Pires que les mecs : la dangerosité des féministes au pouvoir

Inutile de revenir sur la nocivité de la vipère Leyen, cette incarnation de la corruption qui trône sur la Commission européenne sans avoir jamais été élue. Ne vous fiez pas à son brushing de bourgeoise faisandée : ce viol permanent de la démocratie au service du pire de l’Empire a les mains libres pour entraîner l’Europe dans la paupérisation et la guerre. Même chose avec Macron à l’échelle française : il faut être aveugle ou malhonnête comme un Laurent Alexandre pour ne pas s’en rendre compte.

On commence par Kamala Harris et son concept de « souffrance mentale climatique » attribué aux enfants. Pour info, Kamala a été castée par le pédophile Biden pour rafler le vote des femmes noires en 2020. Ses interventions publiques ont été si contre-productives que le staff démocrate a préféré lui couper le micro.

Partout, l’accession des femmes au pouvoir – par la discrimination positive plus que par la compétence – a été une catastrophe pour la vie politique et pour la démocratie. Regardez ce qu’Hidalgo a encore fait à Paris, à la politique et au socialisme :

Tout le monde se souvient, pendant le covidisme (la répression sanitaire occidentale contre les peuples), de l’horrible Premier ministre de Nouvelle-Zélande. Jacinda Ardern a été en pointe dans le sadisme à l’encontre des non-vaccinés. Le résultat ? Plus de morts par vaccination que par non-vaccination.

Et puis, surtout, Jacinda s’est illustrée dans le combat contre la liberté d’expression, synonyme, selon elle, de terrorisme et assimilée à « une arme de guerre ». Elle instrumentalisera la tuerie de Christchurch pour limiter les droits des utilisateurs sur Internet.

« Même les approches les plus légères de la désinformation pourraient être mal interprétées… Nous avons ici l’occasion de nous assurer que ces armes de guerre particulières ne deviennent pas une partie intégrante de la guerre. »

La France n’est pas en reste, avec Borne en charge de l’éradication de l’État social, c’est-à-dire du national et du social, cet héritage gaulo-communiste. Sa figure de gouvernante sans grâce est raccord : Bornstein est impitoyable avec les pauvres. Avec son balai de sorcière néolibérale, elle traque la moindre poussière démocratique : grâce à elle, la finance impose ses choix et ses intérêts au peuple français. Macron peut dormir tranquille, son fusible cuir est détestable à souhait. Et une fois qu’on a accepté d’être détesté, on peut être sadique avec tout le monde.

On pourrait faire le tour de la Terre des femmes arrivées au pouvoir qui sont pires que les hommes. La dernière furie en date, c’est le ministre des Affaires étrangères du Canada, qui réclame un regime change en Russie. Une demeurée de haut vol.

Rien que chez nous, Hidalgo, Pécresse et Rousseau disent l’effondrement intellectuel et moral. On attend toujours l’héritière de Marie-France Garaud.

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation