Brossard n’est plus au Québec
Bientôt plus de Québécois à Brossard
Bien peu de Québécois, à commencer par moi, ont dû mettre un jour les pieds à Brossard. J’ai même dû chercher sur une carte pour voir où c’était situé par rapport à Montréal.
Pourquoi alors en parler? Eh bien, simplement parce que cette ville a perdu son identité québécoise.
En effet, les plus récentes statistiques effarantes révèlent que la majorité de sa population n’est pas née ici.
Pire encore, ce sont majoritairement des asiatiques, avec une proportion grandissante de Chinois. Un poste de police chinois et autres installations communautaires chinoises sous couverture ont pignon sur rue, poursuivant leurs activités louches d’ingérence actuellement sous enquête par la GRC.
Bref, Brossard n’est plus québécoise.
Elle est passée aux mains de l’étranger, comme la Chine qui s’est installée au Tibet, comme la Russie veut s’installer à demeure dans certaines régions ukrainiennes. Nous n’y sommes plus chez nous.
Lorsqu’on voit un endroit s’appeler du nom épouvantable de Sino-Québec (la Chine au Québec, le Québec devenu chinois), on se dit : est-ce là le futur nom de notre province, annexée à la mère-patrie chinoise? « Lira-t-on un jour sur les prospectus : « venez habiter en Sino-Québec ».
Sur les 1100 municipalités du Québec, doit-on se réjouir qu’il y ait dans un avenir rapproché 100 autres Brossard? Ou 500 peut-être?
Est-on en train de bâtir tout un Québec déquébécisé de sa vraie population historique? Sommes-nous en train de se faire tasser, repousser en région, 1 par 1?
Sur la planète surpeuplée par le tiers-monde, 8 milliards d’humains en errance aboutiront-ils un jour ici pour remplacer les 8 millions d’entre nous, à raison de 1000 pour 1?
Ces immigrés brossardois font précisément ce qu’il ne faut pas faire : ils ne s’intègrent pas et n’en ont nulle intention. La preuve, c’est qu’ils vivent regroupés entre eux, pratiquant le communautarisme délétère, la pire attitude à adopter dans un nouveau pays. Cela démontre qu’ils essayent le plus possible de tout faire comme s’ils étaient encore dans leur pays d’origine, ce qui est fort malvenu.
Pourtant, Brossard doit son nom à l’une des familles pionnières de la région. L’un des membres de cette famille, Georges-Henri Brossard, en fut même le maire à l’époque. Le pauvre homme doit se retourner dans sa tombe de voir sa ville aliénée pour le pire.
En Colombie britannique, on sait qu’il y a plusieurs de ce genre de villes, comme Richmond. L’affichage est souvent uniquement en chinois, la langue de l’espace public est le chinois, et les gens sont des… Chinois! On implante ailleurs ici.
Des solutions s’imposent. Que le gouvernement émette des quotas maximums et autres mesures :
Non, les villes du Québec n’ont pas à devenir une à une des villes étrangères assiégées et conquises.
Note 1: les illustrations montrent de quoi a l’air la ville de Richmond et autres villes fortement asiatisées de la Colombie-britannique
Note 2: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec