-
Campagne de dons Janvier 2023
Chers amis lecteurs. 2023 devrait être une année majeure dans le dévoilement de tous les mensonges qui ont permis à certaines puissances de prendre le contrôle de toute l’humanité. Le Great Reset aura peut-être bien lieu cette année, mais pas comme le voudrait le WEF de Davos. En parallèle des guerres économique et militaire, la guerre médiatique est de plus en plus virulente et la nécessité pour les médias alternatifs d’être prêts à y faire face est plus qu’urgente. A Réseau International, nous avons décidé de passer à une étape supérieure avec tous les moyens nous permettant d’être au rendez-vous des grands chamboulements qui nous attendent. Pour cela, nous avons besoin de vous et de votre soutien.
Total de dons 15 195,00 € sur un objectif de 25 000,00 €
par Dr Pascal Sacré
« Il ne suffit pas d’inscrire des droits dans une Constitution,
Il faut que le Peuple éduqué puisse les lire,
Les comprendre et les défendre. »
« En face », ils nous disent quoi penser, quoi dire. « Eux », ils savent.
« Eux », ils ont compris et nous expliquent ce qu’il faut penser et faire, et c‘est ainsi. Pas autrement.
Ils emploient les grands moyens, émissions télévisées remplies d’experts bardés de titres, articles dans la presse écrite « sérieuse », synthèses par des instituts officiels aux noms et acronymes très professionnels.
Les experts en question sont souvent bien habillés, ils ont des qualifications indiscutables sur le papier, ils parlent bien et les journalistes ou animateurs sont très gentils avec eux, boivent leurs paroles, et l’ensemble dégage une connivence, une évidence qui rend le message comme allant de soi.
- La vaccination ne se discute pas, elle a sauvé l’humanité, c’est la seule vraie solution face aux épidémies.
- Le climat, c’est un réchauffement et il est dû principalement au CO2 humain.
- L’Ukraine, c’est à cause d’un méchant dictateur sadique et fou qui défie le monde ou exploite son peuple (toujours la même excuse, de Cuba, du Venezuela, d’Irak, à l’Afghanistan, en passant par la Lybie, le Mali, le Yémen, la Syrie… c’est à chaque fois cette même histoire, un méchant dictateur sanguinaire fou qui veut détruire son peuple ou l’humanité, Castro, Chavez, Hussein, les talibans, Kadhafi, el-Assad…)
Ce sont les trois derniers dogmes en date.
Si nous émettons un avis contraire, ou nuancé, alors ils font semblant de ne pas l’entendre.
Si nous insistons, surtout si nous sommes légitimes, alors ils nous traitent de tous ces termes peu flatteurs, disqualifiant : complotiste, négationniste, sceptique, rassuriste, stupide, fou, incompétent, charlatan, antivax, antisémite, raciste…
« Ne pensez pas, nous pensons pour vous », voilà ce qu’ils prônent en face et ma foi, ils sont convaincants, ils ont les moyens médiatiques et institutionnels avec eux.
Premièrement, cela démontre ce que nous savions déjà : l’être humain, depuis qu’il est tout petit, depuis la nuit des temps, adore les histoires.
Si celles-ci sont simples, avec un gentil et un méchant, un gentil très gentil et un méchant très laid et très méchant, c’est encore mieux.
Si elles ont des solutions toutes faites qui dépendent des autres, alors là, beaucoup d’êtres humains sont aux anges. Ils peuvent vaquer à leurs occupations quotidiennes en se disant que d’autres s’occupent de tout et surtout, que ces « experts » ont une solution toute faite et indiscutable.
Pratique, un dogme, il faut bien l’avouer.
Pas besoin d’agir ni même de réfléchir.
Malheureusement, un dogme n’a rien à voir avec la vérité, il n’a même rien à voir avec la réalité.
Je sais que d’aucuns arrivent à vous dire que la réalité n’existe pas.
Ça, c’est fort et pourtant, c’est ainsi, des personnes tentent de vous en convaincre et beaucoup de gens s’y laissent prendre. Pourtant, si je vous brûle le bras, je vous assure que la douleur et la blessure vous convaincront que la réalité (la chaleur dans ce cas) existe.
Ne pas confondre « perception de la réalité », et « la réalité elle-même ».
Idem pour la vérité. Ou pour le bien et le mal.
Il y a le bien, qui ne veut pas dire perfection, et le mal.
Souvent, on discerne le bien du mal non pas au niveau cérébral, mais au niveau des tripes, du cœur et de sa peau.
Le mal c’est par exemple torturer les animaux, maltraiter tout être vivant.
Là où cela devient plus subtil, plus insidieux, c’est quand on a compris que le mal, c’est aussi laisser faire, laisser d’autres gens torturer les animaux, ou maltraiter un être vivant, sans rien dire, rien faire contre cela.
En sachant combien la plupart des animaux sont maltraités et c’est un euphémisme, continuer à en consommer fait de nous de facto des complices de cette maltraitance mondiale.
À ce moment très inconfortable sur les plans intellectuel et émotionnel, l’être humain va user d’artifices pour se trouver des circonstances atténuantes, détourner le propos, noyer le poisson, c’est le cas de le dire.
Alors commencent les petits arrangements avec le mal, ces concessions qui laissent à penser que le mal, c’est relatif.
Non.
Le mal est le mal.
Le bien est le bien.
Pour ma part, je ne tente pas de devenir végétarien que pour l’environnement ou la santé.
Je le tente pour la seule raison qui se suffit à elle-même, sans avoir besoin d’aucune autre, pour cesser d’être complice d’un plus grand mal.
Revenons à la vérité, dont le dogme est le pire ennemi.
Autrement dit, la vérité est la pire ennemie du dogme.
C’est la raison principale pour laquelle les dissidents actuels sont autant diabolisés, discrédités, censurés, chassés par un système qui a un besoin vital de dogmes pour se perpétuer. Plus les dogmes sont rigides, intraitables, plus la violence envers toute dissidence est forte et brutale.
C’est la raison pour laquelle nous, les véritables lanceurs d’alerte, ceux qui bravent toutes les censures, nous devons continuer à éduquer de manière pédagogique et à diffuser la vérité.
Je parle de la vérité, à ne pas confondre avec la connaissance qui évolue sans cesse, beaucoup font cette confusion.
Il n’y a d’ailleurs pas de vérité scientifique, c’est une impossibilité. Il n’y a pas de vérité économique, géopolitique, etc.
Il y a des connaissances dans tous ces domaines, et celles-ci changent, évoluent en fonction du temps, des découvertes, du contexte, des actions et réactions des uns et des autres.
Un exemple parmi les plus connus est d’avoir cru un moment que la Terre était le centre de l’Univers. Aujourd’hui, on sait que la Terre est une planète parmi d’autres et qu’elle tourne autour du soleil.
Cette connaissance a évolué pour se conformer à la réalité.
La vérité, par contre, c’est la vérité.
Soit vous avez trompé votre femme, soit vous ne l’avez pas trompée.
Soit vous étiez à cet endroit à cette heure-là, soit vous n’y étiez pas.
Vous ne pouvez pas être « à moitié » quelque part, vous ne pouvez pas avoir trompé votre femme « au quart ».
Et cette vérité-là ne changera pas, ni deux jours après, ni mille ans après.
C’est là que les problèmes commencent : quand on confond, sans le vouloir ou intentionnellement, vérité et connaissance.
La vérité est une et permanente.
La connaissance est évolutive et plurielle.
Dire que les vaccins ont sauvé l’humanité, ou qu’ils sont la meilleure arme contre les épidémies, c’est une connaissance qui évoluera en se confrontant aux faits.
Elle doit être constamment vérifiée, comme toute autre connaissance scientifique du moment.
Dans le cas précis de la vaccination contre le Covid, tout est parti d’une supposition puisque on a commencé cette vaccination mondiale alors que toutes les études n’étaient pas encore terminées.
Le problème majeur est d’avoir présenté au public profane cette connaissance-hypothèse comme une vérité à ne plus discuter.
C’est ce que tentent toujours de faire pas mal d’experts assermentés, adoubés par le Système, comme ce docteur Nicolas Dauby, un prototype de ce que j’entends par expert bardé de titres et coiffé d’une aura indiscutable, incontournable. Je vous encourage vraiment à lire toute la référence 5, un symbole de tout ce qui ne va pas dans ce monde opaque de l’expertise dépendante des lobbys.
Il y a des dizaines et des dizaines de « Nicolas Dauby » dans le monde entier.
Un peu comme Anthony Fauci aux États-Unis ou Neil Ferguson en Grande-Bretagne.
Peu importe que les prédictions et décisions de ces personnes se soient révélées fausses, mauvaises, influencées, ils conservent leur aura d’expert indiscutable, incontestable.
Cela ne peut se faire qu’avec le concours des médias principaux, ceux qui ont accès au plus large public profane.
Ces médias sont l’équivalent moderne des prêtres et docteurs de la loi d’antan, l’intermédiaire indispensable entre le public profane et les pouvoirs, avec leurs « débats » convenus d’avance et leurs fact-checkeurs (« vérificateurs » de faits) anonymes et partisans.
Experts adoubés et médias complices sont les outils indispensables d’un Pouvoir bâti sur des dogmes.
Je ne sous-entends pas que tous ces « experts » adoubés seraient incompétents ou forcément malhonnêtes. Pour la plupart, j’ignorais jusqu’à leur existence, avant cette crise.
Je parle du processus tacitement admis qui consiste à désigner un « expert » plus ou moins légitime sur le papier puis de ne plus écouter que cet « expert » en faisant abstraction de tous ses conflits d’intérêts, conflits d’intérêts qui vont forcément influencer ses convictions, ses propositions, ses décisions et ses actions.
Je parle de ce processus universel et tacite, principe à l’œuvre partout, dans toutes les démocraties, qui consiste à supprimer les débats contradictoires en enfermant les opinions et les messages dans un vase clos bâti sur des préceptes qu’on ne discute plus, ânonnés par quelques-uns.
Cela se retrouve dans les débats sur le climat qualifié de réchauffement alors que d’autres scientifiques également légitimes parlent de refroidissement, réchauffement dont la cause est le CO2 dû à l’activité humaine alors que d’autres scientifiques, d’autres experts sérieux parlent de multiples autres causes.
Cela se retrouve dans les débats sur la guerre en Ukraine pour laquelle a été posé d’emblée en Occident le postulat inviolable selon lequel le dictateur Poutine est le seul responsable, sans plus pouvoir à un seul moment discuter, nuancer ce dogme (forcément, ce ne serait plus un dogme, sinon), comme l’a amèrement expérimenté Ségolène Royal.
Et cela s’était déjà produit lors des guerres au Kosovo, en Afghanistan, en Irak, en Syrie…
Pourquoi ?
Quel paradoxe !
Tous ces scientifiques, tous ces journalistes, tous ces « experts » deviennent comme des équilibristes, autoproclamés spécialistes, factuels, dignes de foi alors que tous leurs discours sont finalement bâtis sur des dogmes.
Cela se passe avec le concours zélé des médias principaux écoutés comme les prêtres d’antan par une partie de la population profane.
Un dogme n’est pas la vérité.
Un dogme est le socle pour raconter une histoire qui se travestit en vérité, s’habille en réalité seulement parce que chaque auditeur, chaque spectateur accepte d’y croire.
C’est ce qui fait la force d’une fiction réussie.
On sait que c’est faux mais on a choisi tacitement, implicitement d’y croire, ce qui fait que le spectateur frissonne, sursaute, pleure, a peur, vibre avec son acteur fétiche.
Il est vrai que nous, les êtres humains, nous sommes ainsi faits.
Nous adorons les belles histoires, surtout les histoires simples, avec un gentil et un méchant bien identifiés, avec des solutions toutes faites, élaborées par d’autres à l’apparence crédible.
L’apparence suffit.
Les lanceurs d’alerte, les diseurs de vérité viennent casser l’ambiance, mettre les points sur les i, les virgules à la bonne place, car si l’humanité préfère l’histoire à la vérité, à ce point de décalage, celle-ci sera très amère et brutale, alors qu’elle pourrait être mille fois plus formidable que la plus belle des fictions.
À condition de regarder la vérité bien en face et de la considérer telle quelle, sans travestissement.
Je vous dis l’inverse de ce qu’ils vous disent : pensez par vous-même. Soyez vous-même. Reprenez les rênes de votre esprit.
Je sais. Cela demande beaucoup d’efforts. C’est inconfortable. Au début.
Par contre, cela ne nécessite pas de l’intelligence, ni d’avoir fait de longues et savantes études. Ces derniers points peuvent même être des obstacles, des pièges.
La personne de bon sens, qui a les pieds bien en contact avec le sol, qui n’a jamais fréquenté les universités ou les grandes écoles, est souvent la mieux à même de discerner le vrai du faux, le réel de l’illusoire, le bien du mal.
Pensez par vous-même. Ou alors, soumettez-vous.
« Si nous ne sommes pas en mesure de poser des questions de manière sceptique, d’interroger ceux qui nous disent que quelque chose est vrai, d’être critique à l’égard de ceux qui détiennent l’autorité, alors nous sommes à la merci du premier charlatan, homme politique ou religieux, venu. » (Carl Sagan, scientifique et astronome américain, 1996)
Quelle que soit l’option choisie, ensuite, assumez-la.
Il n’a jamais été aussi vital, pour chaque être humain comme pour toute notre espèce, de penser par lui-même et d’arrêter d’être complice de l’illusion, du faux et du mal.
En attendant, nous les lanceurs d’alerte, ceux qui bravent toutes les censures, nous devons continuer à diffuser la vérité.
source : Mondialisation
Adblock test (Why?)
Source : Lire l'article complet par Réseau International
Source: Lire l'article complet de Réseau International