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Campagne de dons Janvier 2023
Chers amis lecteurs. 2023 devrait être une année majeure dans le dévoilement de tous les mensonges qui ont permis à certaines puissances de prendre le contrôle de toute l’humanité. Le Great Reset aura peut-être bien lieu cette année, mais pas comme le voudrait le WEF de Davos. En parallèle des guerres économique et militaire, la guerre médiatique est de plus en plus virulente et la nécessité pour les médias alternatifs d’être prêts à y faire face est plus qu’urgente. A Réseau International, nous avons décidé de passer à une étape supérieure avec tous les moyens nous permettant d’être au rendez-vous des grands chamboulements qui nous attendent. Pour cela, nous avons besoin de vous et de votre soutien.
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par Vincent Gouysse
Nous tenons à partager la très belle interprétation contemporaine d’une musique composée pour le film soviétique « Alexandre Nevski » (1938), préparation morale du peuple soviétique à une agression nazie que le PCUS (b) savait inéluctable…
Une chanson intitulée « Lève-toi, peuple russe !» dont les paroles ont été écrites par Vladimir Lugovskoy et dont la musique a été composée par Sergei Prokofiev, un enfant originaire de la région d’Artemovsk… Une interprétation remarquable offerte par les citoyens des quatre coins de la Russie, y compris les « petits nouveaux » de Donetsk (à 1 min 30).
Ce chant est contemporain d’un autre extrait d’un film soviétique de 1938 intitulé « Si demain apporte la guerre » et dont voici une très belle interprétation récente.
Ce film soviétique, qui devait être présenté au Festival de Cannes, décrivait une agression inter-impérialiste coalisée contre l’URSS, trois ans avant l’attaque nazie et la tentative atlantiste (ratée) de pousser le Japon à s’y joindre…
Si nous vivons aujourd’hui à une toute autre époque (la direction communiste soviétique ayant été renversée par le coup d’État khrouchtchévien qui a conduit, après trois décennies de capitalisme monopoliste d’État, à la dislocation de l’URSS), certains protagonistes majeurs restent malgré tout invariables : en premier lieu la ploutocratie atlantiste déterminée à détruire les peuples qui osent la défier, qui plus est en plus en envoyant les autres au casse-pipe (hier son proxy nazi, aujourd’hui son proxy bandériste ukrainien).
Car dresser les peuples les uns contre les autres est le seul moyen pour elle de prolonger (encore un peu) la survie de l’hégémonie coloniale mondiale du IVe Reich atlantiste aujourd’hui de plus en plus durement malmenée… Aussi, le bras de fer contemporain existentiel opposant la Russie à l’Occident au Bandéristan a une portée anticoloniale et antifasciste nationale comme internationale indéniable, pour les civils ukrainiens russophones victimes du coup d’État de Maïdan comme pour les peuples du monde martyrisés des décennies durant par les sales guerres de l’OTAN et ses larbins locaux… Malgré son régime capitaliste, la Russie est aujourd’hui le champion légitime de tous ceux-là, comme l’illustre la chanson syrienne « Gloire à la Russie !» interprétée par Ribal Al-Hadi :
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