Les juges du fond ont simplement recouvert la peine de détention subie préventivement à travers la peine prononcée qui permet à l’agresseur pédophile de recouvrer sa pleine et entière liberté dans les quelques semaines à venir, soit d’ici deux mois avant lesquels, il sera cantonné à son domicile le plus clair de son temps ; tout en étant autorisé à y sortir en cas d’activité professionnelle et pour des achats en extérieur.
En somme, la clémence des juges est incompréhensible dans la mesure où les victimes sont des enfants et que le prévenu nie et rejette en bloc les accusations, ce qui s’entend par l’absence de remords et de culpabilité.
La république à de quoi être fière lorsque cette dernière est capable de jeter en prison avec mandat de dépôt des mères.pauvres et des pères misérables qui ont volé de la nourriture en petite quantité ou des vêtements pour nourrir ou habiller leurs enfants.
J’ai connu un père qui a été placé en détention préventive jusqu’à l’audience de jugement pour le seul fait d’avoir emmené sa propre fille pendant quatre heures alors que la mère s’y était opposée à la dernière minute et qui a ramené l’enfant chez ladite mère où des policiers étaient en attente de le recevoir. Ce dernier a été emmené tel un criminel au commissariat de police, puis placé en GAV pendant 48 heures et à l’issue de laquelle, il a été déféré au parquet, puis conduit tard la nuit devant le juge d’instruction (une horrible femme connue pour sa tendance à la cruauté mentale à l’endroit du sexe mâle) qui l’a mis en examen pour détournement de mineur sans fraude, ni violence (peine alors encourue de 5 ans, la durée n’ayant pas dépassé 5 jours, et ce, avant la loi entrée en vigueur en 1994 qui à la fois distingue les parents d’un étranger et modifie la peine encourue par les pères et mères à 1 an).
Les pères naturels ne disposaient pas de la qualité de parent, peu importe l’acte de reconnaisse faite en Mairie. La m mère naturelle disposaient de tous les droits parentaux.
Ce dernier à accompli une peine en détention provisoire pendant une année entière (la présomption d’innocence a compté pour des prunes) avant de recouvrer la liberté au jour du jugement, la cour ayant comme habituellement recouvert la peine infligée en le condamnant à 18 mois de prison dont six avec sursis et suivi probatoire.
Quelle humiliation ! Quelle honte pour la république et que signifie dans le monde réel, les droits humains, la liberté est le principe, la prison l’exception et…
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation