par Jean-Dominique Michel
Je suis profondément heureux de re-publier ici, avec son aimable autorisation, une nouvelle analyse magistrale de ma consœur Françoise Bloch au sujet de ce qui se trame à l’OMS et du rôle que d’aucuns aimeraient voir jouer à cette organisation profondément corrompue au sein du nouvel ordre mondial…
Avec cet argument a priori imparable : si c’est pour la santé des populations, de quel droit oserait-on s’opposer aux décisions de cet organisme ?
Les manœuvres pour soumettre les pays aux décisions contraignantes (diktats) de l’OMS se déroulent déjà au grand jour depuis quelques années. Si les Occidentaux apparaissent soumis à cet agenda totalitaire mondial, la bonne surprise est venue à plusieurs reprises du reste du monde, à qui évidemment on ne la fait pas quand il s’agit d’imposer de nouvelles formes d’impérialisme.
Ceci advient à un moment où l’organisation n’en finit pas de se discréditer. En dépit de la quasi-absence de nouveaux cas, par exemple, l’OMS vient de reconduire la « variole du singe » comme urgence sanitaire internationale… Une urgence sanitaire sans cas est une innovation intéressante de plus dans le registre du théâtre de l’absurde… mais certainement pas de la santé publique !
Quant au très douteux scientifique Jeremy Farrar (directeur du Wellcome Trust) , il vient, à peine élevé à la dignité de Chief Scientist de l’OMS, de proposer qu’on renonce aux investigations quant à l’origine du Sars-CoV-2 – question en effet sans importance ! Il s’en est ensuite défendu, sachant à quel point le sujet est chaud : pas moins de dix chimères de coronavirus de chauve-souris ont été produites dans le laboratoire de Wuhan après que Barack Obama ait interdit les recherches sur les gains de fonction sur les virus – le Sars-CoV-2 apparaissant désormais bien, comme l’avait dit très vite le Pr Luc Montagnier, un produit d’ingénierie du vivant…
Au-delà de ces vilaines péripéties se déploie un réel problème de fond : la volonté de subordonner de manière contraignante la souveraineté sanitaire des pays à une organisation internationale connue aujourd’hui comme étant LA plus corrompue au monde.
Françoise Bloch, en observatrice avertie, nous livre un article de haute tenue décrivant les risques et les enjeux de cette pièce maîtresse du dispositif de gouvernance mondiale en voie d’imposition par des pouvoirs étatiques mafieux. Engagés dans de véritables « crimes d’état contre la démocratie » selon le terme consacré par le professeurs de sciences politique américain Lance de HavenSmith…
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La clef de voûte du Nouvel Ordre Mondial passe-t-elle par de nouvelles prérogatives attribuées à l’OMS ?
par Françoise Bloch
« Qui écoute un témoin, le devient à son tour….
Cela reste important de délivrer un message,
pas seulement pour le peuple juif, mais
pour la noblesse de l’être humain » (Elie Wiesel)
« Aujourd’hui plus que jamais,la conception
de l’être vivant comme machine est
indissolublement liée au fait que nous
vivons dans une société capitaliste et industrielle :
elle reflète ce que les instances qui dominent
la société voudraient que le vivant soit,
afin de pouvoir en faire ce que bon leur semble. » (Bertrand Louart)
Préambule
Selon Hannah Arendt « Ce n’est que dans la mesure où il pense, et cela veut dire dans la mesure où il est sans âge – un « il » ou un « je » et non un « quelqu’un » comme le nomme si justement Kafka – que l’homme dans la pleine réalité de son être concret vit dans cette brèche entre le passé et le futur. Cette brèche n’est pas un phénomène moderne, peut-être même pas une donnée historique mais va de pair avec l’existence de l’homme sur la terre. Il se peut bien qu’elle soit ce chemin frayé par la pensée, ce petit tracé de non-temps que l’activité de la pensée inscrit à l’intérieur de l’espace temps des mortels (…).Ce petit non-espace-temps au coeur même du temps (…) peut seulement être indiqué, mais ne peut être ni transmis ou hérité du passé ; chaque génération nouvelle et même tout être humain nouveau en tant qu’il s’insère lui-même entre un passé infini et un futur infini, doit le découvrir et le frayer laborieusement à nouveau ».
J’ai donc essayé, durant ma vie y compris depuis ces trois ans de délire covidien, de me frayer ce chemin entre un passé et un avenir encore inconnu mais que d’aucuns semblent vouloir écrire pour nous … en prolongeant un passé qu’ils se sont employés à reprendre à leur compte … pour leurs propres intérêts, n’ayant jamais su s’en détacher et voir que l’humain n’est pas qu’une « mécanique à réparer » ou à « perfectionner ». Les deux idéologies du XXe siècle, nées des conceptions scientistes du XVIIIe et dont le capitalisme a finalement triomphé, n’ont su voir dans la vie et l’humain que la matérialité au point de désormais vouloir en faire un robot. Les hommes ne sont pas des machines que l’on peut télécommander par l’intelligence artificielle et autres béquilles technologiques même si celles-ci les fascinent. Il leur arrive même d’avoir une conscience et de penser dans cet espace-temps qui échappe aux soi-disant « élites mondialistes » dont les projets fous nous conduisent à un totalitarisme sanitaire et militaire si nous n’y prenons garde….et dont une partie est déjà en place mais qu’ils accélèrent.
D’abord il nous faut faire un constat
de ces trois ans de « covidisme délirant », totalement déconnecté de la réalité de la situation et d’ailleurs de toutes les pratiques judicieuses et scientifiquement éprouvées en cas d’épidémie virale respiratoire voire de pandémie, mais fut simplement une « expérimentation d’ingénierie sociale », conçue et préparée de longue date.
Depuis l’arrivée du SRAS-Cov 2, nous pouvons énumérer les méthodes de manipulation de l’information qui ont été utilisées : essais cliniques falsifiés et données inaccessibles ; études truquées et en conflits d’intérêts ; dissimulation des effets secondaires à court terme des « injections géniques » nommées à tort « vaccins » et méconnaissance totale des effets à long terme de leur injection ; composition douteuse des « produits injectés » ; méthodes de test inadéquates ; gouvernements et organisations internationales corrompues ; médecins soudoyés ou menacés voire interdits d’exercer leur métier ; dénigrement de scientifiques de renom ; interdiction de tout traitement alternatif efficace ; méthodes sociales liberticides et création de boucs-émissaires – les non vaccinés – pour diviser la population, monter les citoyens les uns contre les autres, et créer la discorde au sein des familles au point de pousser des enfants et adolescents au suicide ; utilisation par les gouvernements de techniques de modification du comportement et d’ingénierie sociale pour imposer l’enfermement, les masques et l’acceptation des injections ; censure des médias indépendants et discours planétaires uniformes, véhiculés par les médias les plus puissants du monde (trois agences de presse – AP, Reuters, AFP – toutes rachetées par des financiers et subventionnées, fournissant de quoi alimenter leurs articles)… et amplification du numérique à des fins de contrôle de la population.
Et pour conclure : « En soutenant et en sélectionnant uniquement un côté de l’information scientifique tout en supprimant les points de vue alternatifs, et avec des conflits d’intérêts évidents, les gouvernements et les médias grand public ont constamment désinformé le public. Par conséquent, les lois de vaccination validées de manière non scientifique, issues de la science médicale contrôlée par l’industrie, ont conduit à l’adoption de mesures sociales pour la protection supposée de la santé publique mais qui sont devenues de graves menaces tout à la fois pour la santé, les droits et les libertés des populations touchées ».
Après ce constat d’évidence
fait par de nombreux chercheurs indépendants et de citoyens et citoyennes éclairéEs, nous avons, de facto, vécu une expérimentation sociale, une forme particulière d’ingénierie sociale, longuement murie et préparée, que les « nouveaux maîtres du monde », à savoir les « élites mondialistes » auto-programmées et l’OMS, leur façade, considèrent finalement comme « réussie » puisque la grande majorité des citoyens – principalement occidentaux – ont consenti aux mesures préconisées y compris les plus coercitives. Car d’autres pays comme une bonne partie de l’Amérique latine, l’Égypte, plusieurs pays africains, la plupart des États indiens et y compris la Chine ont eu recours à des remèdes dits ancestraux – l’Artémisia annua par ex. – ou qui avaient fait leurs preuves scientifiquement. On peut donc constater que cette « expérimentation » n’a pas encore complètement atteint l’objectif visé par l’OMS et ses financeurs. Elle a juste préparé ceux qui, sidérés et manipulés, n’ont pas pu ni su y résister : il s’agit désormais de contraindre tous ceux qui n’ont pas appliqué le «dispositif» ou qui ne l’ont pas atteint afin qu’ils se conforment au déroulement des prochains épisodes, c’est à dire l’objectif visé par ces élites mondialistes … et leurs complices : un contrôle totalitaire sur leurs vies au prétexte de prendre soin de leur santé… et de leur sécurité… par équité bien sûr ! En cela, malheureusement, l’OMS et ses complices trouvent chez certaines ONG et partis politiques – essentiellement de gauche, « écologistes » et tiers-mondistes – des alliés objectifs au prétexte d’aide au développement et d’aide internationale aux pays les plus démunis financièrement. On reste stupéfait devant un tel aveuglement technophile, purement idéologique.
Voyons maintenant les « préparatifs » de l’OMS en vue d’atteindre cet objectif
– qui se veut mondial, question « d’équité » paraît-il – lors de l’Assemblée mondiale de la santé en mai 2023 : va-t-on vers un totalitarisme sanitaire et militaire ?
Pendant nos interrogations bien sûr légitimes sur ce que nous avons vécu parfois comme sidération et souvent comme maltraitance et le soin que nous apportons à en traiter les effets, de préférence avec bienveillance, l’OMS poursuit son agenda mondialiste, sous l’influence de ses financeurs à savoir les soi-disant « élites mondialistes » (dont bien sûr la Fondation Gates et la GAVI) réunies annuellement au Forum économique mondial (WEF) à Davos par une intense activité de groupes de travail ; ceci d’autant plus que lors de l’Assemblée mondiale de la santé de 2022, plusieurs États-membres, dont plusieurs africains, se sont opposés aux modifications du Règlement sanitaire international (RSI). Rappelons que, déjà en 2021, Urmie Ray dénonçait les dangers d’une mainmise accrue de l’OMS sur la santé mondiale. Plusieurs groupes de travail – dont les membres sont cooptés – se sont déjà réunis plusieurs fois, en vue de :
• élaborer un nouveau traité, accord ou convention sur la prévention, la préparation et l’intervention en cas de pandémie,
• modifier le Règlement sanitaire international (RSI)
• amplifier les outils technologiques afin de poursuivre « une stratégie mondiale pour la santé numérique »(sic) censée façonner l’avenir de la santé mondiale.
Les nouvelles prérogatives que l’OMS cherche à se voir attribuer nous annoncent-elles la mise en place d’un Nouvel Ordre mondial de type totalitaire ? De nombreuses voix, essentiellement américaines mais, quoique de façon moins audible, aussi européennes, s’élèvent pour dénoncer ce « coup d’État » qui militariserait la santé comme elle l’est déjà, depuis des décennies aux USA. Raison pour laquelle les Américains sont peut-être plus avertis des risques encourus puisqu’ils vivent déjà, sur leur territoire, leur accélération depuis la présidence de G. W. H. Bush durant laquelle la « guerre bioterroriste » a été conçue et lancée à travers diverses opérations : Dark Winter, EcoGlobal Health Security Initiative, Atlantic Storm et Event 201, que Monika Karkowska a déjà fort bien analysées.
Ainsi, le journaliste et chercheur indépendant James Roguski dévoile, en s’appuyant sur un document interne de l’OMS, les effets qu’auraient les amendements proposés par l’OMS, dont ceux :
• de modifier la nature générale de l’Organisation mondiale de la santé, qui passerait d’une organisation consultative se contentant de formuler des recommandations à un organe directeur dont les proclamations seraient juridiquement contraignantes. (Article 1)
• d’étendre considérablement le champ d’application du RSI pour inclure des scénarios qui ont simplement un « potentiel d’impact sur la santé publique »
• de chercher à supprimer « le respect de la dignité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales des personnes ». (Article 3)
• de donner au directeur général de l’OMS le contrôle des moyens de production par le biais d’un « plan d’allocation de produits de santé » afin d’obliger les États-parties à fournir des produits de réponse à la « pandémie » dont la définition serait modifiée, selon ses instructions. (Article 13A)
• de donner à l’OMS le pouvoir d’exiger des examens médicaux, des preuves de prophylaxie, des preuves de vaccination et de mettre en œuvre la recherche des contacts, la quarantaine et bien sûr le traitement. (Article 18)
• d’instituer un système de certificats sanitaires mondiaux sous forme numérique ou papier, comprenant des certificats de test, des certificats de vaccin, des certificats de prophylaxie, des certificats de guérison, des formulaires de localisation des passagers et une déclaration sanitaire du voyageur. (Articles 18, 23, 24, 27, 28, 31, 35, 36 et 44 et annexes 6, 7 et 8)
• de rediriger des milliards de dollars non spécifiés vers le complexe industriel d’urgence des hôpitaux pharmaceutiques sans aucune responsabilité. (Article 44A)
• de permettre la divulgation de données personnelles sur la santé. (Article 45)
• d’augmenter considérablement la capacité de l’OMS à censurer ce qu’elle considère comme de la désinformation et de la mésinformation. (Annexe 1, page 36)
• de créer une obligation de construire, de fournir et de maintenir une infrastructure RSI aux points d’entrée. (Annexe 10)
Quelque peu réconforté par la 4ème séance de ce groupe de travail, puisque ses critiques auraient été entendues (!), J. Roguski en oublie que les modifications apportées au RSI ne sont qu’une partie du processus engagé.
Francis Boyle élargit le propos
Expert en armes biologiques et professeur de droit international à l’Université de l’Illinois, il avait déjà été, en 1989, le rédacteur d’un rapport dénommé « Biological Weapons Anti-terrorism Act », présenté devant le Congrès US sous la présidence de G.H.W. Bush. Récemment interviewé par The Defender au sujet des dernières propositions faites par l’OMS lors de négociations internes qui ont eu lieu à Genève du 6 au 13 février, il va nettement plus loin et soupçonne ces nouvelles prérogatives que veut s’attribuer l’OMS de revêtir toutes les composantes d’un « État totalitaire mondial de police médicale et scientifique » : celles-ci « pourraient violer le droit international et enlever toute souveraineté aux États en matière de politique de santé tout en s’assurant d’un contrôle sur la population mondiale par la mise en place de technologies numériques » ; tout ceci en vue d’atteindre « la stratégie mondiale de santé numérique » (sic), avec en vedette les GAFAM, l’IA, le contrôle accru des gouvernements et des citoyens-nes qu’un autre groupe de travail étudie en collaboration étroite avec le GHSI (Global Health Security Initiative). Très récemment, le Dr Mercola, annonce la nomination (fin décembre 2022) par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus , à la tête du GHSI, de son directeur – « un scientifique fou » – : le Dr Ferrar. On apprend que le Dr Ferrar était directeur, de 2013 à février 2023, du Welcome Trust, complice de la dissimulation de l’origine du SRAS-CoV-2. Et que le Wellcome Trust et son directeur font partie du réseau technocratique mondialiste et du mouvement eugéniste moderne. Lorsque le SRAS Cov 2 est apparu, M. Farrar a fondé Wellcome Leap, qui est en fait le DARPA de la santé mondiale (Defense advanced research projects Agency, c. à d. une agence du département de la défense US). Cet organisme se concentre entièrement sur la recherche transhumaniste afin d’ouvrir la voie à la quatrième révolution industrielle. M. Farrar et le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, font par ailleurs partie d’un petit réseau mondial très soudé qui travaille en coulisse pour influencer la santé, la finance et la gouvernance mondiales… En coulisse donc.
Pour Francis Boyle, tous ces « préparatifs » qui brouillent les cartes entre « transparence relative et opacité » donnent toutefois une « cohérence » à l’ensemble des « préparatifs » que l’OMS compte faire voter par les États-membres en mai 2023 mais ne doivent pas être analysés séparément même si tout est fait « pour noyer le poisson » et les faire apparaître comme séparés. Pris ensemble, ils vont dans le sens d’un pouvoir accru que l’OMS s’attribuerait y compris celui de contrôler l’application par les États de ses directives (mais aussi bien sûr le contrôle des citoyens du monde entier, ramenés au niveau d’enfants obéissants dans le meilleur des cas). De son rôle consultatif, la direction de l’OMS aurait désormais un rôle impératif dès lors que les 2/3 des États membres lui auraient donné un blanc-seing.
Et de préciser : le cadre du RSI de 2005 « permettait déjà au directeur de l’OMS de déclarer une urgence de santé publique dans n’importe quel pays, sans le consentement du gouvernement de ce pays, bien que le cadre exige que les deux parties tentent d’abord de parvenir à un accord ». « Selon le même document de l’OMS, les recommandations du comité d’examen du RSI et du groupe de travail des États membres sur les amendements au RSI de 2005 seront communiquées au directeur général de l’OMS, Tedros Adhanson Ghebreyesus, d’ici mi janvier ». Cependant M. Boyle remet en question la légalité des documents sus-mentionnés, citant par exemple que le traité proposé par l’OMS viole la Convention de Vienne sur le droit des traités qui a été ratifié en 1969 et que M. Boyle a décrite comme « le droit international des traités pour tous les États du monde ».
Il explique en outre la différence entre le dernier traité sur les pandémies et les propositions de modification du RSI : « le traité sur les pandémies de l’OMS créerait une organisation internationale distincte, alors que les modifications proposées au RSI fonctionneraient dans le contexte de l’OMS telle qu’elle existe aujourd’hui ». Cependant, a-t-il déclaré « après avoir lu les deux documents, il s’agit d’une distinction sans différence. L’un ou l’autre, ou les deux, mettront en place un État policier médical et scientifique totalitaire mondial sous le contrôle de Tedros et de l’OMS, organisation de façade pour les CDC, que dirigeait Tony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, l’industrie de la guerre biologique et le gouvernement communiste chinois qui paie une partie de leurs factures… Soit ils obtiennent les règlements, soit ils obtiennent le traité, mais les deux sont existentiellement dangereux. Ce sont des documents vraiment dangereux… et insidieux ». Le Pr Boyle précise « n’avoir jamais lu de traités et de projets d’organisations internationales aussi complètement totalitaires que le règlement du RSI et le traité de l’OMS car l’un et l’autre mettent en place un État policier médical et scientifique totalitaire qui échappera au contrôle des autorités nationales étatiques et locales » (et a fortiori aux citoyenNes) ; « … pour autant que je puisse en juger par leur lecture, ils sont, l’un et l’autre, conçus spécifiquement pour contourner les autorités nationales, étatiques et locales en matière de pandémies, de traitement de pandémies et de vaccins ».
Enfin, venons-en à Katherine Watt
Dans un document qui retrace, année après année, une bonne partie des débats autour de la santé et de ses liens avec le DOD (département de la défense US) depuis le début du XXe siècle, elle montre que dès le début du siècle dernier, les élites américaines avaient, à plusieurs reprises, eu le projet de mettre en place un Nouvel Ordre mondial, velléités auxquelles seul Roosevelt, en 1933, avait – provisoirement – mis un terme. En outre, les élites US dès les années 20-30 avaient des projets de dépeuplement qui furent de nouveau approuvés en 1975 sous la présidence de G. Ford, dans le droit fil des théories eugénistes de la fin du XIXe siècle que nous aborderons sommairement ultérieurement. Elle constate qu’aux USA, dès la fin des années 70 « la santé publique a été militarisée » et que le personnel militaire a été utilisé comme « sujets » de recherches (ou plus exactement comme « cobayes ») pour les armes biologiques et chimiques, et que dans le prolongement de cette décision, « tout micro-organisme vivant, fabriqué par l’homme, a été considéré comme un objet brevetable » (loi votée sous la présidence de Reagan en 1980) – ce que David Martin a très bien démontré et contre quoi il nous mettait en garde – et qu’en 1986, sous la même présidence Reagan, « fut accordée aux fabricants de vaccins une immunité juridique pour les blessures et les décès causés par leurs produits » ; enfin que le HHS (le département de la santé et des services sociaux), dirigé par le Dr Fauci avait des liens structurels non seulement avec les multinationales pharmaceutiques mais avec le Département de la Défense (DOD) en vue d’une guerre biologique et bioterroriste, toutes choses analysées par Monika Karbowska. Lors d’une conférence de presse sur le déploiement en cours d’armes biologiques, K. Watt précise que de fait, depuis des années, « est utilisé un langage portant sur la santé publique afin de mener à bien une campagne militaire » dont nous avons d’ailleurs vu l’usage qu’en a fait, en France, le président Macron, durant la crise dite du Covid, en s’entourant d’un Conseil de guerre constitué de militaires dont les propos furent tenus secrets. Je la cite : « ce que le Département de la défense et l’OMS ont l’intention de faire – ils sont allés assez loin pour cela sans pour autant atteindre leurs objectifs -, c’est de faire du monde entier leur terrain géographique : ils ciblent toute la population du monde, la durée de leur campagne et les armes qu’ils utilisent sont d’abord informationnelles, c’est à dire la propagande et la censure, les deuxièmes sont psychologiques – terreur et terrorisme – qui consistent à dire aux gens qu’ils doivent avoir peur en permanence et qu’ils doivent écouter le gouvernement, et enfin le 3ème volet, les armes chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires qui sont appelées dans leurs campagnes «vaccins pharmaceutiques mais qui sont en fait des toxines et des agents pathogènes ».
Ensuite, K. Watt soulève les éléments juridiques et les aspects économiques et financiers qui permettent de mettre en place tout cet arsenal de mesures. Elle en conclut que ce projet dure depuis fort longtemps et que sont à la manœuvre des banquiers mondialistes et de nombreuses organisations apparentées qui cherchent à prendre le contrôle total des êtres humains par le biais de programmes bancaires et militaires. Tout ceci remonte au mieux aux années d’avant la 1ère guerre mondiale, puis fut repris après la seconde, le nazisme ayant en partie échoué à éliminer une grande partie de la population mondiale (à l’exception tout de même des 60 millions de morts dont 26 à 28 millions de Soviétiques qui repoussèrent l’armée allemande, contribuant à lui faire perdre la guerre, et la quasi totalité des juifs d’Europe !). « Les produits pharmaceutiques, grâce à l’immunité juridique qui les frappe, permettent le déni des intentions visées : ils peuvent atteindre l’objectif de tuer beaucoup de gens sans que leurs empreintes digitales soient partout » … à l’aide d’outils technologiques… dont la 5G !
« Les contraintes financières passent par la Banque des Règlements internationaux (BRI) qui contrôle toutes les banques centrales et les institutions financières puis, tout du long, par les États, les gouvernements nationaux, locaux, municipaux, les écoles et les hôpitaux. Si vous vous conformez à ce qu’ils vous disent de faire, vous obtiendrez les moyens financiers pour ce dont vous avez besoin, pour gérer votre entreprise ou avoir un emploi et si vous ne consentez pas, ils peuvent vous couper tout ceci et c’est par là que tout a été réalisé ». En gros, précise, K. Watt : « c’est ce que nous avons déjà pu constater et vivre durant l’année 2021 et la dite « crise du Covid » ».
Puis elle analyse tous les aspects juridiques qu’elle a repérés pour détourner les lois interdisant les armes chimiques et biologiques. Tous ces produits le sont à des fins « prophylactiques, protectrices ou défensives, cette dénomination étant fausse puisque tous ces produits biologiques sont agressifs, toxiques et mortels », en sus d’être grandement inefficaces, comme nous l’avons constaté durant la crise du SRAS-Cov2 et son cortège d’effets indésirables, pour la plupart censurés.
Elle considère que l’OMS est la pierre angulaire de tous ces dispositifs et, selon elle, elle « n’est pas une organisation de santé mais une organisation militaire, le bras militaire du gouvernement mondial unique que les élites essaient de mettre en place ». « Les amendements qu’ils veulent apporter au RSI visent à l’aggraver en exigeant des gouvernements nationaux la mise en place de mesures plus contraignantes et coercitives en cas d’épidémie de maladies transmissibles et le prétexte utilisé, formulé par les banquiers, est de protéger les entreprises des désagréments provoqués par les épidémies. Mais la vraie raison est le transfert des prérogatives des États-nations à l’OMS et à la BRI ».
Tous ces chercheurs américains en appellent à stopper le traité sur les pandémies et les modifications apportées au RSI, voire incitent leur pays à sortir de l’OMS. Peu de chance qu’ils soient entendus puisque les USA sont à la manœuvre depuis des années… sauf lorsque Trump voulut suspendre le financement US de l’OMS… mais certainement pas pour les mêmes raisons !
Ces éclaircissements, sous forme de révélations, nous éclairent désormais sur qui sont « les nouveaux maitres du monde » à savoir les soi-disant élites mondialistes, essentiellement américaines, comme la plupart des multinationales pharmaceutiques et les banques à l’exception de la Banque des Règlements internationaux, la BRI, créée à Bâle en 1930, laquelle chapeaute toutes les banques centrales. On comprend aisément que la Suisse soit partie prenante de tous ces préparatifs et explique certainement la raison pour laquelle Genève accueille la plupart des Organisations internationales dont l’immunité fut votée en 1945 par le Congrès US sous la présidence de Harry S. Truman ! La dernière en date, adoubée en 2015 par le Conseil fédéral Suisse comme Organisation internationale avec l’immunité juridique et les avantages y afférents, fut le WEF (Forum économique mondial) de Klaus Schwab dont les modalités furent revisitées en 2020.
En conséquence et conclusion… toujours provisoire :
Si ces préparatifs de l’OMS aboutissaient, il en serait fini de la souveraineté des États comme des traités internationaux dont deux d’entre eux me semblent particulièrement importants : le Code de Nuremberg et les Protocoles d’Oviedo puisqu’il s’agit bien, dans tous ces « préparatifs », de crimes contre l’humanité comme l’a démontré le Grand Jury sous la direction de Reiner Fuellmich et Viviane Fischer, et d’eugénisme dont je rappelle quelques éléments historiques.
L’eugénisme, théorie qui a prévalu à partir du milieu du XIXe siècle en Occident, visait un programme de sélection artificielle pour produire une race humaine supérieure en s’appuyant sur la théorie de l’hérédité de W. Galton et sur celle de Darwin, appliquées aux êtres humains. Furent ainsi pratiquées, entre autres sous le nazisme, des expériences médicales sur l’humain, menées sur des détenus dans les camps de concentration (mais aussi sur les malades mentaux et les enfants). La plupart de ceux qui les pratiquèrent étaient médecins et, pour certains, professeurs d’Université, parfois même chercheurs réputés des expérimentations sur l’humain. Une toute petite partie d’entre eux (23 dont 20 médecins et une femme qui « officiait » comme médecin au camp de Ravensbrück) furent traduits, en 1947, devant l’un des douze Tribunaux de Nuremberg, dont l’un, spécifique, concerna les seuls médecins.
De ces procès de Nuremberg est né le Code de Nuremberg qui établit une liste de dix critères contenue dans le jugement du procès des médecins de Nuremberg (décembre 1946 – aout 1947), lesquels précisent les conditions auxquelles doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme « acceptables ». De là, furent édictées des lois éthiques encadrant la pratique biomédicale.
Ces principes éthiques furent constamment remis en cause par les USA. L’OMS et les autorités politiques et sanitaires, notamment dans les pays occidentaux, s’en sont exonérées pendant la dite crise du SRAS-Cov2 et ne fut pas plus tenu compte de la Convention et des Protocoles d’Oviedo(avril 1997), le seul instrument juridique international contraignant. Cette Convention-cadre et ses protocoles visent à protéger la dignité et l’identité de tous les êtres humains et à garantir à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la médecine. Refuser de se faire injecter des produits toxiques ne relève donc pas d’un « égoïsme » qui fut prêté aux « non-vaccinés » mais bien d’une question éthique qui concerne toute l’humanité.
Hannah Arendt dont l’œuvre gigantesque sur le totalitarisme fait référence – que reprend à son compte Ariane Bilheran – lors d’un dernier entretien réalisé par Les Crises en 1973, jette un regard rétrospectif sur le nazisme, la banalité du mal, la raison d’État dont la sécurité nationale est issue et qui justifie les pires crimes, l’arrogance des puissants, et sur la peur que l’on ne s’avoue que rarement avoir mais qui n’est que la peur de l’imprévu et de l’imprévisible fait de contingences, mais est surtout la peur de la liberté, celle en particulier de penser. Aurions-nous si peur d’être libres de penser par nous-mêmes de manière critique ? Et répondant à la question : qu’est-ce que la liberté de penser ? elle ajoute :
« Elle ne repose que sur la conviction que chaque être humain, en tant qu’être pensant, peut réfléchir aussi bien que moi, et peut former son propre jugement s’il le veut. (…) La seule chose qui peut vraiment nous aider, c’est vraiment de réfléchir. Réfléchir, cela signifie de toujours penser de manière critique. Et penser de manière critique, cela signifie que chaque pensée sape ce qu’il y a en fait de règles rigides et de convictions générales. Tout ce qui se passe lorsqu’on pense est soumis à un examen critique. C’est-à-dire qu’il n’existe pas de pensée dangereuse, pour la simple raison que le fait de penser est en lui-même une entreprise très dangereuse. Mais ne pas penser est encore plus dangereux. Je ne nie pas le fait que réfléchir est dangereux, mais ne pas réfléchir, c’est plus dangereux, encore. »
Il en est de la grande Histoire comme des histoires singulières, les mythes et les fables qui nous sont contés cachent souvent des secrets inavouables et n’ont pas grand-chose à voir avec la réalité toujours plus complexe. Ces « fables » se transmettent ainsi de générations en générations… qui les reprennent à leur compte. Ainsi Enzo Traverso dans son ouvrage sur « la violence nazie, une généalogie européenne » fait-il remonter cette violence et l’extermination industrielle des juifs… et des tziganes – les oubliés de l’Histoire comme le furent les colonisés – … à 250 ans, c’est à dire à l’épisode de la Terreur de 1793 lors de la Révolution française qui inventa la guillotine, aux guerres coloniales et aux abattoirs de Chicago créés au milieu du XIXe siècle. Jacques Pauwels, historien hétérodoxe, fait aussi tomber quelques fables qui nous furent contées – tout au moins pour ceux qui voulaient bien les croire – … et plus précisément celle que l’Europe aurait été sauvée par les Américains, « le pays de la Démocratie et de la Liberté ».
De fait, les grands industriels américains (Ford, ITT, IBM, General Motors, Petroleum Oil, etc), loin d’être antinazis, étaient racistes et eugénistes. Pour maximiser leurs profits que la grande dépression des années 20-30 avait fait chuter et lutter contre « les Rouges » – c’est à dire les ouvriers – auxquels la Révolution bolchévique avait fait germer l’espoir d’un monde plus juste et égalitaire, ils collaborèrent avec Hitler puis changèrent d’alliance en mars 1941, après avoir voté un « prêt-bail » à la Grande Bretagne … et à l’URSS à charge pour eux d’un remboursement ultérieur : « une victoire hitlérienne aurait alors asséché l’abondante source de bénéfices que générait le « prêt-bail » (…) et celle sur l’URSS aurait été désastreuse pour leurs profits. Ces élites US arborèrent alors la casquette de l’antifascisme mais elles restèrent anti-communistes dans leur cœur » et racistes. De surcroit, l’arrestation de tous les opposants syndicaux, socialistes, et communistes allemands, dès la première heure de l’arrivée d’Hitler au pouvoir, et conduits en camps de concentration, firent plier les ouvriers qui, travaillant à l’économie de guerre dans les usines allemandes, se soumirent à des salaires de misère quand ils furent payés. Double objectif atteint pour ces « élites » qui s’enrichirent à tout va sous le nazisme : « l’incessante quête de profit amena les hommes d’affaires, et en tout premier lieu les chefs des grandes et puissantes entreprises à créer et à manipuler le régime nazi et à lui faire déclencher une guerre mondiale, afin de concrétiser ses objectifs »… jusqu’à ce que ce régime ne leur convienne plus. Triste constat qui s’est prolongé durant le XXe siècle et se perpétue d’ailleurs actuellement avec les multiples guerres menées sous drapeau occidental : les alliances que les « élites » économiques et financières nouent servent toujours leurs profits. Évidemment à lire, ces ouvrages décoiffent quelque peu nos croyances qui sont transmises de générations en générations. Il semble qu’elles aient la vie dure. Qui n’a pas travaillé son histoire est condamné à la revivre… Il en est des histoires singulières comme de la Grande Histoire ! Si l’Histoire ne repasse jamais les plats, dit-on, il arrive qu’elle les resserve sous d’autres apparats !
Toutefois et heureusement, chaque jour nous apporte son lot de révélations ! dont celle du PDG de Moderna, pris « les doigts dans la confiture » quand il a avoué, d’abord en aparté, puis au dernier Forum économique mondial à Davos, que les « vaccins » étaient prêts, en 2019, bien avant le déclenchement de l’épidémie de Sras-Cov2. La vérité finit toujours par être découverte : ces révélations font prendre conscience à certains États que leur souveraineté est en jeu et qu’il serait bon qu’ils s’opposent aux manœuvres de l’OMS et de ses complices, telle récemment l’Australie.
Espérons qu’ils seront suivis par d’autres États mais surtout que les citoyens-nes, les premierEs concernéEs par le « Nouvel ordre mondial » que nous promeuvent l’OMS et les soi-disant élites mondiales rassemblées au Forum économique mondial (WEF), en y mettant tous les atours pour les séduire, comprendront que leur avenir est en jeu comme celui de leurs enfants. La seule « résilience » individuelle ne pourra pas panser leurs plaies quand, de facto, tout totalitarisme a toujours visé un effondrement sociétal tel que les élites l’ont prévu cette fois encore. Étrange rapprochement entre la résilience requise des habitants, contraints de vivre dans des zones contaminées après un accident nucléaire et celle qu’on leur suggère d’avoir pour « s’adapter » voire « consentir » à un totalitarisme sanitaire et militaire tel que prévu par l’OMS ! N’oublions pas que l’OMS collabore aussi étroitement avec l’AIEA et le Conseil de Sécurité et que la « radiophobie » fut évoquée concernant la peur ressentie par les habitants vivant en zones contaminées par les retombées de l’accident de Tchernobyl et que l’idéologie de la résilience peut être, en elle-même, au service de l’acceptabilité sociale de ce qui produit les nuisances. Thierry Ribault rappelle, de façon symptomatique, qu’en France, la loi portant sur la question environnementale de 2021 a été nommée « loi climat et résilience », tandis que le déploiement de moyens militaires lors de la crise sanitaire de la Covid-19 a été dénommé « Opération résilience ». L’idéologie de la résilience est en fait considérée par Thierry Ribault « comme une sorte de nouvelle religion d’État, dans laquelle toutes les situations qui suscitent de la vulnérabilité sont considérées comme des opportunités de rebond et d’adaptation. Il s’agit ainsi d’une forme de justification de l’ordre des choses, puisqu’elle promeut un « faire avec » tout en individualisant la responsabilité de la catastrophe. »
Mais il serait souhaitable que les citoyens n’oublient pas que leur vie dépend de leur capacité à transcender la peur – même si celle-ci est parfois salutaire et a des raisons d’être ressentie quand de telles folies technophiles sont mises en œuvre – on peut aussi en avoir face à un avenir qui ne saurait se déduire du passé mais qui reste à inventer. D’autres manières d’être ensemble – de se loger, de se nourrir, de s’aimer, de s’entraider, de donner, etc – sont déjà expérimentées, rien n’empêche de s’y inscrire afin d’inventer, pour le bien commun de l’humanité, d’autres manières de vivre ensemble y compris de prendre soin de notre santé et de celle des autres. Là réside l’espoir d’un autre monde possible que celui que ces « élites » nous ont préparé de longue date et qui de toute manière s’effondrera… les crises, dont la crise écologique, le traversant, étant multiples.
La société n’est qu’une construction imaginaire : rien ne nous empêche d’en imaginer une autre ! Certains s’y emploient et devraient être encouragés et rejoints au lieu d’être stigmatisés. L’important est le chemin, la voie et pas uniquement l’objectif. Il est vrai que pour résister, il faut de la force d’âme, une des quatre vertus cardinales sur lesquelles repose la vie morale. Il faut aussi du courage pour s’y engager ainsi qu’une intelligence du cœur, toutes vertus que les soi-disant « élites mondialistes » ignorent. Cette intelligence du coeur vient de notre conscience, celle de notre profonde interdépendance à l’égard des autres dans toute la diversité qui les constitue… et de la compassion que l’on est capable de ressentir face aux souffrances qu’ils endurent.
S’agissant du respect dû à chaque humain, Marcel Hénaff montre que seul le don affronte cette question car il implique la reconnaissance de l’autre et sa considération, c’est à dire ce en quoi autrui nous oblige inconditionnellement ; mais que l’argent a le pouvoir de détruire cette exigence et le lien qui unit les hommes entre eux. Il peut infiniment corrompre. Quant à la justice, je laisse le mot de la fin à Camus : « Il n’y a ni justice ni liberté possibles tant que l’argent est roi ». Vaste sujet qui serait trop long à traiter dans cet article mais qui le fut ailleurs.
source : Anthropo-Logiques
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