Les pénuries sont de divers ordres dans plusieurs pays, conséquences d’un état d’esprit installé depuis bon nombre d’années, lequel suscite un déséquilibre qui s’est manifesté magistralement depuis la covidémie.
«En Espagne, un système de santé publique au bord du gouffre» Alerte lancée il y a déjà 1 an.
Et la situation semble s’être empirée : « Manifestation monstre à Madrid pour défendre le système de santé».
Plusieurs centaines de milliers de personnes ont défilé dimanche à Madrid lors d’une nouvelle manifestation de défense du système de santé public dans la région-capitale espagnole, miné depuis des mois par le manque d’effectifs et de moyens.
En 2021, on pouvait lire : « Les hôpitaux allemands sont sous haute tension »
Et en octobre 2022, le gouffre s’amplifiait encore en arrivant en pédiatrie : «Pédiatrie à l’hôpital : « On est au bord du gouffre », alertent les sénateurs.
Mise sous pression par le manque de personnel et une épidémie de bronchiolite précoce, la pédiatrie est dans une « situation très grave », selon le sénateur du groupe PS, Bernard Jomier. Le « plan d’action immédiat » annoncé par le gouvernement n’est pas à la hauteur, pointe la sénatrice LR Florence Lassarade, « ce ne sont pas des rustines qu’il faut, c’est un vrai plan pédiatrie ».
«Tous les indicateurs sont à zéro, pourtant la suspension du personnel soignant se poursuit en France !» Contre toute logique et contre les intérêts des malades qui continuent de mourir dans les couloirs des urgences…
Alors que dans un pays voisin : «L’Ordre médical belge débat sur la question de l’obligation de se soumettre à des injections expérimentales»
Il en ressort une conclusion nette : les vaccins anti Covid-19 ne fonctionnent pas et la pharmacovigilance est défaillante.
Le sujet devient encore plus aigu : «Au Royaume-Uni, le service de santé public face à la plus importante grève de son histoire»
Les causes en sont patentes : Sous-effectif. Sous-évalué. Sous-payé. Le système de santé public britannique a connu lundi la plus importante journée de grève de son histoire. Infirmières et ambulanciers ont décidé de débrayer de concert pour réclamer des augmentations de salaires.
De son côté, le collectif ActionPatient révèle l’ampleur de la détérioration de la qualité des soins.
«Hôpital : pour la première fois, les malades évaluent les pertes de chance, par le Pr Pialoux»
La crise de l’hôpital se décline désormais organe par organe. Après les urgences, la psychiatrie, les blocs opératoires, c’est au tour de la pédiatrie de ployer sous le poids d’une épidémie de bronchiolite précoce et forte. Voici maintenant que les malades chroniques s’expriment sur les conséquences perçues par les patients des fermetures de lits dues au manque de personnel, qui concernent 85 % des CHU selon la Fédération hospitalière de France (FHF).
On peut aussi évoquer la «pénurie de sensibilité» face à l’enfance : «Les Enfants du Covid : Teaser»
Depuis presque 2 ans, les enfants du monde entier ont payé un très lourd tribut, non pas au covid, mais aux mesures censées lutter contre la propagation de ce virus !
Dans leur imaginaire, les enfants peuvent se voir comme un danger public…
Ils ont subi et continuent à subir, au nom d’une protection virale pour l’ensemble de la société des astreintes insupportables à leurs libertés, à leur santé physique et psychique, à leurs liens sociaux et familiaux, à leur éducation, à leur rapport au monde, au futur, à leur capacité à gérer l’angoisse, ou la peur, et tout simplement à leur désir de vivre.
Les enfants sont les victimes insupportables des mesures inappropriées et prolongées que les gouvernements ont imposées sans réfléchir globalement à toutes les conséquences dramatiques qu’elles allaient générer dans le présent et dans le futur de nos jeunes générations.
Cette année, certaines personnes sont déjà tombées dans le gouffre : Selon les informations compilées par Anadolu à partir de la presse française et de sources officielles, 31 personnes sont décédées dans les services d’urgence du pays le mois dernier, faute d’une intervention rapide
Il n’y a pas que le personnel qui manque : «L’approvisionnement en médicaments vitaux est «problématique»
Le manque croissant de médicaments touche dorénavant le domaine ambulatoire.
En particulier en pédiatrie : «Trouver certains médicaments pour enfants tourne au casse-tête»
Plusieurs produits administrés sous une forme particulière, notamment en sirop, manquent à l’appel. Et il existe moins d’alternatives que chez les adulte.s
Il en va de même en France : “Toutes les classes de médicaments sont en rupture“, s’inquiète le président de l’Union des syndicats de pharmaciens :
Certaines ruptures sont réelles, d’autres “sont plus dues à quelque chose qui est plus opaque dans la chaîne de transmission du médicament”. On peut dire alors qu’il y a «pénurie de droiture» !
Les déserts médicaux sont aussi un élargissement du précipice dans lequel tombent des habitants de différentes régions. «Désert médical : le pire est encore à venir»
La tragédie s’est amplifiée avec l’obligation vaccinale : Quand l’obligation vaccinale accentue les déserts médicaux
Il est de plus en plus de villes où obtenir un rendez-vous médical lorsque l’on est un nouveau patient relève de la mission impossible. Toujours la même réponse, des délais de plusieurs mois quand ce n’est pas une invitation de la secrétaire à passer son chemin.
La pénurie de médecins généralistes est dénoncée depuis plusieurs années. Une émission de la radio suisse romande expose la situation déjà en 2017. «Qui recruter ?» Le recours aux médecins étrangers est une solution pour la Suisse mais pas pour les pays dont on retire les praticiens….
Que nous apprend cette même radio 5 ans plus tard ? «Face à la pénurie de généralistes, les communes n’hésitent pas à investir pour les attirer»
Elle nous donne l’exemple d’une commune du canton de Fribourg
Il en va de même dans le canton de Neuchâtel : «La Chaux-de-Fonds: le Conseil général veut attirer les médecins grâce à un fonds communal»
Une motion lancée par le Parti socialiste concernant le manque de médecins traitants et de pédiatres était au menu. Face à cette pénurie, la gauche souhaite créer un fonds communal sous forme de prêt à taux très avantageux afin d’inciter et d’aider l’installation des médecins dans la Métropole horlogère.
Peut-on vraiment résoudre une telle pénurie par une démarche financière ?
Comment en sommes-nous arrivés à ce point de dégradation de l’activité médicale et son réseau sanitaire ?
Je vais évoquer ici 4 piliers qui ont participé à cette modification profonde.
– La médecine, l’économie, le droit, la politique.
Lors de la covidémie, ces systèmes et dynamiques de la société ont évolué selon des principes qui ont désarçonné moult structures de l’organisation de notre quotidien.
En médecine, la technoscience a remplacé l’art médical.
L’économie s’est emparée de la pandémie pour la croissance de la fortune de quelques-uns au détriment de la majorité.
La politique a joué des coudes pour s’imposer.
Le droit a été utilisé pour soutenir ceux qui menaient la danse.
Les mesures sanitaires ont jonglé avec ces différents piliers :
«Croissance record sur le front des vaccins»
Plus de 7,5 milliards de doses contre le Covid-19 ont été fabriquées à ce jour, un chiffre qui devrait franchir la barre des 12 milliards à la fin de l’année. Il y a suffisamment de doses face à la pandémie. Il faut désormais mieux les distribuer, selon l’industrie pharmaceutique.
Cette croissance record des vaccins illustre bien la relation entre la technoscience médicale et l’économie, soutenue par la politique de l’obligation vaccinale plus ou moins déguisée.
La politique gouvernementale, par exemple en Suisse, a imposé non seulement les confinements et les masques au peuple mais aussi une dette colossale : «Nous avons accumulé 30 milliards de dettes»
La nouvelle ministre suisse des finances prévoit des mesures d’économie, après les fortes dépenses dues à la pandémie de Covid-19. «Pas seulement pour l’année 2024, mais aussi pour les années suivantes».
La pénurie matérielle va de pair avec une «pénurie psychoaffective et cognitive». Nous en trouvons des illustrations dans plusieurs domaines :
Parmi les médecins, nous découvrons une «pénurie de confraternité». Comment un Ordre des médecins peut-il interdire d’exercer un des leurs qui exprime un avis autre que celui que prône la doxa ?
«Un généraliste vendéen interdit d’exercer pendant 15 jours pour non port du masque»
Le médecin généraliste qui exerce près d’Aizenay n’a pas contesté ne pas porter de masques lors de ses consultations, mais a affirmé respecté les autres « gestes barrières » dans son cabinet. Il a par ailleurs exposé ses doutes quant à l’utilité et l’efficacité du masque. Ces arguments n’ont pas suffi à convaincre la chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins des Pays de la Loire…
Cette condamnation de médecins relève d’une véritable épidémie : «Covid-19 : un médecin portugais sanctionné pour désinformation»
Un médecin portugais, une des fondatrices d’un groupe accusé de désinformation au sujet de la pandémie de coronavirus intitulé «Médecins pour la vérité», a écopé d’une suspension disciplinaire de six mois, a appris l’AFP jeudi auprès de l’Ordre des médecins. L’instance disciplinaire concernée a conclu que le docteur Margarida Oliveira avait fait «des recommandations contraires aux consignes pouvant nuire à la santé publique», a précisé un porte-parole de l’Ordre des médecins pour la région Sud du pays.
Que penser de la politique médicale ? Un médecin doit avoir le droit de soigner.
Un médecin non vacciné passe au tribunal.
“Je suis le seul médecin suspendu au Luxembourg. Quand les protocoles ne sont pas bons, on le dit, si on ne peut pas le dire, c’est qu’on n’est plus en démocratie.”
Que ce soit en cabinet médical ou au Sénat, le processus se ressemble : «Après avoir témoigné au Sénat sur les effets des vaccins covid, le Dr Amine Umlil est convoqué pour mesure disciplinaire»
Et pourtant, même au Japon, des médecins dénoncent la «pénurie d’intelligence, de bon sens et de clairvoyance» qui a généré cette injection génique : “A cause de la vaccination, l’immunité naturelle à été supprimée”. En 5 minutes, l’orateur de cette vidéo expose très vigoureusement et intelligemment les multiples effets de ce «vaccin» et déclare à quel point on a renié la Science et la Médecine.
Au Parlement européen, c’est une juriste qui affronte les politiciens : «Violations des droits de l’homme et des libertés civiles durant la Pandémie de covid-19»
Comment la pandémie de COVID-19 exacerbe les violations existantes des droits de l’homme et en permet d’autres.
De nombreuses formes différentes de violations ont été observées dans chaque pays en raison des restrictions imposées par la pandémie, sous couvert de mesures extraordinaires ou d’urgence prises pour faire face à la pandémie.
Une certaine politique a été imposée en utilisant l’ingénierie sociale et la psychologie. Dans un entretien, une psychologue expose « Le contrôle des masses par la peur»
Elle nous parle de la « pensée binaire » qui s’installe aujourd’hui dans les médias et dans le débat public. Elle développe en profondeur les différentes raisons qui provoquent cette perte de nuances et de réflexions. La chute du niveau à l’école, les réseaux sociaux, la perte de sens et de transcendance, l’abandon de la jeunesse, etc.
Cette notion de pensée binaire évoque bien la «pénurie de l’usage de connexions neuronales».
La pénurie se perçoit aussi au niveau de l’esprit scientifique. Un anthropologue de la santé explicite très bien le phénomène :
https://odysee.com/@JeanDominiqueMichel:e/corruption-syst%C3%A9mique-et-end%C3%A9mique-des:c
Le Britisch Medical Journal a pris une position très claire : actuellement la science est politisée, elle est réprimée, elle est en train d’être supprimée. La science est réprimée pour des raisons politiques et financières….. La pandémie a révélé comment le complexe politico-médical peut être manipulé en cas d’urgence, à un moment où il est encore plus important de sauvegarder la science.
La plongée dans le gouffre s’est faite progressivement et des médecins émérites en ont été témoins, ici en France : «Santé et argent magique. Le Hold up de la médecine par la bureaucratie au service de la finance. Le rôle des ARS»
Dès l’année 2002, les professeurs Even et Debré alertent
« À tous, il rappelle que la médecine doit être sobre, humaine, fondée sur le cœur, le savoir, l’expérience et la raison et centrée sur chaque malade particulier et non pas une démarche technologique d’ingénieurs centrée sur les maladies en général. Hier la première du monde, notre médecine ne sera bientôt qu’un champ de ruines : dépenses galopantes ; urgences débordées ; pléthore extravagante d’hôpitaux souvent délabrés et sous-équipés ; pénurie sévère et désengagement des infirmières et des médecins ; prolifération d’un cancer administratif et informatique envahissant ; manque de lits pour les convalescents, les vieux et les handicapés ; sous-utilisation de la médecine de ville, mais prévention et dépistage des grands fléaux et des cancers quasi-inexistants ; surmortalité masculine précoce insupportable ; formation médicale continue en panne et pervertie par l’industrie ; aide au tiers-monde inexistante, etc. »
Cet article a été écrit en 2018 mais il me semble resté fort d’actualité…
Heureusement que la population entière ne réduit pas sa raison à une pensée binaire. Les différents secteurs décrits plus haut ont chacun des représentants qui développent de quoi retrouver et enrichir l’esprit multipolaire.
Il est aussi important de prendre en compte que lorsque l’être humain est poussé à bout, des ressources inconnues jaillissent et créent des stratégies qui prennent par surprise ceux qui sont trop sûrs de leurs pouvoirs et enorgueillis de leurs réussites momentanées.
Des pétitions viennent réveiller les endormis ! « Pénurie de médicaments : stop à la mainmise des laboratoires sur notre santé !»
Si en 2019, c’étaient 600 médicaments en rupture de stock en France, on en compte aujourd’hui 4000 !
Preuve que nos gouvernants n’ont rien fait en 4 ans pour régulariser la situation.
Cette pétition offre des solutions très pertinentes en affirmant: Il est grand temps de prendre des mesures concrètes pour reprendre notre santé en main :
- En constituant des stocks de médicaments et de matière premières pour faire face aux multiples pénuries
- En forçant les entreprises à relocaliser une partie de leur activité en Europe si elles veulent vendre leurs médicaments en France
Cette pétition souligne aussi la nécessité indispensable de sortir du cadre de la médecine conventionnelle en diminuant la dépendance aux médicaments en remboursant des médecines douces pouvant soulager les patients, comme l’ostéopathie ou l’acupuncture.
Thérapies auxquelles j’ajoute les autres médecines – dites aussi médecines alternatives – qui considèrent les patients comme des entités entières et non pas limités à un diagnostic sur lequel est basé un protocole avec des techniques très délimitées.
Les politiciens cherchent bien des solutions pragmatiques aux pénuries mais ont-ils vraiment conscience de l’ampleur du problème? «Le système de santé au bord du gouffre: les soins à domicile sont-ils l’avenir?»
La pression sur les hôpitaux est telle que le gouvernement de François Legault envisage d’élargir l’accès aux soins à domicile afin de libérer des lits. Pourrait-il s’agir d’une solution pour désengorger le système en cette période de crise? Est-ce qu’on pourrait s’en servir pour améliorer l’accès aux soins à long terme?
Une telle proposition relève plutôt d’une réflexion binaire ! Ce n’est pas un changement stratégique de calculs du nombre de lits qui va changer la situation de la pénurie de médecins, de médicaments et de moyens économiques.
Une proposition binaire découle d’un cri «Les professionnels de la santé crient au secours»
Le bilan est écrasant :
Pénibilité du travail Il faudrait créer jusqu’à 830 postes par an pour couvrir les nouveaux besoins en soins et les départs. Le personnel s’alarme.
Selon les professionnels présents, les conditions de travail sont devenues insupportables dans tous les secteurs: hôpitaux, soins à domicile, EMS ou administration. Ainsi, la planification sanitaire table sur les soins à domicile pour contenir le nombre d’hospitalisations et de lits en EMS, mais il manquerait déjà aujourd’hui 160 postes à l’Institution de maintien à domicile (IMAD), relève la secrétaire syndicale.
Ce bilan date de 2016. Mais en septembre 2022, on peut dire que le système reste problématique,
Malgré les mesures prises pour lutter contre la pénurie de personnel dans les hôpitaux et autres structures de santé et l’adoption de l’initiative sur les soins infirmiers il y a un an, les cadres hospitaliers tirent la sonnette d’alarme, rapportent Le Matin Dimanche et la SonntagsZeitung.
«La qualité des soins dans les hôpitaux de soins aigus ne pourra plus être maintenue et diminuera», disent 150 cadres dans un sondage non encore publié de Swiss Nurse Leaders, l’association des cadres infirmiers. 87% d’entre eux affirment que leurs services manquent de personnel. Neuf sur dix indiquent que les soins de base ne sont possibles que si le personnel assure des heures supplémentaires. En plus des postes non pourvus, la quantité du personnel à l’arrêt pour raisons médicales a sensiblement augmenté. En 2021, les absences équivalaient à 647 postes à temps plein pendant un an.
Selon la NZZ am Sonntag, le tableau est aussi sombre dans les services de pédiatrie des hôpitaux alémaniques. «La situation n’a jamais été aussi extrême», déclare une infirmière dans le journal.
Dans la population, des citoyens s’engagent pour stimuler et soutenir le débat : Interpelé par le recul insidieux de la liberté thérapeutique dans son pays et au-delà – ainsi que par son absence de relai dans les médias traditionnels – un «simple citoyen» a réalisé un film rassemblant les témoignages de plusieurs médecins. Son but: ouvrir un débat qui se fait désespérément attendre : «Médecins suisses: que reste-t-il de la liberté thérapeutique?»
Les moyens de se dresser face au système sont multiples. Un citoyen issu d’un tout autre milieu que l’auteur du reportage cité ci-dessus, ancien banquier international, a déposé une plainte pénale contre le Président Suisse Alain Berset en lien avec la campagne vaccinale.
Un médecin interroge cet homme dont la puissance intérieure se ressent à travers la vigueur, la justesse et la clarté de ses propos.
Un regroupement international – Traditional Complementary Integrative Healthcare ICTH https://tcih.org/fr a édicté une déclaration – en 18 langues !- et propose de la signer : «La déclaration pour les soins de santé traditionnels, complémentaires et intégratifs»
La déclaration lance un appel à une collaboration respectueuse entre les pratiques traditionnelles, complémentaires et conventionnelles dans le but de parvenir à une approche holistique de la santé centrée sur la personne. Les approches de la santé que nous souhaitons sont orientées vers la personne dans son ensemble, s’appuient sur sa participation active et respectent les choix individuels ainsi que la diversité culturelle. Elles intègrent l’expérience clinique, les données scientifiques et les valeurs des patients. Le libre accès aux soins de santé traditionnels, complémentaires et intégratifs doivent faire partie du droit fondamental à la santé.
Des scientifiques de diverses disciplines ont formé le Conseil Scientifique Indépendant (CSI), exempt de tout conflit d’intérêts. Ils se sont regroupés pour réunir leurs connaissances de façon très rigoureuse et consciencieuse et nous offrir une vision panoramique sur la crise covid. Ils présentent chaque semaine une conférence en vidéo. https://anchor.fm/csi-fr/
Mathématicien, médecins, psychiatres, biologistes, universitaires, praticiens, philosophes, sociologues, personnes publiques s’y croisent pur vous donner à voir une expertise raisonnable et rationnelle de la crise et de ses portes de sortie.
Un vif merci à eux de nous sortir de la «pénurie d’informations»!
Le site de Santé Globale nous rappelle de grandes vérités et exprime sa joie de ce qui renaît :
* «Devenons les témoins de la merveille du monde et non les témoins perfides et consentants de son naufrage » Christiane Singer.
« Celui qui ment hérisse d’obstacles son propre chemin.
Partout dans le monde nous pouvons observer les effets néfastes du mensonge » Rudolf Steiner
Quelle joie de voir les consciences s’éveiller et les mensonges des autorités de plus en plus mis en lumière ! Nous avançons vers le GRAND REVEIL plutôt que vers le GRAND RESET du WEF et des mondialistes-transhumanistes !
Plus la vérité avance, plus le Système panique.
Soutien à tous les résistants !
ALORS SOYONS RESISTANTS ET CONSACRONS NOS EFFORTS A LA DIFFUSION DE LA VERITE ET A DES ACTIONS POSITIVES !
Nous pouvons résister soit en fonçant sur l’adversaire, soit en nous dressant mus par la puissance de nos multiples forces issues de notre nature essentielle.
Marie-France de Meuron
Cet article a été publié initialement sur le site Réseau international.
Marie-France de Meuron : Diplôme Fédéral de Médecine obtenu en 1973, Grand-mère de deux petites-filles majeures, Retirée dans le Canton de Neuchâtel en Suisse.
Source : Lire l'article complet par Mondialisation.ca
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