Par Joanne d’Arc pour Campagne Québec-Vie — Photo : Adobe Stock
MONTRÉAL — Un avortement tardif de 38 semaines est prévu demain matin à l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal.
Campagne Québec-Vie a appris par une source anonyme que demain, le 2 février 2023, un avortement tardif (38 semaines) aura lieu à l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal.
Une de nos sources a été contactée anonymement par un travailleur de l’hôpital qui voulait que des mesures soient prises contre l’exécution d’un enfant innocent à naître. La mère de l’enfant a exprimé qu’« elle n’était plus certaine de vouloir un enfant ».
« Je trouve cela horrible, y a-t-il quelque chose à faire ? », a déclaré la source anonyme.
Il a été révélé que les chefs d’équipe ont assisté à une réunion ce matin au sujet de la « procédure » et ont quitté la réunion en se sentant accablés.
Le cas a été qualifié de « cas spécial ». Il faudrait injecter à l’enfant une substance à euthanasier pour que l’enfant à naître ne pleure pas avant de l’extraire de sa mère. Une partie du personnel a refusé de participer à la « procédure ».
Le représentant des médias de l’hôpital contacté à ce sujet n’a pas été en mesure de le confirmer en raison de la confidentialité du dossier de la patiente, mais a déclaré que l’hôpital « offre des services de soins de santé dont les gens ont besoin dans le cadre de la légalité au Québec ».
Au Québec, et dans tout le Canada, il n’y a pas de loi sur l’avortement. En d’autres termes, l’avortement peut avoir lieu à n’importe quel stade, jusqu’à ce que l’enfant soit complètement formé. On estime que 300 enfants meurent chaque jour dans le pays. C’est pourquoi, la semaine dernière, nous avons organisé une conférence de presse conjointement avec Campaign Life Coalition, et demandé publiquement à notre premier ministre de prendre ses responsabilités quant à l’avenir (ou l’absence d’avenir) des enfants à naître.
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