Stefano Gennarini, vice-président de C-Fam.
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
22 mars 2023 (LifeSiteNews) — Au cours de la conférence de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies (CSW) ce mois-ci, des experts pro-vie du monde entier ont exprimé leur soutien à une déclaration rejetant un « droit international à l’avortement ».
L’événement, qui consistait en un panel discutant de la manière dont l’adoption de la Déclaration de Consensus de Genève fait progresser le bien-être des femmes et des filles, a eu lieu le 10 mars en marge de la CSW. Le Centre pour la famille et les droits de l’homme (C-Fam) a organisé la réunion, qui était parrainée par la mission permanente du Guatemala auprès des Nations unies.
Stefano Gennarini, vice-président du C-Fam pour les études juridiques, a commencé la session en soulignant l’importance de la Déclaration de Consensus de Genève (DCG). Bien qu’elle ait été signée par plus de 30 pays lors de sa publication en 2020, des pressions internationales ont été exercées pour la rejeter.
« Certains gouvernements puissants font pression sur les pays pour qu’ils renoncent à la Déclaration de consensus de Genève », a déclaré M. Gennarini. « Posez-vous la question : pourquoi les pays les plus puissants de la planète, y compris le gouvernement américain, feraient-ils pression sur les gouvernements pour qu’ils renient leur engagement à promouvoir la santé optimale des femmes, la famille et le respect de la souveraineté ? Pourquoi ce document est-il si important ? Parce qu’il montre que la coopération internationale peut être favorable aux femmes et en même temps à la vie, à la famille et à la souveraineté ».
M. Gennarini a ajouté que ces « pays attaquent la Déclaration de Consensus de Genève… sans aucune légitimité politique » et utilisent « des euphémismes tels que “santé sexuelle reproductive” ou “droits reproductifs” pour promouvoir l’avortement comme un droit de l’homme ».
« Il n’existe pas de déclaration comparable promouvant l’avortement au niveau international. Ils n’essaieront même pas d’en avoir une en raison du peu de soutien dont ils disposent. L’avortement n’a jamais été un droit en vertu de la législation internationale sur les droits de l’homme et il ne pourra jamais l’être ».
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