La ville de Québec ne doit pas devenir une deuxième métropole

La ville de Québec ne doit pas devenir une deuxième métropole

17 solides raisons contre

Ne pas répéter le gâchis montréalais actuel

On entend certains haut-placés à la vue courte avancer que la ville de Québec devrait devenir une deuxième métropole. Ce serait alors une catastrophe assurée pour la capitale nationale et sa région immédiate, une défiguration organisée de sa nature profonde.

Ce qui attend la ville de Québec si on entreprend de la surgonfler massivement et rapidement aux stéroïdes migratoires:

  1. perte de l’âme collective des Québécois pure souche, rapidement noyés dans la marée multiethnique étrangère. Plus grand’monde ne sera d’ici. Trop seront d’ailleurs. Détricotage du tissu humain unifiant qui nous a permis de traverser les siècles et les épreuves en se tenant par les coudes.
  2. déshumanisation résultant de l’anonymat, sentiment d’aliénation de l’individu, froide indifférence des uns envers les autres propre aux mégalopoles. On ne salue même pas son voisin de palier. On enjambe l’itinérant dormant avec des journaux comme couverture sans le voir.
  3. hausse de la criminalité, ensauvagement des moeurs, fusillades quotidiennes, intimidation, quartiers dangereux, le tout dû à la prolifération de gangs noirs, maghrébins
  4. sentiment d’insécurité généralisée croissante de la population en place face à la montée de la criminalité et de la violence d’origine multiethnique
  5. sentiment malaisant de ne plus être chez soi
  6. saleté des rues, insalubrité des logements mal entretenus par des locataires négligents venus du tiers-monde, détérioration des bâtiments laissés à l’abandon, squattage, vandalisme de graffitis
  7. pollution atmosphérique, smog, brouillard
  8. déquébécisation (la culture québécoise fout l’camp faute de consommation par les immigrants)
  9. ethnicisation destructrice d’une population possédant la qualité hautement appréciable d’homogénéité intergénérationnelle
  10. anglicisation inévitable, amenant rapidement le refus de parler français, comme à Montréal. Une majorité aborde l’autre en anglais, s’attendant à ce qu’on lui réponde de même.
  11. pratique du communautarisme, ce repli sur soi des ethniques qui ne se joignent pas à notre culture
  12. conflits de mentalité et choc des valeurs entre les multiethniques et les natifs
  13. fuite forcée des natifs de leurs quartiers, de leur ville, comme à Montréal et Laval, qui n’en peuvent plus de se sentir à l’étranger
  14. implantation de religions inadaptées au bon fonctionnement des sociétés modernes et qui les font reculer
  15. problèmes insurmontables de circulation, de mobilité, d’heures de pointe étirées
  16. hausse soudaine des loyers, flambée du prix des maisons, crise du logement magnifiée par les surplus d’immigrants et de migrants fraudeurs qui s’emparent de tous les logements dévolus aux natifs, incluant les logements sociaux prévus pour nos pauvres à nous
  17. augmentation incontrôlable des drogués, des marginaux, des itinérants, des malades mentaux non soignés et potentiellement dangereux, des autochtones désœuvrés qui trainent en bandes

Certains lecteurs auront eu l’impression dérangeante qu’on vient dresser le portrait fidèle et actuel de la métropole montréalaise en 17 points explicites… C’est précisément le modèle à ne pas suivre.

Non, la ville de Québec ne mérite pas ce triste sort, elle qui a su s’en préserver jusqu’à maintenant en gardant des proportions humaines et gérables. Et surtout grâce à sa composition démographique homogène qui unit les gens.

Ce qui a fait d’elle un joyau du patrimoine mondial de l’Unesco ne doit pas disparaître.

Que vaut la croissance économique à tout crin si la population finit par en perdre son âme collective? Vraiment pas grand-chose.

La ville de Québec ne gagnera rien à s’hypertrophier, à devenir une obèse morbide, prête à éclater on ne sait quand.

Petit, c’est beau aussi. C’est même mieux parfois.

Il importe que la ville de Québec demeure à taille humaine. Elle est parfaite comme elle est actuellement. Elle a atteint un point de développement optimal qu’il serait dangereux de dépasser. La croissance sans limite et sauvage n’est bonne pour personne. Ne la laissons pas enfler jusqu’à ce qu’elle soit méconnaissable.

Les investissements doivent être plutôt redirigés en région vers des villes plus petites possédant un certain potentiel de développement.

Dernièrement, le maire de Drummondville invitait aux nouvelles les gens à venir s’installer dans sa ville et à Victoriaville, où le coût de la vie y est moindre. Partant de ce principe, les investissements prévus pour Québec pourraient y être redirigés par le gouvernement. Tout le Québec doit se développer, pas juste Montréal et Québec. Que les nouveaux projets d’investissements économiques s’installent en région.

Ne répétons pas le gâchis actuel qu’est devenue Montréal, la pauvre métropole enlisée et altérée pour le pire, une île qui s’enfonce irrémédiablement comme Venise sous les flots.

Une seule métropole endommagée suffit amplement. Ne doublons pas les problèmes.

*     *     *

Note 1: toutes les photos de la pittoresque rue Saint-Denis, zoomées à partir du même point vue du haut de la Citadelle dans le Vieux-Québec, sont de l’auteur

Note 2: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet

Adblock test (Why?)

Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec

À propos de l'auteur Vigile.Québec

Vigile ouvre ses pages à tous ceux que le combat pour l’indépendance mobilise. Vigile respecte et encourage la liberté d’expression et accueille les différences qui ne compromettent pas l’avenir de la nation. Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs textes.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You