Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons.
Voici le programme :
Vers la fin de la liberté académique
De l’utilité de la Déclaration d’Helsinki
Une solution saline pour inhiber la réplication du SRAS-CoV-2?
Origine du SARS-CoV-2
90% des personnes décédées de la COVID-19 en Angleterre sont vaccinées
- Sur l’infection naturelle
- Vaccination des femmes enceintes
- Lula, le président du Brésil, veut une 7è dose
- Corrélation entre vaccination et taux de mortalité infantile
Contrairement aux responsables de la santé publique, les médias grand public n’ont aucune obligation publique de rendre [des comptes]. En fait, les médias grand public s’assureront que PERSONNE n’apprenne l’existence de ces documents [les études scientifiques revues par les pairs qui montrent l’inneficacité et la dangerosité des injections ARNm]. Ils continueront à promouvoir les faux récits du gouvernement, peu importe le nombre de personnes tuées et ce que dit la science évaluée par les pairs. Personne ne veut perdre son emploi à cause de cela !
Steve Kirsch’s newsletter, 3 mars 2023
Vers la fin de la liberté académique
Jim McMurtry, un enseignant de la Colombie-Britannique a été licencié après avoir déclaré aux élèves que les décès dans le Pensionnat autochtone de Kamloops étaient en grande partie causés par la tuberculose et d’autres maladies, ce qui est étayé par le rapport de la Commission Vérité et Réconciliation. (Vancouver sun, 21 févr 2023)
Comme l’indique le Vancouver Sun, les dirigeants de cette école ne souhaitaient pas entendre ce qui est pourtant la vérité. Il s’agit là d’un très dur coup porté à la liberté académique, qui n’a plus de liberté que le nom après différentes affaires comme celle du « mot en N » à l’Université d’Ottawa ou la suspension de Patrick Provost à l’Université Laval (UL).
Rappelons que Patrick Provost, professeur et spécialiste de l’ARN, a été suspendu 12 semaines par l’UL pour avoir demandé l’arrêt des injections ARNm aux enfants. Il s’agit donc d’un spécialiste de la question et pourtant son université le menace et le sanctionne pour le faire taire. La prochaine étape est son renvoi pur et simple.
En ces temps de censure, la liberté académique doit être l’ultime bastion de la liberté d’expression : des spécialistes dans leur domaine doivent pouvoir s’exprimer sans crainte de mesures de rétorsion. Qui le fera sinon? Surement pas les journalistes ou professionnels qui craignent pour leur emploi…
Il est à craindre que ces décisions envoient des messages qui rendent le public encore plus conformiste. Et l’on sait pourtant que c’est du conformisme que sont nés les plus grands totalitarismes… Est-on en « démocratie » lorsque la liberté d’expression est brimée? Quant à la science, elle ne peut progresser que grâce à la confrontation des idées.
Il est donc urgent que professeurs et citoyens réagissent avant qu’il ne soit définitivement trop tard. Cela a commencé à bouger à l’Université Laval puisque 280 professeurs ont signé une lettre de soutien à Patrick Provost. Mais que font les milliers d’autres, à l’UL, dans le reste du Québec et du Canada? S’ils ne bougent pas, ils deviendront de simples employés.
Mais s’en rendent-ils seulement compte?
De l’utilité de la Déclaration d’Helsinki
Parallèlement à la liberté académique, en pleine décrépitude, un autre socle de nos démocatries a volé en éclat lors de la « pandémie » de COVID-19 : le consentement libre et éclairé.
La Déclaration d’Helsinki (1964) devait en garantir l’application. Mais elle a été littéralement bafouée.
Celle-ci s’inscrit dans la lignée du Code de Nuremberg, qui a vu le jour suite aux atrocités commises lors de la 2e guerre mondiale. Rappelons que le choix de cette ville n’était pas anodin puisque c’est là qu’ont été promulguées les premières lois antisémites par les nazis et qu’a eu lieu le procès des criminels nazis.
Dix des principes initiaux de la Déclaration d’Helsinki ont été énoncés pour la première fois dans le Code de conduite de Nuremberg de 1947, dont le but était d’identifier le consentement éclairé comme préalable absolu à la conduite de recherche mettant en jeu des sujets humains. D’autres éléments ont été ajoutés à partir de la Déclaration de Genève de 1948.
La déclaration d’Helsinki est essentielle car jusque là, la communauté scientifique, en dépit des crimes commis durant la 2e guerre mondiale, avait peu tenu compte du Code de Nuremberg. Le tollé provoqué par le scandale de la thalidomide, un médicament donné aux femmes enceintes et qui a résulté en des milliers de fausses-couches et la naissance de milliers de bébés handicapés, a changé la donne.
Il s’agit donc d’une déclaration de principes éthiques dont l’objectif est de fournir des recommandations aux médecins et autres participants à la recherche médicale sur des êtres humains. Il y a des petits rappels de base comme :
« La santé de mon patient sera mon premier souci » et « le médecin devra agir uniquement dans l’intérêt de son patient lorsqu’il lui procure des soins qui peuvent avoir pour conséquence un affaiblissement de sa condition physique ou mentale ».
La question est maintenant de savoir si elle a été réellemt suivie durant la COVID-19.
Comme on l’a vu, la réponse est non etRobert Malone, l’inventeur de l’ARNm s’est intéressé à la question. Il constate notamment que juste avant la pandémie, l’Association médicale mondiale a une nouvelle fois tenté de mettre la déclaration à jour. Cependant, comme le rapportait The Lancet le 30 septembre 2020, soit quelques semaines avant le début des injections ARNm, le projet a suscité un grand tumulte car il a été interprété comme « une tentative de diluer les principes éthiques du document et de saper la protection des participants à la recherche médicale, en particulier ceux des pays en développement ».
Le lecteur en tirera les conclusions lui-même. Mais force est de constater que revus ou pas, ces divers codes, chartes et déclarations, censés protéger les patients grâce au consentement libre et éclairé (un patient aurait du connaitre la balance bénéfice/risque des produits que l’on se proposait de lui incoluer et il aurait du pouvoir refuser, sans aucune coercition ni stratagème ni conséquence) ont été littéralement baffoués. S’ils sont là, c’est pourtant qu’il y a des raisons, des raisons capitales.
Le résultat est que des milliards d’êtres humains ont participé, sans le savoir ou pour pouvoir aller au restaurant, à une expérimentation (puisque les injections sont encore expérimentales) dont on ne connaitra les conséquences que dans 20 ans, voire plus.
Nous risquons de payer très cher tout cela.
Une étude révèle comment une solution saline peut inhiber la réplication du SRAS-CoV-2
Des chercheurs de l’Université de São Paulo (USP) au Brésil ont montré qu’un spray nasal d’une solution saline hypertonique inhibe la réplication du SARS-CoV-2, le virus responsable du COVID-19, et ont élucidé le mécanisme biochimique impliqué. Un article rendant compte de ces recherches est publié dans ACS Pharmacology & Translational Science. L’étude a été réalisée en laboratoire à l’aide de cellules pulmonaires épithéliales humaines infectées par le virus.
Dans l’étude, les chercheurs suggèrent que l’utilisation de la solution saline hypertonique pourrait être testée de deux manières. L’un d’eux est un spray nasal pour la prophylaxie des voies respiratoires, la principale passerelle pour que le SRAS-CoV-2 pénètre dans l’organisme.
Anacleto Silva de Souza, et al. Molecular Dynamics Reveals Complex Compensatory Effects of Ionic Strength on the Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Spike/Human Angiotensin-Converting Enzyme 2 Interaction. The Journal of Physical Chemistry Letters 2020 11 (24), 10446-10453, DOI: 10.1021/acs.jpclett.0c02602
Résumé ici.
Origine du SARS-CoV-2
Selon le ministère de l’énergie des USA, la fuite d’un laboratoire est probablement à l’origine de la pandémie de Covid-19. (The Wall Street Journal, 26 févr 2023 et La presse, 26 févr 2023).
Propos confirmés par le Dr Redfield, l’ancien directeur des CDC, qui reconnait qu’il « n’y a aucun doute que que NIH (National Institutes of Health), le Département d’État, l’USAID (l’Agence américaine sur le développement international) et le ministère de la Défense ont financé la recherche sur les gains de fonction ».
Il est important de mentionner qu’il répondait à la question suivante : « Est-il probable que les contribuables américains aient financé la recherche sur le gain de fonction qui a créé ce virus » (C’est nous qui soulignons).
En répondant par l’affirmative, il reconnait que non seulement le gouvernement américain finançait les gains de fonction, mais que c’était bien concernant le Sars-cov-2 dans le P4 de Wuhan, et que c’est ce virus « augmenté » qui se serait échappé de ce labo.
Alors, Alexandra Henrion-Caude vous le demande : quand est-ce qu’on remplace « égérie des complotistes » par « lanceuse d’alerte de la première heure »?
Ce qui devrait en rester est que l’on ne peut accuser de complotiste quelqu’un qui ne pense pas comme vous. La preuve en est qu’il peut avoir raison! Surtout quand il a des arguments. Malheureusement, c’est loin d’être le cas.
Ainsi, un « fact checker » français bien connu, qui dénonçait la théorie de la fuite du laboratoire comme une théorie complotiste et qui appelait à la censure de toutes personnes qui osaient soulever l’idée (Facebook a ainsi censuré tous les messages qui soulevaient cette hypothèse pendant plus d’un an), a déclaré qu’il avait travaillé dans les règles de l’art :
Ne pas comprendre qu’il faut se poser des questions et que c’est le choc des idées qui nous approche de la vérité, et non la censure, peut nous paraitre étonnant. C’est malheureusement le logiciel de la plupart des journalistes aujourd’hui…
Un échantillon de riz contaminé de Wuhan prouve que le laboratoire de Wuhan menait des expériences secrètes sur le coronavirus (Étude)
Adrian Jones, et al. Discovery of a novel merbecovirus DNA clone contaminating agricultural rice sequencing datasets from Wuhan, China. bioRxiv 2023.02.12.528210; doi: https://doi.org/10.1101/2023.02.12.528210
Le responsable de l’étude, le médecin-scientifique Dr.Steven Quay, MD, PhD vient de publier un article scientifique qui révèle des preuves de recherches dangereuses et des données de séquençage direct découvertes aussi dans les fichiers GeneBank qui montraient des expériences de biologie synthétique menées avec le coronavirus MERS (le fameux « virus du chameau », mortel à plus de 30 % si l’on en croit l’OMS, mais en fait surement moins en raison des quelques déclarations qui font état de décès et donnent cette impression statistiquement trompeuse). Cela fait suite à des publications précédentes de recherches en laboratoire sur le virus Nipah mortel de plus de 60 % et un virus de la grippe H7N9 (léthalité de 39 %) incriminant les laboratoires en Chine, y compris l’Institut de virologie de Wuhan.
Le Dr. Steven Quay a publié plus de 360 contributions à la médecine et a été cité plus de 11 000 fois, le plaçant dans le top 1 % des scientifiques dans le monde. Il détient 88 brevets américains et a inventé sept produits pharmaceutiques approuvés par la FDA qui ont aidé plus de 80 millions de personnes. Il est l’auteur du livre à succès sur la survie à la pandémie de COVID-19, « Stay Safe: A Physician’s Guide to Survive Coronavirus ».
Les conseillers de la FDA en matière de vaccins sont « déçus » et « furieux » que les premières données sur le nouveau vaccin de rappel Covid-19 n’aient pas été présentées pour examen l’année dernière. (CNN, 11 jan 2023)
Certains conseillers en matière de vaccins du gouvernement fédéral se disent « déçus » et « en colère » que les scientifiques du gouvernement et la société pharmaceutique Moderna n’aient pas présenté une série de données sur les infections liées au nouveau rappel Covid-19 de la société lors des réunions de l’année dernière, au cours desquelles les conseillers ont discuté de l’autorisation et de la mise à disposition au public du vaccin.
Ces données suggéraient la possibilité que le rappel mis à jour ne soit pas plus efficace pour prévenir les infections par le Covid-19 que les injections originales. En effet, les données étaient précoces et présentaient de nombreuses limites. Mais plusieurs conseillers ont déclaré à CNN qu’ils étaient préoccupés par le manque de transparence.
Les contribuables américains ont dépensé près de 5 milliards de dollars pour le nouveau rappel, qui a été administré à plus de 48,2 millions de personnes aux États-Unis.
Une étude du gouvernement britannique révèle que 92 % des décès dus au Covid sont « entièrement vaccinés ». (Slay, 24 févr. 2023 et The Exposé, 22 févr 2023)
C’est ce que révèlent les données publiées (en toute discrétion, on comprend pourquoi) fin février par l’ONS, l’Office nationale des statistiques (Angleterre). Sachant qu’environ 75% de la population anglaise est vaccinée, on constate une efficacité négative de la vaccination.
Comme au Québec, la catastrophe a surtout lieu pour les 3 personnes qui ont reçu des boosters.
Par exemple, en octobre 2022, 125 non vaccinés décédaient de la COVID-19… tandis que c’était le cas de 2 146 personnes « boostées ».
Quel succès!
« Les vaccins à ARNm ne sont ni sûrs ni efficaces, mais carrément dangereux » C’est maintenant publié dans la littérature scientifique évaluée par des pairs.
Cette réflexion n’est pas de nous… C’est la conclusion d’un article publié dans la revue médicale évaluée par des pairs Clinical & Experimental Immunology. Celle-ci couvre l’immunologie clinique et translationnelle. Sa rédactrice en chef est Leonie Taams, professeure en Régulation immunitaire et inflammation au King’s College de Londres, Chef du département de biologie de l’inflammation et directrice du centre de biologie de l’inflammation et d’immunologie du cancer. Cette revue est publiée par Oxford University Press au nom de la British Society for Immunology, dont elle est le journal officiel. Autant dire que l’on n’a pas affaire à des « coucous ».
Voici l’étude en question : Conny Turni and Astrid Lefringhausen (2022) COVID-19 vaccines – An Australian Review. Journal of Clinical & Experimental Immunology. 7(3):491-508.
Deux phrases de l’article que tout le monde devrait lire
« Une analyse de l’impact causal bayésien à l’échelle mondiale suggère que la thérapie génique COVID-19 (vaccin à ARNm) provoque plus de cas de COVID-19 par million et plus de décès de non-Covid par million que ce qui est associé au COVID-19 [43]. »
« Une multitude d’études ont montré que les vaccins à ARNm ne sont ni sûrs ni efficaces, mais carrément dangereux. »
Si vous n’avez pas le temps de lire l’article en entier, voici quelques citations directes du document :
- Les vaccins COVID-19 provoquent plus d’effets secondaires que n’importe quel autre vaccin.
- Non seulement la protéine de pointe produit des effets secondaires indésirables, mais l’ARNm et les nanoparticules en produisent également.
- Jamais dans l’histoire des vaccins nous n’avons vu 1011 études de cas montrant les effets secondaires d’un vaccin (https://www.saveusnow.org.uk/covid-vaccine-scientific-proof-lethal).
- Le message public officiel est que les vaccins à ARNm sont sûrs. Cependant, la Therapeutic Goods Administration (TGA), l’agence de réglementation des médicaments et des thérapies du gouvernement australien, indique très clairement sur son site web que les essais à grande échelle sont toujours en cours et qu’aucune entreprise n’a fourni de données complètes.
- Les vaccins à ARNm étaient censés rester au point d’injection et être absorbés par le système lymphatique. Cette hypothèse s’est avérée fausse. Lors de l’autopsie d’une personne décédée après avoir été vaccinée par ARNm, il a été constaté que le vaccin se dispersait rapidement à partir du site d’injection et pouvait être retrouvé dans presque toutes les parties du corps [1]. … La recherche a montré que ces nanoparticules peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique et la barrière sang-placenta.
- Bien qu’ils n’aient pas pu prouver l’existence d’un lien de causalité avec les vaccins, car aucune autopsie n’a été pratiquée, ils estiment néanmoins qu’un lien avec la vaccination est possible et qu’une analyse plus approfondie est justifiée. En résumé, on ne sait pas exactement où le vaccin se déplace une fois qu’il est injecté, ni quelle quantité de protéine de pointe est produite dans quelles cellules.
Coagulation et ADN
- La sous-unité S1 de la protéine spike du SRAS-CoV-2, lorsqu’elle a été injectée à des souris transgéniques surexprimant l’ACE-2 humaine, a provoqué une réponse semblable à celle du COVID-19. Il a également été démontré que la sous-unité S1 de la protéine spike, ajoutée aux globules rouges in vitro, pouvait induire la coagulation.
- Les auteurs ont constaté une modification cohérente de l’expression génétique après la vaccination dans de nombreux types de cellules immunitaires. Seneff et al (2022) décrivent un autre mécanisme par lequel les vaccins à ARNm pourraient interférer avec la réparation de l’ADN.
Immunité naturelle vs immunité vaccinale
- C’est un fait étonnant que l’immunité naturelle est complètement ignorée par les autorités sanitaires du monde entier. Nous savons, grâce au SARSCoV-1, que l’immunité naturelle est durable et persiste pendant au moins 12 à 17 ans [17]. Les immunologistes ont suggéré que l’immunité contre le SRAS-Cov-2 n’est pas différente. Ainsi, l’immunité induite par l’infection par le COVID est robuste et durable.
- Pourtant, l’immunité naturelle n’est toujours pas acceptée comme preuve d’immunité en Australie.
Une efficacité négative?
- Les vaccins à ARNm semblent supprimer les réponses interféron. Une revue de la littérature par Cardozo et Veazev [26] a conclu que les vaccins COVID-19 pourraient potentiellement aggraver la maladie COVID-19.
- Une étude de l’Université de Californie a suivi les infections au sein de la main-d’œuvre après que 76 % d’entre eux aient été entièrement vaccinés avec des vaccins à ARNm en mars 2021 et 86,7 % en juillet 2021. En juillet 2021, 75,2 % de la main-d’œuvre entièrement vaccinée présentait des symptômes de COVID.
Inefficace contre la transmission
- Acharya et al. (2021) et Riemersma et al. (2021) ont tous deux montré que les vaccinés ont des charges virales très élevées, similaires à celles des non-vaccinés, et sont donc aussi infectieux.
- Brown et al. (2021) et Servelitta et al. (2021) ont suggéré que les personnes vaccinées présentant une infection symptomatique par des variants, tels que Delta, sont aussi infectieuses que les cas symptomatiques non vaccinés et contribueront à la propagation du COVID, même dans les communautés fortement vaccinées.
- Les pays où le taux de vaccination est élevé ont également un nombre de cas plus important. Il a été démontré que la médiane des nouveaux cas de COVID-19 pour 100 000 personnes était largement similaire au pourcentage de la population entièrement vaccinée.
- De multiples études récentes ont indiqué que les personnes vaccinées sont plus susceptibles d’être infectées par l’Omicron que les personnes non vaccinées. Une étude réalisée par Kirsch (2021) au Danemark suggère que les personnes ayant reçu les vaccins à ARNm sont jusqu’à huit fois plus susceptibles de développer Omicron que les autres [40]. Cette étude et une étude ultérieure de Kirsch (2022a) concluent que plus on se vaccine, plus on devient sensible à l’infection par le COVID-19 [41].
- Ceci doit être considéré dans le contexte du faible risque de mourir du COVID-19… Les chances qu’une personne de moins de 18 ans meurt du COVID sont proches de 0%. Ceux qui meurent ont généralement de graves problèmes médicaux sous-jacents. On estime que les enfants ont sept fois plus de risques de mourir de la grippe que du COVID-19.
Conclusion
Jamais dans l’histoire du vaccin 57 scientifiques et experts politiques de premier plan n’ont publié un rapport remettant en cause la sécurité et l’efficacité d’un vaccin [93]. Non seulement ils remettaient en question la sécurité des injections actuelles de Covid-19, mais ils demandaient l’arrêt immédiat de toute vaccination. De nombreux médecins et scientifiques du monde entier ont exprimé des doutes similaires et ont mis en garde contre les conséquences des effets secondaires à long terme. Pourtant, il n’y a pas de discussion ni même de mention des études qui ne suivent pas le récit sur la sécurité et l’efficacité de la vaccination Covid-19.
Aux États-Unis, comme le dit très bien Blaylock [94], les bureaucrates fédéraux ont imposé l’acceptation de formes spéciales de soins et de prévention, ce qui inclut les vaccins expérimentaux à ARNm [93]. Les experts médicaux qui ont remis en question la sécurité de ces vaccins ont été attaqués et diabolisés, traités de théoriciens de la conspiration et menacés d’être radiés s’ils allaient à l’encontre du discours. Les traitements alternatifs ont été interdits et des personnes qui n’ont jamais pratiqué la médecine disent aux médecins expérimentés comment faire leur travail. L’AHPRA fait la même chose en Australie, au détriment et dans l’ignorance de la science. Lorsqu’on a demandé au professeur adjoint John Skerritt, qui est actuellement secrétaire adjoint et directement responsable de la Therapeutic Goods Administration et de l’Office of Drug Control, pourquoi le processus d’enregistrement des vaccins avait été raccourci, il a écrit : » Il est absurde d’affirmer que l’homologation des vaccins prend généralement 10 ans. Le processus réglementaire standard pour les vaccins est d’environ 10 à 12 mois calendaires et, dans le cas des vaccins COVID-19, cette période a été raccourcie par l’acceptation de données sur une base continue, par des équipes examinant différentes parties du dossier en parallèle, par un travail en collaboration avec les régulateurs internationaux et par de nombreux membres des équipes travaillant de longues heures » (communication personnelle par courriel). On peut se demander comment ils proposent d’évaluer les effets secondaires à long terme. Peut-on vraiment faire confiance à l’approbation de tout médicament pharmaceutique par la TGA après cette déclaration ?
Pfizer n’a jamais prévu de révéler les données de ses essais cliniques et a dû recevoir l’ordre d’un juge aux États-Unis de les rendre publiques. Même dans ce cas, Pfizer et le CDC ont essayé de limiter le nombre de pages publiées par mois, ce qui aurait permis de rendre publiques toutes les données de l’étude dans les années 2070. La raison invoquée était que certaines informations exclusives devaient être masquées avant d’être rendues publiques. Encore une fois, il est inconcevable qu’il soit impossible de passer en revue les données de l’étude en quelques mois, alors qu’il a fallu moins de 4 semaines au CDC pour donner l’autorisation d’utilisation d’urgence des injections – à moins que vous ne vouliez envisager l’idée que les données de l’étude n’ont jamais été réellement lues et examinées, une perspective effrayante.
En tant que scientifiques, nous formulons des hypothèses et les testons à l’aide d’expériences. Si une hypothèse s’avère vraie en l’état actuel des connaissances, elle peut encore évoluer avec le temps, lorsque de nouvelles preuves apparaissent. Le partage et l’accumulation des connaissances constituent donc la partie la plus importante de la science. La question se pose de savoir quand et pourquoi ce processus scientifique a été modifié. Aucune discussion sur les nouvelles connaissances contestant la sécurité des vaccins COVID-19 n’est autorisée. Qui a donné aux bureaucrates les moyens de détruire les fondements de la science et de dire aux scientifiques de ne pas discuter de la science ?
L’infection naturelle par le SARS-CoV-2 protège fortement et durablement (Étude) (JIM.fr, 21 févr 2023)
L’analyse montre qu’un haut degré de protection contre une réinfection, d’environ 82 %, est conféré par une première infection par le variant « ancestral » et par les suivants, alpha, beta et delta. En revanche, la protection contre une réinfection n’est que de 45,3 % pour le variant BA.1 omicron.
De la même façon, la protection conférée par une précédente infection contre le risque d’une forme symptomatique est d’au moins 82 %, pour les variants ancestraux, alpha, beta et delta et significativement réduite pour l’omicron BA.1 (44 %). En revanche, la protection contre une forme sévère (hospitalisation ou décès) est élevée pour tous les variants étudiés, de 78 % en moyenne.
La protection obtenue contre une réinfection, bien qu’atténuée au fil du temps, est durable.
Bref, on note une fois de plus que l’immunité naturelle est supérieure à celle conférée par les vaccins (cf. revues de presse précédentes).
COVID-19 Forecasting Team : Past SARS-CoV-2 infection protection against re-infection: a systematic review and meta-analysis. Lancet, 2023 ; publication avancée en ligne le 16 février. doi.org/10.1016/S0140-6736(22)02465-5.
Dr Bentolila : « Je demande officiellement à Pfizer de dévoiler ses données cliniques » (Courriel du Stratège, 23 févr 2023)
Toujours à la Réunion, le docteur Vincent Bentolila, chirurgien et « résistant », raconte son parcours et ses doutes durant la crise du COVID.
Pfizer arrête les tests sur les femmes enceintes (commencés bien après la commercialisation)
Pourquoi? Les résultats sont-ils si mauvais? (Pfizer et femmes enceintes : « désolé, on a arrêté les tests » covidemence.com, 3 mars 2023)
Historique
18 février 2021 : Pfizer annonce le début d’un test clinique phase 2/3 auprès de femmes enceintes, pour évaluer “the safety, tolerability, and immunogenicity of the Pfizer-BioNTech COVID-19 vaccine“. Ces femmes seront suivies pendant 7 à 10 mois. Pourtant on vaccine toutes les femmes enceintes car c’est un vaccin « sûr et efficace ».
22 septembre 2021 : Pfizer déclare qu’il rencontre des difficultés à trouver suffisamment de volontaires… Donc, les résultats sont retardés. Pourtant, selon la clinicaltrials.gov, le recrutement est complété.
Février 2023 : Pfizer déclare : Au quatrième trimestre de 2021, le recrutement a été arrêté dans l’étude C4591015 […] Cette étude a été développée avant la disponibilité ou la recommandation de la vaccination par COVID-19 chez les femmes enceintes. L’environnement a changé au cours de l’année 2021 et, en septembre 2021, les vaccins COVID-19 ont été recommandés par les organismes de recommandation applicables (par exemple, l’ACIP aux États-Unis) pour les femmes enceintes dans tous les pays participants/prévus, ce qui a entraîné une baisse significative du taux de participation. Avec la baisse du nombre d’inscriptions, la taille de l’échantillon de l’étude était insuffisante […] et la poursuite de cette étude contrôlée par placebo ne pouvait plus être justifiée en raison des recommandations mondiales »
Résumé : En gros : je dois tester pour obtenir l’autorisation… mais l’autorisation arrive en cours de route (malgré l’absence de test)… donc je n’ai plus besoin de tester.
La vaccinolâtrie de Lula (Brésil)
Lula vient de lancer une campagne de vaccination contre la COVID-19 : Vacina é para todos
« Le vaccin est une garantie de vie. C’est pourquoi j’ai pris mon 5è vaccin aujourd’hui. Et s’il y en a un sixième, je prendrai le sixième. S’il y en a un septième, je prendrai le septième. »
N’oublions pas le projet de loi porté par un sénateur de son parti qui prévoit :
– Un à trois ans de prison pour les personnes qui omettent ou s’opposent à la vaccination obligatoire des enfants ou des adolescents dans une « urgence de santé publique ».
– Une peine de deux à huit ans de prison pour les personnes qui refusent de prendre les doses obligatoires de vaccins.
– La même peine s’applique également à ceux qui diffusent de « fausses nouvelles » sur les vaccins ou leur fonctionnement.
– La peine est doublée pour les employés de la fonction publique.
Le Brésil est le nouveau terrain de jeu de Big Pharma et de l’oligarchie mondiale… avec un président de « gauche »!
Corréalation entre vaccination et mortalité infantile
En 2011 : Miller & Goldman publient que les pays hautement développés (n = 30) ont tendance à avoir des taux de mortalité infantile plus élevés.
Miller NZ, Goldman GS. Infant mortality rates regressed against number of vaccine doses routinely given: is there a biochemical or synergistic toxicity? Hum Exp Toxicol. 2011 Sep;30(9):1420-8. doi: 10.1177/0960327111407644. Epub 2011 May 4. Erratum in: Hum Exp Toxicol. 2011 Sep;30(9):1429. PMID: 21543527; PMCID: PMC3170075.
L’analyse de régression linéaire des taux de mortalités infantiles moyens non pondérés a montré une corrélation statistiquement significative élevée entre l’augmentation du nombre de doses de vaccin et l’augmentation des taux de mortalité infantile, avec r = 0,992 (p = 0,0009).
En 2023 : ils RÉAFFIRMENT une corrélation positive entre le nombre de doses de vaccin et ce taux de mortalité.
Goldman GS, Miller NZ. Reaffirming a Positive Correlation Between Number of Vaccine Doses and Infant Mortality Rates: A Response to Critics. Cureus. 2023 Feb 2;15(2):e34566. doi: 10.7759/cureus.34566. PMID: 36751569; PMCID: PMC9897596.
Introduction En 2011, nous avons publié une étude qui a révélé une corrélation positive contre-intuitive, r = 0,70 (p < 0,0001), démontrant que parmi les nations les plus développées (n = 30), celles qui exigent davantage de vaccins pour leurs nourrissons ont tendance à avoir des taux de mortalité infantile (TMI) plus élevés. Les détracteurs de l’article ont récemment affirmé que ce résultat était dû à une » exclusion inappropriée des données « , c’est-à-dire à l’absence d’analyse de » l’ensemble des données » des 185 nations.
Résultats La réanalyse des critiques combine 185 nations développées et du tiers-monde qui présentent des taux de vaccination et des disparités socio-économiques variables. […] Notre analyse de sensibilité a révélé des corrélations positives statistiquement significatives entre le nombre de doses de vaccin et le TMI (taux de mortalité infantile) lorsque nous avons élargi notre analyse initiale des 30 premiers pays aux 46 pays présentant les meilleurs TMI. En outre, la reproduction de notre étude originale à l’aide des données actualisées de 2019 a corroboré la tendance constatée dans notre premier article (r = 0,45, p = 0,002).
Conclusions : Une corrélation positive entre le nombre de doses de vaccin et les TMI est détectable dans les nations les plus développées, mais atténuée dans le bruit de fond des nations présentant des variables socio-économiques hétérogènes qui contribuent à des taux élevés de mortalité infantile, comme la malnutrition, la pauvreté et des soins de santé inférieurs aux normes.
Cependant, ne tirons pas de conclusions trop hâtives de cette étude. Comme le dit madame Elie des Décrypteurs : « corrélation n’est pas causalité ». « On pourrait se créer un registre des décès survenus après être allé chez le coiffeur et conclure qu’il est dangereux de se faire couper les cheveux ».
Les bâtiments de la CBC (à Toronto) placardés d’affiches de personnes ayant eu des effets indésirables graves ou ayant décédés à la suite des injections Pfizer (Bright Light News, 27 fév 2023)
Les habitants du Nouveau-Brunswick signalent plus de 1 000 effets indésirables aux vaccins COVID-19 (CBC, 23 jan 2023)
La performance du Canada en matière de pandémie racontée par le renard qui garde le poulailler
Par : John Hardie, David Vickers, Stefan Eberspaecher, Claudia Chaufan, & Steven Pelech
Il est évident que nous sommes entrés dans une phase post-pandémique alarmiste dirigé par le gouvernement, plutôt que dans la contemplation douloureuse nécessaire pour tirer des leçons des trois dernières années. L’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) – dont Theresa Tam – a publié une étude dans une revue canadienne de santé publique déclarant que les restrictions inspirées par la pandémie ont considérablement réduit l’impact du COVID-19 au Canada. « Counterfactuals of effects of vaccination and public health measures on COVID-19 cases in Canada : What could have happened ? » nous demande de croire une histoire imaginée sur ce qui aurait pu se passer si les mesures de santé publique du Canada n’avaient pas été mises en œuvre. Cependant, le résultat est un récit contrefactuel d’un Canada fantasmé qui est très éloigné de la réalité.
Un débat récent sur leurs résultats a mis en évidence que Theresa Tam et ses collaborateurs (« les auteurs ») sont victimes de pièges de modélisation courants qui leur ont ôté toute objectivité, affectant ainsi la qualité de leur modèle et de ses résultats. Au lieu de s’appuyer sur les prévisions de la modélisation, les auteurs recourent au « back-casting » pour dire « ce qui aurait pu se passer » ou « ce qui aurait pu être » si les gouvernements n’avaient pas agi en notre nom. Cependant, accorder du crédit à des résultats aussi discutables se produit trop souvent lorsque des résultats sensationnels sont observés. Malheureusement pour toute étude de modélisation, la voie historique – celle qui n’implique aucune intervention – a été écartée dès le début des réponses à la pandémie. Ni les auteurs, ni personne d’autre, ne pourront jamais observer la réponse et la non-réponse simultanées de l’expérience du Canada avec COVID-19.
Leur affirmation la plus dramatique est que, sans restrictions sociales et sans vaccins, jusqu’à 800 000 décès liés au COVID-19 auraient pu survenir. La figure ci-dessous montre 12 années de données sur la mortalité toutes causes confondues au Canada (ligne bleue), avec le « pire cas » des auteurs superposé (ligne rouge). Pour nous, deux choses rendent l’affirmation des auteurs incompatible avec tout point de vue raisonnable : premièrement, il n’y a pas eu d’augmentation évidente de la mortalité toutes causes confondues entre 2020 et 21 qui dépasse les tendances historiques (ligne bleue) ; et deuxièmement, le nombre de décès » jusqu’à 800 000 personnes » (ligne rouge) dépasse le nombre de Canadiens tués lors de la pandémie de grippe de 1918 et des deux guerres mondiales – combinées. On peut donc se demander si une infection dont le taux de survie est supérieur à 99 % a vraiment été l’événement sanitaire le plus dévastateur du siècle. Le lecteur peut décider s’il trouve ces résultats plausibles ou fantastiques.
La suite sur COVID Chronicles, le 28 février 2023
Gardasil: l’étonnante précipitation d’Emmanuel Macron pour vacciner les enfants (France Soir, 2 mars 2023)
Emmanuel Macron appelle à vacciner les enfants et les adolescents au Gardasil, contre les infections à papillomavirus humains (HPV). Aux États-Unis, en même temps, un procès a débuté à propos des effets secondaires de ce vaccin.
Un empressement qui interroge, alors qu’une class action (ndlr : action judiciaire collective) est initiée aux États-Unis : ses plaignants accusent le laboratoire Merck d’avoir exagéré les bénéfices du Gardasil et masqué des effets secondaires avérés.
Bonne nouvelle aux USA avec le regroupement de toutes les affaires concernant les blessures du #Gardasil par un seul tribunal fédéral.
Pendant que le VRP de #Merck, Macron, veut vaxxiner un max d’ados, nous en sommes à la phase procès de masse aux USA.
Si vous avez souffert d’effets indésirable suite au Gardasil appeler le cabinet d’avocats Baum Hedlund au numéro : (855) 948-5098
Témoignage d’une jeune femme vaccinée avec le Gardasil et qui développe ensuit une sclérose en plaque
Plus de 90 millions de vaccins contre la COVID-19 doivent encore arriver au Canada, selon les archives fédérales. (The Epoch times, 2 mars 2023)
Les doses restantes comprennent 30 millions de Pfizer Canada, 42,3 millions de Novovax et 18,5 millions de Moderna Inc., selon une ventilation du rapport.
Des contaminants éternels dans l’eau potable de villes québécoises (Radio-Canada, 27 févr 2023)
L’espérance de vie à Bakhmut est de 4 heures sur les lignes de front! (Newsweek, 20 févr 2023)
Les États-Unis sacrifieront jusqu’au dernier Ukrainien et jusqu’au dernier Européen sur l’autel de leurs propres intérêts.
Un an de guerre en Ukraine : manifestations pour la paix dans toute l’Europe ce week-end (Mouvement pour la Paix, 23 février 2023, EuroNews, 27 février 2023, EuroNews, 11 mai 2022)
« Une vague de Paix déferle sur le monde ! Des manifestations géantes ont eu lieu cette semaine à Londres, Berlin, Bruxelles, Washington, en Italie, et grâce aux Patriotes dans 30 villes de France, dimanche dernier !
Partout, la même exigence de désescalade et de Paix contre la 3è guerre mondiale. Partout, la rébellion contre l’OTAN, qui sème la guerre par ses stratégies perverses. Partout, un grand stop à l’envoi d’armes et l’envie d’un plan de paix !
Irak (deux fois), Libye, Afghanistan, Moyen-Orient, coups d’état organisés en Amérique du Sud, en Afrique, stratégie OTAN 2030 pour créer une déflagration mondiale avec la Russie et la Chine : les guerres impériales, ça suffit ! Les faucons ne peuvent pas prendre en otage nos vies et le destin des peuples. La France doit être libre, sortie de l’OTAN et de l’Union européenne, pour l’équilibre du monde, la défense de nos intérêts nationaux et la Paix. Nous (la France) avons déjà envoyé à Zelensky 8,5 milliards € selon une étude publiée lundi : des milliards qui alimentent la guerre, au moment où on nous dit qu’il n’y a pas d’argent pour l’hôpital ni pour les retraites : ça suffit ! » (Florian Philippot, 2 mars 2023)
ZELENSKY VEUT ENTRAÎNER LES ÉTATS-UNIS DANS UN NOUVEAU VIETNAM ! « Ces malades qui nous gouvernent »
Il dit : « Les États-Unis devront envoyer leurs fils et leurs filles exactement de la même manière que nous envoyons nos fils et nos filles à la guerre… parce que c’est de l’OTAN qu’il s’agit, et ils mourront. »
« Une pareille déclaration risque de lui valoir un tir fatal, que les USA s’empresseront bien sûr d’attribuer à Poutine.
Cette déclaration, déjà largement relayée aux USA, témoigne de 2 faits, que les USA/Europe cachent difficilement:
1) l’armée ukrainienne perd pied face à l’armée russe à Bakhmout
2) la guerre devient impopulaire chez les ukrainiens antirusses qui comprennent que les USA les utilisent cyniquement comme chair à canon » Écrit sur Twitter F. Asselineau
« Appartenir à l’OTAN qui contrairement à ce que vous dites n’est pas quelque chose pour nous protéger, mais est quelque chose d’agressif. Nous sommes placés sous la coupe de l’OTAN qui nous entraîne vers des guerres illégales. C’est avec notre appartenance à l’OTAN que nous sommes en ce moment en Afghanistan, que nous sommes entraînés en Libye, en Syrie, en Ukraine, en Irak. Et que nous sommes engagés dans des conflits qui nous dépassent et qui ne nous correspondent en aucun cas aux intérêts nationaux de la France (de la Belgique et du Canada). Nous nous disons que nous sommes justement pour la paix du monde et actuellement en appartement à ce bloc Union Européenne/OTAN nous sommes en train de mettre la même erreur que celle qui nous a entraîné à la Première Guerre mondiale en 1914, c’est-à-dire que sous prétexte d’assurer la paix du monde on a foncé vers la guerre par le jeux des alliances. » F. Asselineau, 2014 sur Twitter et version complète sur YouTube : Émission On est pas couché avec François Asselineau: « L’OTAN nous entraîne vers des guerres illégales » 2,3 millions de vue depuis 8 ans
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