Astérix & Obélix déconstruits par Guillaume Canet et sa bande

Comprendre l’empire du milieu du cinéma

La saga Astérix & Obélix fait partie du patrimoine national, au même titre que Brigitte (Bardot), le Général ou Delon. Toucher à l’œuvre d’Uderzo & Goscinny, c’est toucher à une corde sensible, qu’il ne faut pas trop étirer, surtout dans un but idéologiquement impur.

C’est pourtant ce qu’a fait le réalisateur Guillaume Canet, en charge du dernier opus intitulé Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu. On ne peut pas mieux dire, tant la bande-annonce respire l’Empire – la doxa mondialiste – et le Milieu, celui du cinéma, cet entre-soi ultracommunautaire où n’entre pas qui veut. Pour cela, il faut montrer patte blanche, ou plutôt patte anti-blanche.

Les deux extraits promotionnels illustrent et encouragent tout simplement la victoire de l’antiracisme sur le patrimoine français. Les deux héros gaulois ne sont plus réfractaires à la domination de l’Empire (Rome, c’est-à-dire l’Amérique), ils sont passés du côté du multiculturalisme et s’y ébattent avec gourmandise. Les 7 piliers du mondialisme sont en gros bien respectés, mal cachés derrière l’écran comique : féminisme, antiracisme, sionisme, mercantilisme, individualisme, homosexualisme, anti-francisme…

Promo automatique dans la tribu LGBT

Gilles Lellouche raconte comment son ami Guillaume Canet et lui se sont distribué les rôles principaux :

« Pourquoi tu fais pas astérix ? Il me dit ah ouais c’est pas con comme idée, mais pourquoi tu fais pas Obélix du coup ? »

Achtung, révisionnisme !

À l’opposé de la propagandasphère, le film sur le chef emblématique des guerres de Vendée, qui a reçu les déshonneurs de Libération, déclenche la haine des bien-pensants.

Pourtant, c’est une production Canal bien comme il faut, avec les acteurs maison, Anglade (Braquo), Becker (Baron noir) et Fitoussi (Engrenages).

Simplement, dans cette ambiance antifrançaise qui caractérise le cinéma national, ce film a été reçu comme un message politique :

Et si c’était Vaincre ou mourir, le vrai film des Gaulois réfractaires ? Réfractaires à la « République », celle de Canet, Lellouche et ses potes…

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation