Les russes,n’ayant rien à attendre d’un Occident qui les combat,du moins jusqu’à celui-çi ne reconnaisse leur victoire sur le terrain,voudront sans doute atteindre leurs objectifs qui pourraient aller de Kharkov à Odessa et si ce n’est par les armes,par des référendums ,et de plus faire reculer l’Otan.
Napoléon, en 1813,alors qu’il tenait ses ennemis au bout de ses baïonnettes,avait cru un moment signer des traités de paix:les alliés en profitèrent pour se réarmer et reprendre les hostilités.
La victoire ne peut être à moitié faite,le sang a trop coulé.Trop de traîtrises les aura rendu déterminés dans leurs objectifs.
Pendant ce temps,l’Europe se divise,les peuples ne veulent pas soutenir leurs dirigeants inféodés,elle continuera à se lézarder au fur et à mesure des difficultés,qui deviendront elles aussi existentielles,et devant sa perte d’influence,les pays d’Afrique,du Moyen-Orient et d’Asie accentueront son isolement.
Il n’y aurait qu’une solution pour ne pas perdre le peu de crédit qu’il nous reste :être la voix de la paix.
Hélas,si tout le monde l’a déjà bien compris,encore faudrait-il en avoir,taper du poing sur la table,entamer une rupture radicale,ce qui ne semble guère possible pour Macron:c’est dommage,on est mal barré.
Nous voilà donc suspendus à la destinée de l’Empire du Mal,quel triste destin,çà fait mal au coeur.
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