Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
6 mars 2023 (LifeSiteNews) — Le projet de loi d’un législateur du Texas visant à offrir des allègements fiscaux significatifs aux familles nombreuses est un excellent point de départ pour un objectif plus large de la société — soutenir les familles nombreuses.
La législation du représentant de l’État, Bryan Slaton, accorderait aux familles des niveaux croissants d’allègements fiscaux en fonction du nombre de leurs enfants, les familles de 10 enfants ou plus bénéficiant d’un allègement de 100 % de l’impôt foncier.
En outre, elle affirmerait que le mariage est l’union d’un homme et d’une femme et interdirait d’accorder un crédit d’impôt à un couple dont au moins l’un des membres a déjà divorcé.
L’objectif de la politique publique étant d’encourager les choix positifs et les modes de vie bénéfiques, la législation de M. Slaton doit être soutenue.
Elle soutient trois bons choix — se marier, avoir des enfants et rester marié. Un axiome économique bien établi veut que la société subventionne ce qu’elle veut encourager et taxe ce qu’elle veut décourager ; subventionner les familles est donc une bonne idée.
En outre, c’est une bonne idée de punir le divorce, étant donné les énormes répercussions, ou conséquences, qu’il entraîne pour la société et que les contribuables doivent subventionner. Les coûts du divorce comprennent l’activité criminelle, la toxicomanie et les mauvais résultats scolaires, autant d’éléments que les entités gouvernementales et la société en général doivent payer, directement ou indirectement.
Un argument libertarien typique serait que le gouvernement devrait simplement rester en dehors du mariage — mais aucune personne ayant divorcé n’y croit vraiment. Après tout, lorsqu’un couple divorce, ce sont souvent les tribunaux, c’est-à-dire le gouvernement, qui doivent intervenir et prendre les décisions relatives à la garde des enfants.
Les parents divorcés souhaitent également que le gouvernement facilite le paiement des pensions alimentaires et fasse appliquer les décisions relatives à l’éducation des enfants et à la pension alimentaire. La société investit déjà dans les familles — il est temps de le faire de la bonne manière.
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