Enoch Burke entouré de safaimlle devant la cour à Dublin.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie
9 mars 2023, Dublin (LifeSiteNews) — Un enseignant chrétien d’une école irlandaise, licencié pour avoir refusé d’utiliser des pronoms transgenres, a perdu son appel contre les injonctions du tribunal l’empêchant de se rendre dans son école.
Enoch Burke a vu son appel rejeté par la Cour d’appel de Dublin le 7 mars, lors d’une audience qui s’est terminée par l’expulsion des membres de la famille Burke du tribunal, et l’arrestation et l’inculpation de l’un d’entre eux. Ses parents l’avaient rejoint pour assister aux résultats de son appel, ainsi que sa sœur et de ses deux frères, alors qu’Enoch contestait la décision de justice qui l’empêchait d’entrer dans l’école où il travaillait.
Burke était professeur d’histoire et d’allemand à l’école secondaire Wilson’s Hospital de l’Église d’Irlande à Multyfarnham, dans le comté de Westmeath. L’année dernière, il avait refusé de se conformer à l’ordre donné par le directeur de son école, le 9 mai, d’utiliser un nom et un pronom féminins pour un élève de sexe masculin qui était en cours de « transition ».
Le 22 août, il avait été mis en congé administratif rémunéré pendant que le conseil scolaire menait une procédure disciplinaire. Après que Burke ait ignoré cette mesure et ait continué à fréquenter l’école, il a reçu une ordonnance provisoire le 30 août pour l’empêcher d’entrer dans l’école, ce qu’il a également ignoré.
Les autorités scolaires ont convoqué la police et Burke a été arrêté pour outrage au tribunal le 5 septembre alors qu’il était assis dans une salle de classe vide de l’école. Il a été condamné à une peine de prison d’une durée indéterminée, jusqu’à ce qu’il purge son outrage au tribunal ou jusqu’à ce que le tribunal en décide autrement. Cependant, quelques jours avant Noël, il a été libéré par la Haute Cour, le juge ayant estimé que Burke utilisait son emprisonnement à des fins personnelles.
Burke avait passé 108 jours derrière les barreaux, mais après sa libération, le tribunal l’a averti qu’il serait condamné à une amende journalière de 700 euros s’il refusait d’obéir à l’injonction du tribunal lui interdisant l’accès à l’école.
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
Source: Lire l'article complet de Campagne Québec-Vie