Par Steven Ertelt (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : andranik123/Adobe Stock
Le ministère de la Justice a finalement arrêté et inculpé des militants de l’avortement en relation avec 250 autres cas de violence contre des églises et des centres de grossesse.
Deux résidents de Floride ont été inculpés par un grand jury fédéral [le « grand jury », à ne pas confondre avec le jury, est un trait particulier de la justice américaine, il est composé de juristes qui décident s’il y a assez de preuves réunies pour qu’il y ait un procès] pour avoir écrit des menaces au jet de peinture sur des centres de grossesse pro-vie qui offrent aux femmes des alternatives à l’avortement. L’acte de mise en examen, rendu par un grand jury fédéral dans le Middle District of Florida, allègue que Caleb Freestone, 27 ans, et Amber Smith-Stewart, 23 ans, ont attaqué plusieurs centres de grossesse pro-vie en Floride.
Freestone et Smith-Stewart ont ciblé des centres de ressources pour la grossesse et les ont vandalisés avec des menaces peintes au jet, notamment « Si les avortements ne sont pas sûrs, vous ne l’êtes pas non plus », « VOTRE TEMPS EST ÉCOULÉ », « NOUS VENONS POUR VOUS » et « Nous sommes partout », sur un centre de santé reproductive à Winter Haven, en Floride. L’acte de mise en examen allègue également que des installations à Hollywood et à Hialeah, en Floride, ont également été visées.
Ces incidents ont eu lieu après une marche pro-avortement organisée par des antifas et d’autres gauchistes radicaux.
Selon le site du Département de la Justice des États-Unis :
L’acte de mise en examen allègue également que Freestone et Smith-Stewart ont enfreint le FACE Act en menaçant d’employer la force pour intimider et perturber les employés d’un établissement de services de santé reproductive à Winter Haven parce que ces employés fournissaient ou cherchaient à fournir des services de santé reproductive. L’acte de mise en examen allègue également que Freestone et Smith-Stewart ont enfreint le FACE Act en endommageant et en détruisant intentionnellement les biens de l’établissement parce que celui-ci fournit des services de santé génésique.
S’ils sont reconnus coupables de ces délits, Freestone et Smith-Stewart risquent chacun un maximum de 12 ans de prison, trois ans de liberté surveillée et des amendes pouvant atteindre 350 000 dollars.
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
Source: Lire l'article complet de Campagne Québec-Vie