Sarah Kate Silverman (née le 1er décembre 1970) est une comédienne de stand-up, actrice, chanteuse, productrice et écrivaine américaine.
Il manque encore trois jobs : féministe, démocrate et activiste anti-vie. Quand une fiche Wikipédia commence de la sorte, avec autant d’activités, ça sent pas bon. Quand on est autant de choses, c’est qu’on n’est pas grand-chose. Et Sarah n’est effectivement pas grand-chose : partout où elle passe, elle laisse une trace de malaise, de rejet et d’impopularité. Bon Dieu, mais comment se fait-il qu’on la retrouve partout ?
Elle a en effet été – parce qu’elle est femme, donc forcément talentueuse – promue partout où c’était possible : dans toutes les télés (HBO), les émissions (Saturday Night Live, le tremplin numéro un des humoristes américains) ou les séries (Larry Sanders Show) qui comptent. Comprendre qu’elle a un excellent agent, qui a un bon réseau (on nous dit dans l’oreillette qu’elle se faisait sauter par l’animateur à succès Jimmy Kimmel).
« Je suis juive, mais je porte parfois cette médaille de Saint-Christophe ; mon petit ami [Jimmy Kimmel, NDLR] est catholique – mais vous savez… c’était mignon comme il me l’a donné. Il dit que si ça ne brûle pas un trou à travers ma peau, ça me protégera. »
Sauf qu’aux États-Unis, dans le monde de la culture, qui est privé à 150 %, si on n’a pas de talent, on a beau être placé partout, on coule. Et Sarah a toujours coulé. Sa fiche Wikipédia est longue comme le bras – là aussi, on sent que son agent a chargé sur le contenu –, mais si on lit bien, on devine un art vraiment dramatique.
- Ses faux nichons ne l’ont pas sauvée du bide
Sarah est censée être humoriste de stand-up, mais on apprend qu’au bout d’un an, elle s’est fait violemment jeter, et a mis un an de plus à s’en remettre. Quand on regarde son sketch lors de la soirée pro-avortement, on comprend mieux. Après un parcours du combattant bourré de blessures (d’ego, on vous rassure), elle finit par devenir activiste politique pour le socialo-sioniste Bernie Sanders, puis pour l’égérie des pédocriminels Hillary Clinton, la lesbienne mariée à l’ancien président grand client de l’île aux enfants de Jeffrey Epstein. Du beau linge sale !
Sa fiche Wikipédia ressemble à une immense blague rédigée par de féroces auteurs sexistes et fascistes : on apprend qu’elle a publié, à 42 ans seulement, une biographie, intitulée Celle qui mouille son lit.
Elle est devenue végétarienne à l’âge de 10 ans. Elle s’est ouverte sur sa bataille de toute une vie contre la dépression clinique, qui à un moment donné l’a amenée à développer une dépendance au Xanax. Elle a attribué ses problèmes de santé émotionnelle ultérieurs à la prise du médicament Zoloft. Elle a lutté contre l’énurésie nocturne depuis l’enfance jusqu’à l’adolescence et déclare dans une interview en 2007 avoir encore mouillé son lit récemment.
Son autobiographie, publiée en avril 2010, intitulée The Bedwetter, explore le sujet de l’énurésie ainsi que d’autres histoires personnelles de sa vie. Elle a déclaré qu’elle ne voulait pas se marier tant que les couples de même sexe ne le pouvaient pas.
Elle déclare qu’elle ne veut pas avoir d’enfants biologiques car « il n’y a que des millions d’enfants qui n’ont pas de parents » dans le monde et pour éviter le risque qu’ils héritent de sa dépression. En 2017, elle déclare qu’elle a donné la priorité à sa carrière artistique, constamment en tournée, au lieu de la maternité.
Dieu merci, elle n’aura jamais d’enfants (ses mecs se barrent tous les uns après les autres). Mais vu sa carrière pro, qui est une accumulation d’échecs uniquement dus à la médiocrité, Sarah aurait peut-être dû en faire. Oui mais voilà, elle est pro-IVG, anti-vie rabique. C’est justement lors d’une soirée « humanitaire » – un téléthon en faveur de l’avortement, disons un avorthon – qu’elle a donné libre cours à son talent, un vrai celui-là, de haineuse.
La collecte de fonds, organisée par Winstead elle-même, avec la comédienne Sarah Silverman, a présenté près de 4 heures de contenu bizarre, y compris des sketchs sur l’avortement, une interview avec l’avorteur Willie Parker et des diatribes politiques. Au cours de l’une des vannes, Silverman a annoncé qu’une loi sur la clause de conscience qui empêchait l’utilisation de fœtus avortés dans les produits alimentaires manufacturés serait quelque chose qui « lui donnerait envie de manger un fœtus avorté ».
Les sketchs étaient appelés « vannes de loi de merde » et étaient introduits par une femme portant un costume d’organes génitaux féminins. Deux des lois censées être appliquées par des volontaires étaient « Vous ne pouvez pas utiliser de fœtus avortés comme ingrédients dans la fabrication de produits alimentaires » et « Les cliniques sont tenues par la loi d’incinérer ou d’enterrer chaque fœtus avorté. » (Google traduction)
Sarah a montré l’étendu de son talent d’autrice lors de son sketch sur ces connards de bébés morts :
« Des putains de funérailles pour des putains de fœtus avortés ? Je voudrais parler à ces funérailles. “Il a vécu comme il est mort. Il est mort comme il a vécu”. La taille d’une graine de sésame sans fonction cérébrale de discernement. »
C’était Sarah Silverman, autrice gauchiasse. Le recyclage des déchets culturels, aux États-Unis, n’est pas une légende.
Ici la mort
Ici la vie
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation