Sucharit Bhakdi, il a expliqué scientifiquement les dégâts que ce genre de vaccin causerait par la suite, en particulier les accidents vasculaires, c’est-à-dire les AVC, les thromboses, les ruptures d’anévrismes, les embolies, les infarctus, les crises cardiaques, etc. Il a terminé son exposé avec cette phrase : « Je ne vous le dirai jamais assez : je voudrais que nous ayons tort », en parlant des lanceurs d’alerte comme lui. Était-il également un complotiste comme le seraient selon les médias tous les lanceurs d’alerte ? Malheureusement l’histoire nous démontre aujourd’hui que le professeur Bhakdi avait raison.
Ainsi, le 10 décembre 2022, il faisait-un froid glacial sur toute la France, mais ce qui l’était encore plus, c’étaient sur plusieurs places dans différentes villes, les rangées de photos de personnes décédées juste après la vaccination Covid. Il s’agissait d’une initiative de plusieurs associations qui avait pour but de montrer à la vue des passants les dégâts que la vaccination avait causés. Sous chaque photo étaient inscrits le nom de la personne, son âge, la cause de son décès et également le temps entre la vaccination et le décès. Celui-ci était parfois très court, d’un ou plusieurs jours, parfois même que de quelques heures. L’âge était également significatif car il s’agissait surtout de personnes jeunes. À ce propos un scientifique présent à Metz a expliqué que de mémoire on n’avait jamais observé de myocardite chez les jeunes, mais qu’à partir de la vaccination elles ont commencé à apparaître. La cause des décès justement ne laisse pas de place à l’équivoque ou à l’incrédulité car pour la quasi-totalité des décès il s’agit de problèmes cardio-vasculaires : d’AVC, de thrombose, de rupture d’anévrisme… ce qu’avait justement expliqué le Pr Sucharit Bhakdi.
Imaginons un instant ce qui serait-advenu si des scientifiques comme Bhakdi et bien d’autres avaient eu le même temps de parole que ceux qui encourageaient à se faire vacciner, et de même s’ils avaient pu expliquer ce qu’est le consentement éclairé.
Normalement obligatoire, le consentement éclairé que chaque médecin aurait dû faire signer au futur vacciné est de donner une information sur le produit ainsi que les effets secondaires possibles.
À ce propos c’est très intéressant d’écouter le professeur Christian Perronne dans une interview sur TV Libertés. Oui, on est en droit d’imaginer que beaucoup n’auraient pas pris le risque de se faire injecter un produit aussi dangereux et que par conséquent il y aurait beaucoup moins de dégâts et de drames dans beaucoup de familles comme ces photos dans les rues l’ont montré.
De nouveau comme pour beaucoup d’autres sujets d’actualité, les médias ne font pas preuve d’impartialité ; au contraire ils démontrent leurs liens d’intérêts avec les scientifiques et les laboratoires pharmaceutiques qui n’avaient qu’une seule chose en tête : vacciner le plus grand nombre. Maintenant que les effets secondaires dramatiques sont révélés et prouvés, il serait normal qu’ils s’expliquent, et présentent des excuses publiques, comme l’ont fait certains dirigeants canadiens, mais là aussi, cela n’est pas connu.
Par la voix des médias, les peuples ont besoin d’entendre tous les protagonistes pour pouvoir prendre une décision, à plus forte raison lorsqu’il s’agit d’un enjeu comme celui de la santé, sinon cette décision risque d’être prise sous la contrainte ou la peur comme dans le cas de la crise sanitaire passée.
Les médias ont donc une grande responsabilité dans cette crise comme dans beaucoup d’autres sujets censurés, ils devront un jour rendre des comptes.
source : Kla.tv
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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