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Chers amis lecteurs. 2023 devrait être une année majeure dans le dévoilement de tous les mensonges qui ont permis à certaines puissances de prendre le contrôle de toute l’humanité. Le Great Reset aura peut-être bien lieu cette année, mais pas comme le voudrait le WEF de Davos. En parallèle des guerres économique et militaire, la guerre médiatique est de plus en plus virulente et la nécessité pour les médias alternatifs d’être prêts à y faire face est plus qu’urgente. A Réseau International, nous avons décidé de passer à une étape supérieure avec tous les moyens nous permettant d’être au rendez-vous des grands chamboulements qui nous attendent. Pour cela, nous avons besoin de vous et de votre soutien.
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par Karine Bechet-Golovko
Les membres du bataillon Azov fait prisonniers par la Russie et gentiment rendus à leurs propriétaires reprennent, sans aucune surprise du service. Des bataillons entièrement équipés par l’OTAN se forment et ils entrent comme des brigades autonomes dans l’armée de terre ukrainienne. Les pays de l’axe atlantiste reviennent à leurs fondamentaux et légalisent la propagande d’Azov dans les réseaux sociaux. À la guerre comme à la guerre, mais l’Occident est en train d’y perdre son âme.
L’on se souviendra de l’échange de prisonniers entre la Russie et l’Ukraine fin septembre, réalisé sous les bons auspices de la Turquie et l’aide de l’oligarque « russe » Abramovitch, apportée en la matière à Londres, le jour de la mobilisation partielle en Russie. Si les échanges de prisonniers sont choses courantes en situation de guerre, ils ne concernent jamais des criminels de guerre, qui eux doivent être jugés et sont souvent pratiqués à la fin des conflits. (À ce sujet, vois notre article ici)
Sur les 215 Ukrainiens alors échangés, il y avait 108 néonazis d’Azov. La dénazification en marche …
Deux informations intéressantes viennent de tomber, allant dans le sens de la « normalisation » d’Azov.
La situation se radicalise, donc les radicaux sont de plus en plus utilisés, au même titre que « le soutien » étranger. Le critère de qualification de la radicalité se déplace. Ici, selon l’équipe de Readovka :
« Une nouvelle brigade ukrainienne, équipée de chars occidentaux, est dirigée par un homme d’Azov, échangé en septembre.
Dans la région de Poltava, l’ancien commandant de bataillon de la 36e brigade, le major Evgeny Bova, a formé une brigade mécanisée des Forces armées ukrainiennes, qui sera équipée d’équipements et d’armes de l’OTAN, rapporte Bezsonov. En 2022, le major ukrainien a été capturé par les Forces armées de la Fédération de Russie à Marioupol avec les troupes d’Azov, mais il n’y est pas resté longtemps et est retourné en Ukraine fin septembre de la même année.
Il n’est pas surprenant que la brigade n’ait pas encore pris de mesures offensives, puisqu’elle en est au stade de la formation, mais l’Ukraine la considère déjà comme « l’élite ». En fait, Bova se prépare à diriger une société de l’OTAN à part entière. »
La seconde vient du correspondant de guerre russe Alexandre Kots, je cite :
« Un régiment des forces spéciales « Azov » constitué désormais officiellement la 3e brigade d’assaut autonome des forces terrestres des Forces armées ukrainiennes.
De plus, le chef des nazis, Biletsky, dans sa chaîne Telegram, a déclaré que les combattants ukrainiens de cette brigade seraient envoyés « dans le secteur le plus chaud du front – à Bakhmut ». Qu’est-il arrivé ? Les mobilisés venus de toute l’Ukraine ont été initiés aux «cyborgs» par les rites des vieux croyants ?
Peut-être que les forces armées ukrainiennes ont de sérieux problèmes dans la direction de Bakhmut, et que les détachements nationaux déjà mis sous cocon et proches des sommets de l’Ukraine sont entrés en action ? Nous prédisons comment tout se passera (spoiler : comme pour la 24e brigade spécialisée des forces armées ukrainiennes) :
Beaucoup, beaucoup de radicaux ont été tués – des cimetières débordant de « Azov » – la visite de Zelensky pour déposer des fleurs – la recherche de nouvelle viande pour le front.
Et donc en cercle. »
Cette normalisation s’accompagne de sa dimension communicationnelle, comme le dévoile le correspondant de guerre russe Poddubny :
« Le Régiment nationaliste ukrainien Azov n’est plus considéré comme une « organisation dangereuse », à laquelle il est interdit de publier du contenu sur les plateformes Meta. Nous parlons de publier du contenu sur Facebook et Instagram.
Un accord à ce sujet a été conclu à Davos, en Suisse. L’Ukraine a qualifié la décision de la société, qui a changé la politique de modération en Ukraine, de « pesée et importante ». »
Il semblerait que les pays de l’Axe reviennent aux sources …
source : Russie Politics
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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