Différences d’intelligence selon les nations

Différences d’intelligence selon les nations

Il existe des différences d’intelligence notables selon les races d’une même espèce animale. C’est naturel, c’est universel, c’est incontestable. C’est le résultat attendu de la sélection naturelle darwinienne.

Les propriétaires de chiens le savent très bien. Il y a des races de chiens stupides et des races de chiens très doués, capables d’apprendre et comprendre beaucoup plus de choses que les autres.

De même chez les singes plus élevés dans l’échelle de l’évolution. Les plus petits singes sont idiots. À l’autre extrémité, les grands primates (chimpanzé/bonobo, orang-outang, gorille) sont à mi-chemin entre ces derniers et l’Homme. Certains chercheurs arrivent même à déceler une étincelle de conscience dans le regard des primates.

Pourquoi la nature aurait-elle alors fait une exception à cette règle de base qu’est la variabilité de l’intelligence rien que chez l’espèce humaine? Chaque race, chaque ethnie, ont évolué différemment et séparément des autres, dans le but de s’adapter à un nouvel environnement, à de nouvelles conditions de vie et de survie. Cela a nécessité toutes sortes de changements adaptatifs et évolutifs, produisant avec le temps toute une série de différences mesurables, ici mais pas là: capacité crânienne, capacités d’apprentissage, quotient intellectuel accru, morphologie, aptitudes physiques, endurance, etc.

Illustration: la Terre avant d’être ronde (!)

Pourtant, devant une telle montagne d’évidence, certains refusent encore de reconnaître ces faits avérés par aveuglement idéologique, parce que la simple idée qu’il puisse exister des différences leur déplait et ne cadre pas avec la vision des choses comme ils voudraient qu’elles soient. On préfère l’illusion à la vérité et aux faits scientifiques démontrés.

C’est comme les créationnistes qui refusent obstinément de croire que le monde n’a pas été créé par Dieu en 7 jours, ce qui ferait s’écrouler tout leur système de croyances basé sur la soumission rigide au dogme immuable et incontestable sous peine de damnation éternelle.

Il est établi que l’intelligence animale ou humaine a un rapport proportionnel à la contenance de la boîte crânienne. Plus elle est élevée, plus il y a de place pour la matière grise et le développement des capacités mentales. C’est biologique, c’est physiologique. Chez l’Homme, certaines races auront des avantages sur le plan physique, d’autres sur le plan mental. Toutes ces variations produites lors du développement du cerveau humain par la nature sont mesurables par des tests psychométriques différenciatifs.

Les tests d’intelligence sont validés avec précision pour ne mesurer que les capacités mentales innées, sans lien aucun avec la culture spécifique, le milieu familial ou socio-économique.

L’intelligence générale chez les humains recouvre toutes sortes de facultés essentielles à la survie et à l’organisation pratique de la vie: conscience claire pour bien évaluer les situations et prendre les bonnes décisions, concentration, pensée conceptuelle et analytique, créativité et innovation, sens pratique, sens artistique, habiletés manuelles, résolution de problèmes; des qualités avantageuses comme la persévérance, la détermination ou la compassion, l’instinct maternel, le sens de l’humour, l’esprit d’entreprise, la sociabilité et la capacité de vie en groupe, le raisonnement logique, le don de pénétration mentale, de déduction et d’abstraction, de planification, de s’adapter à de nouvelles situations, sans oublier le mystère du génie créateur. Toutes ces choses se retrouvent à degré variable individuellement et collectivement, et selon la race et l’ethnie. Des particularités spécifiques propres à chacune sont observables et quantifiables.

Par leurs recherches basées sur la méthode expérimentale s’étendant sur des décennies, les scientifiques ont été en mesure de mettre au point des batteries de tests élaborés servant à évaluer avec précision tous ces divers éléments. Cela leur a permis d’en arriver à produire au final des listes de l’intelligence moyenne classées par pays, qu’on peut consulter ici.

Ces classifications vérifiées établis par les psychologues devraient servir de base pour établir certains critères d’admission en immigration. En effet, il n’est pas dans l’intérêt d’un pays de laisser s’abaisser l’intelligence moyenne de la population et d’engourdir ses forces vives, de ralentir sa croissance, bref, de faire reculer la société entière en la débilitant, en l’appauvrissant mentalement.

Au contraire, c’est en mettant en valeur ses cerveaux les plus brillants, les surdoués, qu’une société brille, progresse, innove et s’améliore. C’est ce précieux capital de neurones ultra-performants qui lui procure son élan vers l’avant, la propulse vers de nouveaux sommets de grandes réalisations, de prospérité et de bonheur individuel et collectif.

On observe nettement que les nations les moins intelligentes sont celles qui fonctionnent le plus mal sur la planète. Et comme l’intelligence est déterminée génétiquement, cela explique également que ces sociétés limitées intellectuellement n’arrivent à faire aucun progrès notable avec le temps, malgré toute l’aide humanitaire internationale apportée, l’instruction, les bons conseils que nous leur prodiguons, ce qui en théorie devrait leur permettre d’établir une société performante qui fonctionne bien, et qui serait juste et équitable, à l’égal des nôtres.

On a pu établir une classification fiable et révisée périodiquement de tous les pays du monde selon l’indice de développement humain, qu’on peut consulter ici. La liste des 199 nations par ordre d’intelligence se trouve ici.

C’est sans surprise qu’on découvre une corrélation indubitable entre la liste du quotient intellectuel moyen par pays et la liste des pays classés selon l’indice de développement humain. Les limites de l’un entraînent les restrictions et le retard de l’autre, dans un lien de cause à effet direct.

Voyant cela, on comprend qu’il importe au plus haut point de protéger le niveau d’intelligence élevé des pays occidentaux si on veut qu’ils continuent à demeurer les chefs de file de la planète dont tous les autres finissent par profiter, et qu’ils puissent continuer de venir en aide à tous ceux moins favorisés qui ont besoin de nos connaissances, de notre science, de notre technologie, de nos industries, de nos institutions démocratiques, de notre système politique, de notre médecine, de notre expertise, bref, de notre savoir-faire dans tous les domaines. Comme nous sommes prêts à partager tout cela avec les pays sous-développés, ce sont donc eux qui peuvent profiter amplement à leur tour de tous ces bienfaits.

Les sociétés occidentales sont les seules qui sont une réussite grâce à leur modèle de société, ayant su réunir les conditions permettant le bonheur au niveau individuel, familial et collectif, et la possibilité d’atteindre ses objectifs de vie, de développement personnel, tout en établissant de surcroît un endroit où la sécurité et la paix sociale sont possibles. C’est ce qui explique que nous fassions l’envie du reste du monde entier, dont tous les systèmes sont de cuisants échecs s’autoperpétuant, n’amenant que pauvreté, malheur, violence, oppression, inégalités et injustices.

C’est l’Occident qui a réussi à faire avancer et progresser la civilisation depuis des millénaires. Sans nous, et sans notre généreuse intervention auprès des démunis, toute la planète en serait encore à l’âge des cavernes, comme elle l’est encore dans beaucoup de pays sous-développés mentalement, socialement, économiquement, culturellement. Il se peut qu’ils aient toujours besoin d’avoir recours à notre aide, mais nous serons là pour la leur apporter généreusement. Ils savent qu’ils peuvent compter sur notre soutien bienveillant.

En attendant, des batteries de tests psychométriques doivent être administrées systématiquement à tous les nouveaux immigrants (et à leurs frais il va sans dire), avec une exigence minimale d’un quotient intellectuel d’au moins 110 (niveau cégep), ou même 120 (niveau universitaire). On estime que la moyenne de l’intelligence des immigrants issus du tiers-monde est de 10 à 20 points inférieure à la nôtre, ce qui à la longue aura des conséquences des plus néfastes sur toute la vitalité et l’élan de la société.

Tableau ci-haut: quotient intellectuel par nations

Lorsqu’on songe aux milliards d’intéressés à s’en venir ici, il va dans notre intérêt de n’accepter que la crème de la crème des candidats potentiels, et d’écarter les pogos les moins dégelés de la boîte, pour reprendre la savoureuse expression popularisée par la députée solidaire Manon Massé.

Références:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Classification_du_quotient_intellectuel

Intelligence: A Unifying Construct for the Social Sciences

Intelligence: A unifying construct (version complète pdf)

Quotient intellectuel et prospérité des nations (version complète pdf)

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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec

À propos de l'auteur Vigile.Québec

Vigile ouvre ses pages à tous ceux que le combat pour l’indépendance mobilise. Vigile respecte et encourage la liberté d’expression et accueille les différences qui ne compromettent pas l’avenir de la nation. Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs textes.

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