Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info) — Photo : Pezibear/Pixabay
Les autorités sanitaires suédoises ont radicalement changé leur politique sur le changement de sexe chez les mineurs, considérant que l’hormonothérapie chez les enfants et les adolescents a de graves effets secondaires.
La Suède, qui en 1972 a été le premier pays au monde à autoriser le changement de sexe légal, est également devenue le premier pays d’Europe, en l’an 2000, à proposer des tests d’identité de genre aux mineurs pour un éventuel traitement médical complémentaire. Mais les autorités sanitaires suédoises ont récemment radicalement changé leur point de vue sur le sujet, considérant que l’hormonothérapie chez les enfants et les adolescents qui souhaitent changer de sexe a une série d’effets secondaires potentiellement graves. Pour cette raison, les autorités suédoises ont adopté une nouvelle ligne de « prudence » très restrictive en ce qui concerne les traitements pour les mineurs considérés trans. Au point que, dans la pratique, ces pratiques sont stoppées, y compris des mastectomies, sauf cas exceptionnel.
Les spécialistes de l’hôpital Karolinska Institutet de Stockholm, le plus grand du pays, ont été les premiers à suspendre l’hormonothérapie pour les mineurs atteints de dysphorie de genre, la jugeant controversée et risquée. Selon les nouvelles analyses établies par les autorités sanitaires, le traitement peut entraîner des effets secondaires tels que le cancer, les maladies cardiovasculaires, l’ostéoporose et l’infertilité.
Jusqu’en 2021, environ 700 enfants et adolescents ont subi des traitements hormonaux en Suède. Entre 2008 et 2018, le nombre de cas de changement de sexe a augmenté de plus de 1 000 %, en particulier chez les filles âgées de 13 à 17 ans.
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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