L’effet Streisand désigne un phénomène médiatique involontaire. Il se produit lorsqu’en voulant empêcher la divulgation d’une information que l’on aimerait cacher on aboutit au résultat inverse. (Wikipédia)
Tristan Mendès poursuit inlassablement son combat – perdu d’avance – contre la liberté d’expression. Si celle-ci dérange autant Tristan, c’est parce qu’il bosse pour le pouvoir profond (ça se vérifie quand des gens qu’on voit partout ont des boulots ou des revenus extrêmement flous), qui ne veut surtout pas se voir exposé et dénoncé pour ses authentiques exactions. Le boulot du Tristan consiste donc à faire croire que les gentils c’est les méchants, et les méchants les gentils. Bon courage !
Son dernier fait d’armes, c’est d’avoir obtenu l’annulation de la diffusion d’une interview de Kemi Seba sur LCP, l’ex-chaîne de Frédéric Haziza.
« Voilà du travail bien fait pour Tristan Censure France. Et vous allez voir qu’après avoir été censuré, Kemi Seba osera dire qu’il a été victime de censure. Vraiment, ce serait le comble ! » (Senseur)
Comme toujours avec Tristan, qui devrait réfléchir un peu plus, ses actions liberticides augmentent mécaniquement le capital sympathie de ses ennemis. Et voilà une excellente publicité pour l’Africain, qui a logiquement dénoncé ce 2P2M (deux poids, deux mesures).
Quand le chef d’AQMI est interviewé par FRANCE 24, ça ne vous dérange pas chers colons ? Quand Zemmour est invité partout pour cracher sa haine des Noirs et des arabes ca ne vous dérange pas non plus ? Mais quand je parle dans vos médias, c’est la FIN DES TEMPS ? Vous avez PEUR pic.twitter.com/LBrhUZRoa1
— Kemi Seba Officiel (@KemiSeba1) March 12, 2023
Seba ajoute que l’émission censurée est sur son disque dur et qu’il la diffusera lui-même : buzz garanti ! Merci Tristan !
Il semble que ce qui a fait peur à la Kommandandur, qui donne ses ordres aux médias mainstream, c’est la relation montante entre l’Afrique et la Russie. Illustration avec cet extrait d’une interview chez Morillot :
Pour se protéger de l’information véritable et de la colère populaire, le pouvoir profond est obligé d’élever toujours plus les murs de la censure, au moment où la liberté d’expression reprend vie sur Twitter, même si elle n’est pas totale.
Cela donne un couple censure/débunkage de toute beauté : la censure, en étant immédiatement dénoncée, se retourne contre elle-même. Car une bonne censure est une censure invisible ! Celle qu’on ne voit pas, et qui s’appelle l’autocensure.
Éric Morillot, justement, parle du cas Soral, qu symbolise à lui tout seul les limites de la liberté d’expression dans les médias, qu’ils soient mainstream ou alternatifs :
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation