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par La rédaction de l’AIMSIB
Gardasil épisode 1 : Déjà le début de la fin ?
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Cette semaine Marceau nous ramène à l’année 2007 qui n’a laissé en France aucun souvenir de crise sanitaire majeure, et pourtant ! Pour avoir sciemment écoulé pendant des années son Vioxx malgré des rapports internes catastrophiques concernant la mort régulière de ses consommateurs par quadruplement des crises cardiaques, Merck consent à s’acquitter de sept milliards de dollars d’amende. Pour revenir avec une furieuse envie de devenir le laboratoire le plus honnête de la planète ? C’est bien mal les connaître ! Voici Gardasil, « Help Pay for Vioxx » et le deuxième épisode de votre nouvelle série préférée. Bonne lecture…
La firme pharmaceutique Merck a une longue histoire de mise sur le marché de produits controversés, notamment Fosamax (un prétendu médicament contre la densité osseuse qui a causé des fractures osseuses) et NuvaRing (un dispositif de contrôle des naissances associé à des caillots sanguins potentiellement mortels et à la mort).
Mais le plus grand scandale à ce jour, pour Merck et toute l’industrie pharma confondue, a été le scandale du Vioxx : un anti-inflammatoire de type coxib que la société a dû retirer du marché mondial en 2004 en raison des multiplications de morts par suite de crises cardiaques, AVC et autres problèmes cardiovasculaires.
Merck avait introduit le Vioxx sur le marché américain en 1999 en tant qu’alternative efficace et « plus sûre » aux anti-inflammatoires non stéroïdiens pour le traitement de la douleur associée à l’arthrose.
Selon le New England Journal of Medicine (NEJM), le retrait du Vioxx du marché a été « le plus grand retrait de médicaments sur ordonnance de l’histoire, et pourtant si les nombreux signes avant-coureurs avaient été pris en compte, une telle débâcle aurait pu être évitée ».
Selon un article publié dans le BMJ, des documents internes et des communications obtenus de Merck lors du litige sur le Vioxx ont révélé que leurs scientifiques avaient reconnu très tôt l’existence des risques du Vioxx. Plus précisément, le journal médical a rapporté que :
« Depuis le début du développement du Vioxx, certains scientifiques de Merck craignaient que le médicament n’affecte négativement le système cardiovasculaire… Dans des courriels internes rendus publics par le biais des procès, on peut voir que les responsables de Merck ont cherché à truquer l’interprétation des données en faisant modifier les manuscrits des auteurs universitaires avant publication dans les revues scientifiques pour camoufler les effets du Vioxx sur le système cardiovasculaire ».
Selon d’autres documents découverts dans les litiges sur le Vioxx, Merck a orchestré la publication de nombreux articles écrits par des sociétés de communication médicales et des employés de l’entreprise. Merck a aussi recruté des leaders d’opinion universitaires clés pour être les principaux auteurs de revues médicales à comité de lecture. Et, pour lutter contre l’opposition, Merck a ciblé de manière sélective les médecins qui posaient des questions sur le Vioxx, allant jusqu’à faire pression sur certains d’entre eux par l’intermédiaire des chefs de département.
« Malheureusement, il est clair pour moi que l’intérêt commercial de Merck pour les ventes du Vioxx a dépassé ses inquiétudes concernant la toxicité cardiovasculaire potentielle du médicament », a écrit le Dr. Eric J. Topol dans le .
(Non, vous ne rêvez pas, c’est bien le même Eric Topol qui a dû être généreusement arrosé depuis ses déclarations !)
La conduite de Merck concernant le Vioxx était si préoccupante que les rédacteurs du NEJM, dans une « expression de préoccupation » au sujet d’une étude publiée dans la revue, ont écrit que :
On déplore aujourd’hui plusieurs centaines de milliers de morts du Vioxx avec les dernières estimations allant jusqu’à 500 000. Aux USA, le taux de mortalité était le plus élevé en 1999, année de la mise sur le marché du Vioxx et une chute de mortalité a été observée en 2004, année de son retrait du marché,.
Mais devinez quoi : la France ne décompte AUCUN mort lié au Vioxx. Quelle est la probabilité ? NULLE.
La France est toujours singulière, comme pour le nuage de Tchernobyl, comme pour les injections COVID19, donc je vous laisse réfléchir quant au Gardasil et à la valeur de ce que les « autorités sanitaires » disent !,,,.
Le litige a révélé que Merck savait très tôt que le Vioxx était lié à des événements indésirables cardiovasculaires mortels, mais a intentionnellement choisi de dissimuler les risques au public et à la communauté médicale. Des poursuites ont accusé Merck d’avoir orchestré un stratagème pour minimiser la gravité des risques, déformé les résultats de ses essais cliniques, omis d’entreprendre les essais cliniques qui révéleraient les risques et mis à l’index les professionnels, de la santé qui ont osé critiquer publiquement la sécurité du Vioxx. Rien que cela.
Merck SAVAIT,, :
Merck a finalement dû payer près de 5 milliards de dollars pour régler les dizaines de milliers d’actions en justice contre le Vioxx et 1 milliard de dollars supplémentaires pour régler un recours collectif en valeurs mobilières. La société a également été contrainte de payer 950 millions de dollars d’amendes civiles et pénales au ministère de la Justice et à d’autres entités gouvernementales à la suite de diverses activités criminelles auxquelles Merck s’était livré en ce qui concerne le Vioxx.
Soit un total de quasi 7 milliards de dollars !,,
Merck retire son produit en septembre 2004 et décide d’accélérer la mise sur le marché du Gardasil, alors toujours en essai clinique, pour combler les pertes du Vioxx !
Merck obtient alors rapidement de la FDA (inutile de vous les présenter) une procédure accélérée de mise sur le marché du Gardasil en 2006…
Comment ? Corruption, comme toujours !
Merck a alors trompé le public au sujet du vaccin Gardasil contre le HPV
À cette époque, Merck était encore sous le choc des pertes de milliards de dollars subies après avoir été contraint de retirer le Vioxx du marché. La société saignait et a précipité le vaccin Gardasil contre le HPV sur le marché.
Au sein de Merck, Gardasil a été décrit comme le « Saint Graal » qui aiderait l’entreprise à remplacer les revenus perdus du Vioxx.
Les dirigeants de Merck disaient souvent que « HPV » signifiait « Help Pay for Vioxx » = pour compenser les pertes du Vioxx. Ce n’est pas une blague ! Et comme si un tel cynisme n’était pas suffisant, un document interne de Merck, obtenu par l’avocat RFK Jr. dont le cabinet représente des victimes du Gardasil aux USA dans l’un des procès qui vont s’ouvrir en 2023, dit ceci :
« Les analystes de Wall Street disaient que Merck était fini à cause du scandale du Vioxx, leur plus grosse source de revenus. Merck répondit : non, car nous avons quelque chose de meilleur. Nous avons un produit qui va être rendu obligatoire de manière que toutes les personnes dans le monde devront le prendre, chaque adolescent ; et cette fois nous ne serons responsables de rien car nous ne pouvons pas être pris » !
Les poursuites judiciaires contre le Gardasil allèguent que Merck a déformé les données internes et n’a jamais réellement étudié si son vaccin prévenait réellement le cancer du col de l’utérus. Au contraire, le laboratoire n’a étudié que son impact sur les précurseurs possibles du cancer du col de l’utérus.
De plus, en 2013, plusieurs éminents professionnels de la santé ont publié une étude dans le British Medical Journal soulignant les failles liées aux études internes menées par Merck. Il s’avère que leurs affirmations selon lesquelles le Gardasil pourrait prévenir le cancer du col de l’utérus étaient grandement exagérées.
Les différents cabinets d’avocats qui poursuivent Merck au nom de patients blessés par le Gardasil affirment que Merck s’est livré à des méfaits d’entreprise similaires au Vioxx avec son vaccin contre le HPV.
Selon le marketing de Merck, le Gardasil offre une immunité à vie contre le cancer du col de l’utérus et d’autres cancers associés au HPV. Cependant, les plaignants dans le litige Gardasil rétorquent que l’affirmation marketing de Merck d’après laquelle le Gardasil prévient le cancer (sans parler de l’immunité à vie), n’est pas prouvée. Les allégations indiquent que le Gardasil pourrait en fait être plus susceptible de provoquer le cancer chez les personnes précédemment exposées au HPV que de le prévenir.
Les plaignants avancent que Merck sait et dissimule activement le fait que le Gardasil peut provoquer une constellation de réactions indésirables et d’effets secondaires graves, y compris des maladies auto-immunes, et la mort chez certains receveurs.
Selon les plaintes, le Gardasil contient de nombreux ingrédients dangereux, dont au moins un que Merck n’a pas divulgué aux autorités de réglementation et au public. Des études ont montré que l’un des ingrédients du Gardasil, le sulfate d’hydroxyphosphate d’aluminium amorphe (AAHS), se lie aux protéines non vaccinales, déclenchant des maladies auto-immunes et d’autres affections graves.
Les plaignants affirment aussi que Merck, dans la conception et la conduite de ses essais cliniques pour le Gardasil, a dissimulé délibérément les preuves de maladies graves, telles que les maladies auto-immunes, afin d’améliorer artificiellement le profil d’innocuité du vaccin, tout comme la société l’avait fait des années auparavant avec le Vioxx,.
En décembre 2019, le nombre d’effets secondaires déclarés à la suite de la vaccination Gardasil était supérieur à n’importe quel autre vaccin dans le système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.
Plus de 64 000 rapports d’événements indésirables liés au vaccin contre le HPV à ce moment-là. Il n’est donc pas surprenant que le Vaccine Injury Compensation Program (VICP = système de compensation du gouvernement USA aux victimes des vaccins) ait versé des millions de dollars en dommages-intérêts pour les blessures et les décès imputés au Gardasil.
« En raison de cette fraude de Merck, le Gardasil fait des ravages sur une grande partie d’une génération entière d’enfants et de jeunes adultes à l’échelle mondiale », révèlent les poursuites contre le Gardasil.
Faut-il faire confiance à Merck pour le Gardasil après avoir provoqué l’un des pires scandales de médicaments de l’histoire avec le Vioxx, sans parler du Fosamax et du NuvaRing ?
N’oublions pas le scandale du Levothyrox, c’était aussi… Merck ! Donc, la réponse est NON !
Surtout lorsqu’eux-mêmes l’utilisent pour combler le manque à gagner après le retrait de leur poison Vioxx en se vantant de vouloir le rendre obligatoire pour échapper aux possibles poursuites !
NON, nos enfants ne se feront jamais injecter pour que vous puissiez vous en mettre plein les poches (« vous » désignant les labos et les politiques abreuvés de pots de vin) !
source : AIMSIB
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